Front indépendantiste

cumul des fonctions) et institue une politique d’authenticité Sara et de discrimination des musulmans, ce qui suscite des insurrections dans le Guéra en 1965 et 1968. En 1965, les rebelles musulmans se réfugient au Soudan où ils fondent en 1966 le Front de libération nationale du Tchad[1] (FROLINAT), avec pour objectif de renverser le régime sara. En 1975, F. Tombalbaye est assassiné, un autre Sara, le général Félix Malloum lui succède au pouvoir et maintient la politique de discrimination à l’égard

Séance de TD 7 Droit international public, Fiche 6 La responsabilité internationale de l’Etat (1) – L’attribution Doc. 1 : CIJ, Affaire des activités militaires et paramilitaires au Nicaragua et contre celui-ci, Nicaragua c/ Etats-Unis, arrêt du 27 juin 1986, §§ 108 à 116 Faits : En juillet 1979 au Nicaragua, le gouvernement du président Somoza chute. Un autre gouvernement est formé, il finit par être constitué presque intégralement par les membres d’un Frente Sandinista de Liberacion Nacional (FSLN)

régime militaire de terreur. Somoza se fait élire lors d'une élection truquée où il prend l'étiquette libérale. . 1936-1979 : Les Américains contrôlent le pays par l'intermédiaire de la famille Somoza. . 1979 : En mars, les trois factions du FSLN (Front Sandiniste de Libération Nationale – créé durant les années 1960) signent un accord de réunification. Fin mai, c'est l'offensive finale. Le 19 juillet 1979, après 18 ans de lutte, le FSLN triomphe, renversant la dictature. En plus d'assumer de lourdes

d'armée). Par contre, l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) est une organisation palestinienne politique et paramilitaire. Elle est composée de plusieurs organisations palestiniennes, dont le Fatah, le FDLP (Front démocratique pour la libération de la Palestine) et le FPLP (Front populaire de libération de la Palestine). Depuis sa création en 1964, l’OLP, qui comporte aussi des institutions politiques, s’est présentée comme un mouvement de résistance armée qui représente les Palestiniens. Jusqu’aux

palestiniennes de 2006. | Front de libération de la Palestine | 1959 | Organisation considérée comme terroriste par les États-Unis et l'Union européenne. A reçu à sa création un fort soutien de la Syrie. | Front Populaire de Libération de la Palestine | 1967 | Organisation militante, qui combine nationalisme arabe et marxisme. Ennemis du FPLP : Israël, l'impérialisme, le sionisme, les capitalistes et les classes exploitantes arabes. | Front démocratique pour la libération

Dip : coutume et traité Des 1982, le contexte politique du Nicaragua est instable. De nombreux groupes contre le pouvoir en place se sont formés, c’est ce qu’on appellera les Contras.( des groupes maoïstes, comme le MILPAS, qui étaient aussi opposés à Ortega , le FDN somoziste, les groupes indiens, Kisan, Matama et d'autres, des ex-sandinistes déçus comme l'ARDE, Eden Pastora ) Les États-Unis, alors dirigés par le président Ronald Reagan décrétèrent un embargo et vinrent en aide aux Contras

pays anglo-saxons on de l'avance sur la France, la révolution gaie et lesbienne touche la France que à partir de 1971. La vue homosexuelle cesse d'être une classe objet. Si bien qu'en 1971, dans la foulée du mouvement féministe, apparaît le FHAR, Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire qui dénonce l'oppression et tente de faire entendre la voix des personnes homosexuelles. A la suite du FHAR, différents groupes apparaissent en France, sous l'appellation de GHL (Groupe de Libération Homosexuelle)

français (télégramme à Trumman), prennent le pouvoir à Hanoï lors de la "Révolution d'août". L'indépendance de la RDV (République Démocratique du Nord Viêtnam) est proclamée le 2 septembre 1945. A partir de cette date, le nouveau gouvernement indépendantiste s'oppose de plus en plus au gouvernement français. Le 23 novembre 1946, des français bombardent la ville de Haipong. Ce qui marque le début de la première guerre d'Indochine entre les français et les communistes d'Hô Chi Minh qui finira en 1954

Les accords de Matignon du 26 juin 1988 Le texte de la déclaration commune de Matignon est le suivant : Les communautés de Nouvelle-Calédonie ont trop souffert, dans leur dignité collective, dans l’intégrité des personnes et des biens, de plusieurs décennies d’incompréhension et de violence. Pour les uns, ce n’est que dans le cadre des institutions de la République française que l’évolution vers une Nouvelle-Calédonie harmonieuse pourra s’accomplir. Pour les autres,

référendum du 6 novembre 1988 Les électeurs sont appelés aux urnes pour adopter le nouveau statut de la Nouvelle-Calédonie, qui fait suite aux « accords de Matignon » entre l’État, le RPCR (Rassemblement pour la Calédonie dans la République) et le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste). Les résultats du vote sont très favorables au nouveau statut (79,99% des suffrages exprimés). Mais le taux d’abstention, une fois encore, est particulièrement élevé, puisqu’il atteint 63,11%. Ce chiffre