Fronton

C’est Platon, son élève, qui retranscrit ses dialogues. Socrate utilise la maïeutique (= l’art d’accoucher l’esprit/ la vérité qui ont en eux). L’introspection va de paire avec le questionnement philosophique, d’où l’impératif qui est inscrit sur le fronton de Delphes “ Connait toi toi-même“. La philosophie est une tentative de compréhension et d’interprétation du monde et de l’homme pour en tirer des règles de compréhension soit collective, soit individuel. L’esprit philosophique c’est une recherche

- la cavea où les spectateurs prenaient place et qui était conçue de manière à favoriser l’acoustique. - La scaena ( la scène ) où les acteurs jouaient - Un décor permanent, la frons scaenae, qui était fait de colonnes, de fausses fenêtres, de fronton orné de statues qui représentait la façade d’un palais, - Les coulisses, postscaenum, sont cachées derrière le mur de scène, - Au sous-sol, se trouvent les machineries. Les spectateurs accédaient au théâtre par des couloirs d’accès souterrains

chrétienne » (aime ton prochain comme toi-même). C’était une obligation de chacun envers autrui. A partir de 1948, elle devient un principe à part entière.Aujourd’hui quel sens a cette devise pour les gens ? Bien qu’elle soit toujours inscrite aux frontons de nos mairies, on constate toujours les mêmes combats pour les inégalités, les divisions et abus de pouvoirs comme à l’époque de la Révolution. Ceci dit la culture française est bien plus complexe qu’à l’époque, cela a conduit à une certaine révision

modernes des bâtiments comme sources archéologiques afin de permettre au lecteur de comprendre quel était le paysage urbain. P. Zanker utilise par ailleurs comme sources secondaires les écrits de polygraphes et grammairiens tels que Pline le Jeune et Fronton. Son texte étudie principalement l’histoire du paysage urbain et politique, et est issu d’une conférence se consacrant au mécénat dans l’histoire. Il parait dans un collectif de spécialistes dans des champs divers qui examine les relations entre les

d’une colonnade. Les articulations à la base reposent sur des socles en béton ; entre eux, de grands grands champs vitrés se penchent légèrement en arrière. La façade du pignon est composée d’une baie vitrée légèrement en saillie qui supporte un fronton où est incrusté le sceau de l’entreprise, la seule capable de financer d’aussi ambitieuses constructions. Le mur pignon avec sa composition magistrale réunie les éléments d’une façade d’un temple, en effet elle évoque avec audace les lignes pures

café. Les Hadjis comptent leurs grains d'ambre Sur le seuil d'un rayon chauffé. " J'entre et je sors, accoutumée Aux blondes vapeurs des chibouchs, Et parmi les flots de fumée, Je rase turbans et tarbouchs. " Celle-ci : " J'habite un triglyphe Au fronton d'un temple, à Balbeck. Je m'y suspends avec ma grille Sur mes petits au large bec. " Celle-là : " Voici mon adresse : Rhodes, palais des chevaliers ; Chaque hiver, ma tente s'y dresse Au chapiteau des noirs piliers. " La cinquième : " Je ferai

la fin du siècle dernier sur les ordres d'une folle, la fille du célèbre parfumeur Duc, celui-là même dont les prospectus, les étiquettes, jouant sur les mots, s'ornent d'une couronne ducale. Cette couronne apparaissait aussi à la grille et au fronton du manoir où Mlle Duc consacra sa vie 'à l'attente d'un Tzigane infidèle. À quelques kilomètres de la porte d'Orléans, des hommes munis de lampes de poche indiquaient le chemin du château aux automobilistes. Raymond RADIGUET, Le Bal du comte d'Orgel

Entourés de jardins, ils deviennent des demeures richement décorées pour un roi et sa cour en déplacement continuel. Après 1540, le style français se libère du modèle italien, L'agrandissement du Louvre en est un exemple avec la façade en pilastres et frontons de Lescot, et l'épanouissement artistique de l'Europe du Nord est remarquable. Dans leurs œuvres, les artistes traduisent la peur de la mort caractéristique de la fin du Moyen Âge marquée par nombre de catastrophes (guerres, épidémies, famines, refroidissement

Égalité, Fraternité » est évoqué pour la première fois lors de la Révolution Française. Lorsqu'est rédigé la constitution de 1848, cette devise est définie comme un principe de la République. Elle est aussi, à du 14 Juillet 1880, réinscrite sur le fronton des édifices publics. Remise en cause par le Second Empire, elle finit cependant par s'imposer sous la Troisième République. On observe toutefois encore quelques résistances, y compris chez les partisans de la République: la solidarité est parfois préférée

tout leur savoir vivre. » La société, en effet, déforme. Trop contrainte de puritanisme paulinien, de mépris d’Eglise pour l’ici-bas, de convenances bourgeoises. Il faut se découvrir, se construire, se prouver. « Connais-toi toi-même », exhortait le fronton du temple d’Apollon à Delphes ; « deviens ce que tu es », exigeait Nietzsche ; « fais craquer tes gaines » proposait Gide ; soit « ami par la foulée » criait Montherlant. Ce sont les références d’Albert Camus en ses années de jeunesse, auxquelles