Fumier

d’engrais verts et la rotation appropriée des cultures, l’incorporation dans le sol de matières organiques provenant d’exploitations appliquant le règlement européen sur l’agriculture biologique (fumier, lisier), des apports complémentaires d’engrais organiques ou minéraux cités dans une annexe de ce règlement (fumier, guano, vinasse, phosphate naturel tendre, sulfate de magnésium, par exemple). • Par ailleurs, pour préserver l’environnement et au titre de la directive européenne sur la protection des

Préparation - Choisir un sol meuble, profond exposé au soleil, près d'un point d'eau pour faciliter l'arrosage - Labour profond de 20 à 30 cm, trois mois avant le repiquage - Pulvérisage, un mois avant le repiquage avec apport de fumure : ¢ Fumier 150 à 300 Kg/are ¢ Dolomie 5 Kg/are ¢ Engrais minéraux : " N : 0,5 U/are " P : 1 U/are " K : 0,8 u/are - Affinage et préparation des planches ayant 2 m de large, séparées d'une allée de desserte de 0,5 m les unes des autres. La longueur de

raisonnées en kg/ha pour les céréales d’automne et les associations céréales protéagineux (Figure 5). Les semences sont des semences fermières à 60% pour les cultures d’automne. Féverole Fertilisation 360t de fumier de bovins est produit sur la ferme et l’équivalent de 80t de fumier de volaille est importé. Ces matières organiques sont la plupart du temps compostées. Le compost est réparti à 65% sur les cultures (figure 6), soit 286t apportées d’un mélange dosé à 9/7/11 u/t. A l’échelle de l’exploitation

plantes en pratiquant notamment, la lutte biologique en utilisant par exemple des coccinelles pour lutter contre les invasions de pucerons. Maintenir la fertilité du sol sans engrais chimiques de synthèse en utilisant des engrais organiques variés (fumier, cultures intermédiaires…). Les cultures intermédiaires, fixent l’azote de l’air et fertilisent naturellement le sol, cela permet de conserver des espaces naturels comme les prairies, les haies, les bandes enherbées, et contribuent ainsi à maintenir

l'excès afin de sauvegarder l'environnement et d'économiser les charges. Les produits phytosanitaires doivent être alternés afin d'éviter le phénomène d'accoutumance aux ennemis de culture. Fertilisation Un apport de fond comprend 50-60 T/ha de fumier et une fumure minérale dont les doses doivent être déterminées en fonction de la richesse du sol; généralement on apporte 100 kg N/ha + 200 kg P2O5/ha + 250 kg/K2O. En couverture, par quinzaine, les apports sont les suivants: en phase végétative,

installation de carotte, réaliser des analyses de sol pour une estimation précise des différents éléments présents dans le sol. Fumure de fond Amendement organique : apport suffisamment à l’avance avant le semis (de 1.5 à 2 mois dans le cas de fumiers mûrs). Les mottes de fumier, si elles sont peu décomposées, forment des obstacles et provoquent la formation de racines fourchues. Chaulage : nécessaire si le pH est inférieur à 6. Remarque sur le bore : c'est un oligo-élément qui est utile pour la production de

véhiculer. Le fumier de cheval connaît depuis longtemps un intérêt (on cultivait le fameux champignon de couche1 grâce au Haras de Tarbes2). Un regain d'intérêt existe pour les systèmes d'assainissement autonomes (fosse septique ou mini-station d'épuration, qui restent encouragés dans les zones éloignées des réseaux d'égout) Le « retour à la terre » des excréments humains et animaux (d'élevage cf. fientes de poulets de batterie, lisiers émis par milliers de tonnes par les porcheries, fumiers bovins et

viables et socialement acceptables. Parmi les principaux problèmes, figure la gestion de la fertilité du sol, qui est liée à la disponibilité des terres arables, l'utilisation d’engrais minéraux, la restauration de la fertilité du sol (recyclage du fumier et des résidus de culture, jachère, utilisation de légumineuses, etc.), la gestion de l'eau et les fluctuations du climat (sécheresses, etc.). L'autre voie vers la sécurité alimentaire est d'assurer que les moyens économiques pour se procurer de

d’augmenter le rendement (surtout dans les zones sèches ou encore pour certaines plantes qui nécessites plus d’eau que d’autres, comme le mais) - La labour du champs, une fois la culture récoltée, + l’apports d’engrais organiques tel que le lisier ou le fumier ou encore les engrais minéraux tel que le potasse, le phosphore… fffhhhhhzeeeeeeeeeee

pour arroser les plantes et pour en donner aux animaux, et tout au fond, les cages pour les lapins et les poulets, l’écurie la plus petite dans laquelle se trouvent les cochons et un des veaux que mon père a élevé. Dans cette écurie, parfumée de fumier, il y a un coin doux de paille dans lequel les poules mettent leurs œufs et dans lequel elles s’assoient parfois de façon majestueuse pour couver. Avant de dîner, on m’envoie regarder s’il y a de nouveaux œufs qui ont été pondus, et moi, je vais à