Fumier

Autres opérations On fait un apport de matière organique (compost et fumier) en le semant sur les billons. Pour un hectare il faut 20 tonnes (20000 kg) donc pour la parcelle de rosiers de 1000 m², il faut que l’on fasse une opération (produit en croix). Donc pour notre parcelle, nous apportons 2000 kg, soit 1580 Kg de compost et 420 Kg de fumier de poule, que nous répandons et mélangeons à la terre grâce au croc à fumier. L’apport de la M.O. est le constituant le plus important. Elle sert de

du présent règlement. " Toutefois, le §2.2 prévoit que " d'autres apports complémentaires d'engrais organiques ou minéraux mentionnés à l'annexe II peuvent intervenir exceptionnellement ". L'annexe II liste précisément les engrais autorisés (ex : fumier, sous-produits d'origine animale, algues, vinasses, phosphates et potasse d'origine naturelle, poudre de roche…), en excluant notamment les engrais chimiques de synthèse. Des règles précises sont définies pour l'utilisation de matières organiques

oligo-éléments indispensables à une croissance et à une fructification correcte et de qualité chez l’espèce. Le fumier contribue également à l’amélioration de la qualité du sol (structure et perméabilité). Les quantités à apporter et la fréquence des apports dépendent du niveau de matière organique dans le sol (le sol est bien pourvu lorsqu’il renferme 3 à 4% de matière organique) et des disponibilités en fumier. Un apport de 10 à 20 t/ha/an peut être suffisant. La fumure minérale est importante et les quantités

Enlever les bubilles quelques semaines avant matration - Protéger les fruits, au moins deux mois avant récolte contre les coups de soleil et contre la craquelure avec un petit tortillon de paille placé à la base de la couronne - Ne pas utiliser du fumier qui risque de pourrir les rejets lors de la plantattion - La fumure minérale n’est pas obligatoire 2.5 - Récolte - Le moment de la récolte est déterminé par l’utilisation que l’on fera de fruit. - En général la récolte se fait un an et demi à deux

qui signifie contrairement à une culture classique (même naturelle) : - Pas de surexploitation de la terre (Pas de produits chimiques et toxique : pesticides, engrais) car ça contamine le sol , l’air et l’eau. - Libérer des insectes - Ajouts de fumier composté et de déchets végétaux - Plantation de couverture pour augmenter la matière organique (notamment du trèfle car il ajoute des nutriments au sol) - Rotation des cultures (limite l’appauvrissement des sols, varie les besoins des plantes en

être à l’écoute de la nature. « Je ne travail pas les jours saint (respect des lois de la nature). » Traitement de la vigne au minimum avec du cuivre et du souffre. 0 pesticide. La viticulture artisanale doit être respectée. Fumure utilisée ; fumier composté (300g/ha) + 20litres d’eau/ha Déposée en octobre-Novembre par pulvérisation. P.B est un philosophe de la vigne. « Autorisez-vous à penser ». P.B ne se considère pas comme un missionnaire, pour lui c’est celui qui vient vous endoctriner

Microclimat (semis plaine aire et contre le parasitisme de l'aleurode) -Irrigation: → Bassin 300m³, Forrage 48m (débit 2,5m³/h) → Sur-presseur pour le système goutte à goutte (serre) et les canon laiton (plein champs). Traitements: -Engrais: → fumier composté (30t/ha + apports calcique et potassiques) → Engrais vert (fabacées) + biodynamie -Insecticide: → Haies pour auxiliaires → Microclimat -Désherbage: Paillage, faux semis, manuel, binage, engrais vert Cultures et ventes: -Gamme

composes complexes tels que les vitamines et les acide amines indispensables a l alimentation humaine, car ils sont capables de synthétiser ce qui leur sont nécessaires. il existe deux types d’engrais : Engrais organiques: ils sont issus du vivant. Le fumier (bouche de vache), le lisier (urine de porc), la tourbe (produit de la décomposition des végétaux), le guano (excréments d’oiseaux) sont des engrais organiques. Engrais minéraux : ils sont fabriques a partir de transformations chimiques de produit

humide. Une trop faible pierrosité. Le travail du soi de haut en bas et de bas en haut sur un terrain en pente raide. Le trop grand recours, à des moments inopportuns, de machines non appropriées pour le travail du sol. L'application minimale de fumier et d'engrais verts. Il faut donc chercher à réduire l'érosion et à conserver l'humidité du sol, tout en améliorant la capacité de production et la productivité des cultures en général. Les pratiques culturales de conservation offrent la possibilité

changement par exemple. Mais l’on retiendra comme caractéristiques majeures de cette agriculture en Europe préindustrielle la faiblesse des rendements, et l’incapacité des cultivateurs à bonifier liée à une utilisation insuffisante de fumure. Car seul le fumier du bétail constitue l’engrais à disposition des cultivateurs et l’engrais chimique ne sera développé qu’à partir du 19e siècle.