Fruit rouge

Mark Rothko, Rouge, blanc et brun (1957), analyse d'oeuvre Analyse · oeuvre · célèbre · 12-2009 Rouge, blanc et brun (1957) A partir de 1950, Rothko ne réalise que des toiles offrant, en guise de composition, une superposition de formes rectangulaires. Seules changent les dimensions de ces rectangles, leurs couleurs et les relations qu'ils entretiennent avec le fond où ils s'inscrivent. La peinture semble ainsi réduite à la répétition d'une formule et à la mise au point de ses variantes plus

L'affiche rouge, 1944. Thématique: Arts, Etats et  pouvoir Période: XX° Contexte: Le 21 février 1944, les murs de Paris sont couverts de grandes affiches rouges qui annoncent l'exécution de 23 "terroristes" du groupe dirigé par Michel Manouchian, membre des FTP (Francs-Tireurs Partisans), qui avaient organisé des actions de guérilla contre l'occupant allemand. Impressions générales: Cette affiche crée un sentiment de malaise: elle parle de mort, de violence, de crimes. Éléments la composant :

police, de la structure (empâtement, fantaisie…) et de la masse (gras, italique…). Elle est extrêmement importante pour un logo. Quand la création est bien faite, la typographie et la couleur se suffisent à elles mêmes. Avec une même couleur (ex: rouge sang) une police peut exprimer plusieurs choses:     • Une police "destroy" dénote un univers torturé et pourrait convenir pour un groupe de rock par exemple     • Une police avec empâtement connote la stabilité et pourrait convenir pour une assurance

narrateur étant donné qu’il aime la perfection. Il s’agit ici de la Carmen solaire La seconde rencontre à lieu dans le chapitre Trois avec Don José qui parait à l’écart des autres. Carmen est présentée à demi comme une courtisane avec un « jupon rouge fort court ». Elle est presque extravagante en portant « des bas de soie blanc avec plus d’un trou », des « souliers mignons de marocains rouges attachés avec des rubans couleurs de feu ». De plus elle écartait sa mantille pour montrer son épaule.

L’utilisation de présents d’énonciation, lorsqu’il s’agit de décrire les activités régulières se passant à la morgue interpelle directement le lecteur contemporain de Zola puisqu’il s’agit d’une réalité censée se passer au moment de la lecture du roman: “La morgue est un spectacle à la portée de toutes les bourses, que se payent gratuitement les passants pauvres ou riches. La porte est ouverte, entre qui veut. Il y a des amateurs qui font un détour pour ne pas manquer une de ces représentations de

Elles jettent vers le hasard l'âpre semence De leur labeur que l'heure emporte. Et les comptoirs mornes et noirs Et les bureaux louches et faux Et les banques battent des portes Aux coups de vent de leur démence. Dehors, une lumière ouatée, Trouble et rouge, comme un haillon qui brûle, De réverbère en réverbère se recule. La vie, avec des flots d'alcool est fermentée. Les bars ouvrent sur les trottoirs Leurs tabernacles de miroirs Où se mirent l'ivresse et la bataille; Une aveugle s'appuie à la muraille

l’utilisation de la couleur liée aux symboles à travers quelques exemples. Le rouge communiste, pourquoi ce choix de couleur ? Pourquoi pas une autre ? Le rouge a souvent été utilisé pour les généraux, les empereurs de Rome ou encore la noblesse médiévale. Le rouge est synonyme de pouvoir et c’est sûrement l’élément qui justifie ce choix dans le communisme. Ce qui est cependant intéressant de remarquer est que le rouge a aussi été pour beaucoup de cultures, synonyme de culte divin. C’est aussi dans

Le chapitre XI de Thérèse Raquin constitue un pivot du roman puisqu’il sépare celui-ci en deux parties : le roman d’avant le meurtre, qui est aussi le roman de l’adultère, et le roman d’après le meurtre, qui est en quelque sorte celui du " remords ". Ce passage se situe après la description de la partie de campagne que font ensemble Thérèse, Camille et Laurent sur les bords de Seine et après la proposition de Laurent de faire un tour de barque. Il a confié à Thérèse son projet de jeter Camille à

rhétoriques. Le texte est constitué d'un ensemble de sensation que l'absence du narrateur rend encore plus brutale. Les sensations visuelles reposent sur le noir de l’herbe et le rouge des forges. C'est donc une scène de nuit, sans repères, un univers angoissant dont la lueur de la lune est absente. La violence de la couleur rouge s'oppose aux habituelles demi-teintes du poète. Les sensations sont soudaines et brusques, le buisson qui " gifle l'œil" vers 7- 8 se comprend comme une marche dans une nature

: - Les cônes L réagissent aux ondes lumineuses longues, à savoir la couleur rouge. - Les cônes M marchent aux ondes moyennes, couleur jaune vert - Les cônes S sont stimulés par les ondes courtes, couleur bleu violet. Ces photorécepteurs contiennent dans leur segment externe des pigments : les iodopsines, union de deux molécules qui sont le rétinal et l'opsine. Trois sortes de pigments sont distinguées : bleu, rouge et vert caractérisant ainsi les trois types de cônes. Bien évidemment, l'homme