Führer

négligeable de ces deux régimes totalitaires. On remarque de prime abord, que les dirigeants de ces régimes se font appeler par des dénominations. En effet, pour Hitler il s’agit du « Führer » et pour Staline « Le petit père des peuples ». L’on remarque aussi que ces surnoms signifient « celui qui conduit » (Führer=> guide). Aussi, ces dirigeants font passer une idée d’après laquelle, ils seraient supérieurs aux autres, ce qui leur donne le droit de gouverner. En témoignent les affiches de propagandes

place un régime totalitaire dont l’originalité est de créer une société unanimiste autour de l’idéologie nazie résumée par un slogan : ein Volk (un peuple pur, les Aryens) ein Reich (référence deux premiers empires allemands et l’espace vital), ein Führer (un chef tout puissant guidant le peuple all). Pour cela, Hitler développe le culte de la personnalité en s’appuyant sur une intense propagande menée par Goebbels via tous les médias, crée un art officiel rejetant toutes les formes de création nouvelle

ont été déportées et au moins 550.000 de ces détenus y sont morts.     Aux origines du génocide L'entreprise d'extermination des juifs d'Europe (1941-1945), est l'aboutissement de l'idéologie raciste et antisémite (*) développée par Hitler, Führer de l'Allemagne. Elle se déroule en pleine guerre mondiale, tandis que l'Allemagne hitlérienne et ses alliés combattent le monde entier. Il va porter à son paroxysme la rupture des Européens avec les valeurs chrétiennes, humanistes et philosophiques

M. Poncet « lui à emprunter ses institutions caractéristiques, ses milices, ses chemises brunes, le salut romain, l’organisation de la jeunesse, son Dopolavoro, jusqu’à ce titre de Führer qui n’est d’autre la traduction de Il Duce ». En effet chacun des deux régimes sont totalitaires. Ils détiennent un chef (« führer et duce », ligne 10) qui détient les pleins pouvoirs appuyer par un partis unique (partis nazis pour l’Allemagne, parti fasciste pour l’Italie). Ce sont aussi les même « milices […]

une jeune fille de 16 ans qu’il ne cessait de complimenter. Mais cette relation ne dura pas longtemps. En effet, Hitler avait envoyé un courrier anonyme à Carola Hofmann, la veuve du directeur de l’école afin que celle-ci met fin à leur relation. Le Führer avait agit au nom de l’Allemagne et était fier de son stratagème. Pour faire taire les nombreuses femmes qui lui tournaient autour, il s’installa avec sa nièce, presque aussi jolie que Mimi. Hitler était jaloux et empêchait à sa nièce de vivre sa

Hitler chancelier (équivalent de premier ministre). V. Le troisième Reich : l'Allemagne mise au pas. d) Un régime totalitaire. Hitler applique la doctrine exposée dans "Mein Kampf' : "Ein Volk, ein Reich, ein Führer" (un peuple, un empire, un chef). Suppression des libertés et des opposants: - A la suite de l'incendie du Reichstag le 28/02133, Hitler accuse les communistes, supprime la liberté d'expression, ainsi que la vie privée. - Le premier

des S.A. allemands fait place, en Italie, à une sorte de caporalisme bon enfant. Mussolini affirme que « plus que jamais, les peuples ont soif d'autorité, de direction et d'ordre ». La soumission au chef Duce en Italie (du latin ducere, conduire), Führer (guide) en Allemagne, Caudillo en Espagne (ce terme désignait dans l'Espagne médiévale un chef militaire s'emparant du pouvoir par la force et s'y maintenant avec le consentement populaire). En Allemagne, le Führerprinzip. En Italie, l'article 8 du

unique, il s’appuie sur la Gestapo et sur les SS dirigés par Himmler (ils sont en noir, et sont chargés de la protection d’Hitler). En moins de deux ans, Hitler a fondé un régime totalitaire en Allemagne : sa devise est : « Ein Volk, Ein Reich, Ein Führer ». SA : service d’ordre du parti nazi jusqu’en 1934. SS : Organisations du parti nazi assurant la protection d’Hitler puis chargée ensuite de poursuivre ceux que le nazisme définit comme des ennemies. Hitler cherche à remettre en cause le traité

Hitler réussit cependant à restaurer son autorité. Usant de son charisme, il s'impose comme la seule figure capable d'assurer la survie et la cohésion d'un mouvement aux multiples tendances. C'est à partir de cette date que s'élabore le mythe du Führer, le «guide», fondé sur un rituel sophistiqué, l'usage du salut hitlérien et l'application du principe du chef (Führerprinzip), qui consiste en un respect absolu de la hiérarchie. En dépit de cette consolidation interne, le NSDAP subit de plein fouet

de Weimar, von Stauffenberg, tout comme son frère Berthold, est proche des cercles de la Révolution conservatrice. Même s'il montre du mépris pour le parti nazi qui monte, de nombreux points de cette pensée politique l'intéressent : « L'idée d'un Führer ... associée à celle d'une communauté nationale, le principe selon lequel le bien commun passe avant le bien privé et le combat contre la corruption, le combat contre l'esprit des grandes villes, l'idée de races et la volonté d'un nouvel ordre juridique