Front Polisario

tuaient les Tutsis à coup de machette et la carte d’identité a aidé beaucoup pour effectuer ces tueries. Le 7 avril, la Radio Télévision Libre des Mille Collines (RTLM)  diffusa une émission attribuant la responsabilité de l’accident d’avion au FPR (Front patriotique rwandais) et à un contingent de soldats de l’ONU, et commença à inciter les Hutus à éliminer les « cafards tutsis ». Durant cette même journée, le Premier Ministre, Mme Agathe Uwilingiyimana et dix casques bleus belges qui la protégeaient

ainsi que dans la différence de statut entre les départements français et ceux d'algérie, mais aussi et surtout à la volonté d'indépendance de certains Algériens. II – Le déclenchement de la guerre : Le 1er novembre 1954, des commandos du FLN (Front de Libération Nationale) entrent en action dans toute l’Algérie. On recense une trentaine d’attentats quasi-simultanés : C’est le début de la guerre d’Algérie. En France, l'événement à peu de retentissement, pourtant c'est le début d'une guerre de

fournis par le Rwanda », ajoute le rapport. Ces deux forces armées ont attaqué à partir de 1996 les camps de réfugiés hutus, où se trouvaient des anciens génocidaires des Tutsis au Rwanda en 1994, qui avaient fui dans l’Est de la RDC avec l’arrivée du Front patriotique rwandais (FPR) de Paul Kagamé au pouvoir à Kigali. Or le rapport, dénonce la nature « systématique, méthodologique et préméditée des attaques contre les Hutus [qui] se sont déroulées dans chaque localité où des réfugiés ont été dépistés

plus d'un an sans gourvernement, un record du monde même a été battu. 2.exemple: Hutu vs Tutsi Ce génocide à eu lieu au Rwanda du 6 avril au 4 juillet 1994, il s'agit d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutu  au Front patriotique rwandais , accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés décidèrent de revenir au pays et de prendre le pouvoir par les armes. Les autorités rwandaises perdirent la guerre civile au

Le génocide au Rwanda est un génocide qui eut lieu du 6 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutus (voir Hutu Power), au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les armes. En

l’entremise de la décolonisation. Le Québec n’est pas exempt de cette propagande indépendantiste. Certaines organisations vont faire leur apparition dans les années 1960 sur le plan provincial. C’est le cas entre autre d’un mouvement extrémiste, le Front de libération du Québec (FLQ). Le FLQ n’hésite pas à utiliser le terrorisme comme moyen d’action. En 1970, ce groupe indépendantiste est à la tête d’une crise politique du Québec moderne : la Crise d’octobre. La Crise d’octobre est un phénomène complexe

slogan « égalité ou indépendance ». Pour d’autres, c’est la fameuse Crise d’Octobre 1970 et la proclamation de la loi des mesures de guerre par Pierre Eliot Trudeau qui met fin à cette période de grand renouveau. L’élan révolutionnaire initié par le Front de Libération du Québec (F.L.Q.) et la série d’attentats et d’enlèvements prennent définitivement fin lors de la découverte du corps de l’ancien ministre francophone Pierre Laporte, enlevé quelques semaines plus tôt par le F.L.Q. La plupart des historiens

Après trente ans d’exil, en 1990, les tutsis gardaient la nostalgie de leur patrie et souhaitaient voir se réaliser le retour des réfugiés. Cette éventualité fut refusée par le gouvernement du président Habyarimana et les tutsis emmenés par le Front Populaire Rwandais (FPR) déclenchèrent la guerre depuis la frontière ougandaise. Ce n’est qu’en août 1993 que la guerre se termina avec les accords d’Arusha qui prévoyaient un gouvernement de transition comprenant le groupe d’Habyarimana, les partis

de Hocine Aït Ahmed, il participe au casse de la poste d'Oran. En mai 1950, il est reconnu coupable et est condamné à sept ans de prison. Il réussit à s'évader et se réfugie au Caire avec Hocine Aït Ahmed et Mohamed Khider et forme ensemble le FLN (Front de libération nationale) qui lutte lui aussi pour la libération de l'Algérie. Ben Bella est de nouveaux arrêté avec ses compagnons résistants lors d'un voyage avec le CRUA (Comité Révolutionnaire d'Unité et d'Action) faisant partie du FLN. Après

manque de recul et qu’on n’a pas accès aux archives. Cette difficulté est particulièrement grande pour la guerre d’Algérie, parce que l’historien est confronté d’une part, aux mémoires contradictoires de différents acteurs (soldats français ou de du Front de Libération Nationale algérien (FLN), hommes politiques et intellectuels, Français rapatriés d'Algérie (les Pieds-noirs) et les Algériens restés fidèles à la France et contraints au départ (les harkis) et d’autre part aux enjeux nationalistes et