Führer

centralisé favorisa le morcellement du pouvoir central et la prolifération d’administrations et d’organismes avec à leur tête des ministres œuvrant largement chacun de leur côté. Ces centres de pouvoir vitaux, dont l’autorité découlait d’un mandat du Führer (la police et les SS étant les plus importants) réduisait donc le régime à un agrégat désordonné et constamment mouvant de centres de pouvoir et de factions rivales. Ce chaos d’administrations, qui devaient traduire en terme bureaucratiques le pouvoir

s'est la nuit des longs couteaux. Hitler se débarrasse de son ancien garde rapprochée (les S. A.) et les remplace par les S. S. En août 1934 à la mort d’Hindenburg, Hitler s’autoproclame «Führer ». 2 - Une dictatures racistes On a un portrait officiel de 1938 ou le slogan est : Ein Volk, Ein Reich, Ein Führer. Ce slogan signifie que le pouvoir appartient à une seule personne. «Ein Volk » signifie fin de la république. Hitler insiste sur la pureté de la race allemande (la race aryenne) qui ne sera

considéré comme des opposants au régime et de subir les moyens de répression que nous après .Les autres partis sont évidemment censurés. En allemagne le parti Nazi (abréviation de NSDAP) est dirigé par Hitler autrement nommé " le Führer" d'où "Ein Volk , ein Reich,ein Führer" (Un seul peuple , un seul Etat, un seul chef) .Le parti fasciste est controlé par Mussolini dit "le Duce" . Enfin en URSS Staline est surnommé "le petit père des peuples". Un chef de parti peu importe le quelque c'est a tous les

Russie soviétique. » Hitler joue sur du velours, car en voyant dans le bolchevisme l’ennemi absolu, il crée un malentendu entre le nazisme et les forces conservatrices allemandes mais aussi européennes : celles-ci ne percevront dans les diatribes du Führer que sa volonté de détruire le communisme, incapables de percer ses buts profonds : la destruction du judaïsme et la conquête de l’espace vital. Pour Chamberlain, même en 1939, Hitler est avant tout un grand patriote ayant relevé l’Allemagne et combattant

camps de concentration, ou des ghettos, où Eichmann décrit leurs conditions de vie. Un second projet fut abordé : le projet Madagascar, où quatre millions de Juifs aurait dû être déportés. Chapitre VI : La solution finale : le meurtre « Le Führer a ordonné l’extermination physique des Juifs. ». On parle alors aux Juifs des ghettos de « réinstallation », « travail à l’Est », ou encore de « traitement spécial », termes que l’on retrouve dans les documents nazis. L’ébauche des camps de la mort

rythme, port de l’uniforme, doc2), elle est mobilisée lors des multiples défilés et parades qui scandent la vie des régimes totalitaires. L’objectif est d’obtenir de ces jeunes une stricte soumission au régime et à son chef (« la jeunesse sert le Führer »). Quelques pistes pour la réponse organisée 1. L’encadrement et le conditionnement de la masse ( Un encadrement « du berceau au tombeau » - école sous tutelle - organisations diverses pour encadrer la jeunesse (Balillas, Jeunesses hitlériennes

y vit assez bien. Au même moment, il rencontre Elsie qui va devenir sa femme et va avoir des enfants. Là il découvre le Parti nazi et s’y engage. Puis après une lente ascension dans les échelons hiérarchiques du Parti, il est contacté par le Reich führer Himmler qui lui demande s’il veut se charger de régler le problème Juif en Europe (la Solution Finale) et lui propose un terrain près de la Commune d’Auschwitz en Pologne. Rudolf, après maintes hésitations, accepte. Il s’occupe alors de crée des pièce

 mère de la nouvelle race sont violée, l’enfance des enfants  aryens leur ont été volé, leur naissance, leur vie leur mort, tout appartiens  désormais au Führer. Nous sommes donc transporté au coeur de l’Allemagne nazi  dans une pouponnière ou s'apprête à naître Max, premier né de la race aryenne.  Prénommé Max par sa mère, le bébé est finalement baptisé Konrad von  Kebnersol, par le Führer en personne. Sans se rendre compte des horreurs  l’entourant, il grandit sans l’amour d’une famille et on l’envoie étudier dans les 

(un grand peuple (189) et en fait une femme séduite «au plus profond d’elle-même» qui le sert comme jamais aucun peuple ne le fit pour un dictateur). Cet être voué au Mal remuait «ses instincts secrets». DG prend en compte ce qui fit le pouvoir du Führer: «sa voix passionnée» dont il parle aussi un peu avant (189) . On doit admettre que la vision est pauvre et ne tient aucun compte de la nazification forcée de tout le peuple allemand qui fut, il est vrai, largement complice. On se demande si la notion

d’un seul homme, le führer, qui organise un culte de la personnalité. C’est aussi un régime d’une grande violence face à ceux qu’il considère comme ennemis du pays. C’est un régime guerrier qui pense que la dite « race supérieur » doit dominer un espace vital. La violence est omniprésente notamment envers les opposants politiques, les Juifs mais aussi contre ses propres soutiens et contre ses propres membres. URSS | | Allemagne | Staline | Chef tout puissant | Hitler, le führer | Le parti communiste