Fusil

but de faire peur à la population en lui montrant les photos d'un d'un groupe de résistant ayant été fusillé, et de lui faire comprendre le danger qu'ils courent s'ils pratiquent des activités de résistance. Cette affiche de propagande a été affichée sur de nombreuses villes, comme Paris, le 22 février 1944 (le lendemain de la date où les personnes que l'on peut voir sur cette affiche ont été fusillés).Cette affiche parues au format de 152x130 cm.Cette affiche est aussi parue sous forme de tract, dans

était et continue d’être le droit d’avoir l’accès aux armes. Au début, cette loi ne posait pas de grands problèmes pour la population américaine. Comme il n’y avait pas beaucoup de policiers aux États-Unis à cette époque, il nécessitait d’avoir un fusil dans la maison pour protéger sa famille en cas d’urgence. En plus, on ne voyait pas la quantité absurde de violence relié aux armes de feu qu’on voit aujourd’hui. Bien-sur qu’il y avait un peu de violence, (on a tous entendu de « wild west »), mais

KSIOlajideBT revint à la charge avec son fusil à pompe. Je dégainai mon sniper, je l’armai, je tirai mais plus de munitions! Je rechargeais, il fallait se dépêcher car il s’approchait de plus en plus, il vint près, trop près pour tirer. Il me donna un coup de fusil à pompe mais j’eus juste le temps de prendre mon couteau et de lui trancher la gorge. Du sang giclait partout. Pour m’assurer qu’il était mort, je pris ma mitraillette et je l’achevai. Je pris son fusil à pompe, je vis des corbeaux s’envoler

peut constater que le premier paragraphe est un appel à la résistance on le comprend dans le 4ème vers : « Ohé partisans ouvriers et paysans c’est l’alarme. » Le deuxième paragraphe est une incitation à la lutte armée par exemple on le voit « les fusils, la mitraille, la grenade etc. » Le troisième paragraphe exprime les raisons de la lutte par exemple dans le deuxième vers « La haine à nos trousses et la fin qui nous pousse, la misère » Le quatrième paragraphe montre l’espoir un jour d’être libéré

Manouchian) par la police française et remis aux autorités allemandes. Du 15 au 18 Février 1944, après des mois de torture, les 23 membres du groupe Manouchian sont jugés et condamnés à mort par un tribunal militaire allemand. Les 22 hommes sont fusillés le 21 Février 1944 au Mont- Valérien (colline à l’ouest de Paris) et Olga Bancic, la seule femme, est décapitée à Stuttgart. Les jours suivants leur exécution, 150 000 exemplaires de « l’Affiche rouge » sont placardés dans Paris et en France. L’affichage

choc et que j’étais pour le moment le seul apte à diriger ce petit groupe. Sur cette plage il y avait des caisses rejetées par la mer, avec l’aide des autres je les ouvris et y trouvai de la nourriture, des armes et du matériel divers. Je pris un fusil pour moi et donnai l’autre a Klaus, le seul qui paraissait bien décidé à survivre et les autres nous acceptèrent comme chefs. Enfin à l’exception de Manfred et de Jerry qui partirent avec une hache et quelques provisions vers la forêt que l’on apercevait

le combat et la mort du Loup, soigne tout particulièrement le choix des temps verbaux. Le récit est majoritairement mené au passé : l’imparfait rend compte de la durée et des moments d’attente qui créent le suspense (« Le père était debout », « nos fusils l’entouraient »). Le passé composé relate les actions : ce temps (dont l’auxiliaire est au présent) restitue les péripéties majeures d’une façon plus « présente » et moins froide que le passé simple. Aux moments-clés, Vigny abandonne les temps du

1940. Arrivé le 16 mai 1941, il est à la baraque 10, la baraque des jeunes où il lie de nombreuses amitiés. Le 20 octobre 1941, trois résistants communistes abattent, à Nantes, un commandant. En guise de représailles, les allemands décident de fusiller 50 otages. Guy Môquet va mourir. Quelques minutes avant d'être conduit sur le lieu d'exécution, alors rassemblé avec ses camarades dans la baraque 6, il écrit une dernière lettre à sa famille, cette fameuse lettre où il annonce qu’il va mourir

Manouchian) par la police française et remis aux autorités allemandes. Du 15 au 18 Février 1944, après des mois de torture, les 23 membres du groupe Manouchian sont jugés et condamnés à mort par un tribunal militaire allemand. Les 22 hommes sont fusillés le 21 Février 1944 au Mont- Valérien (colline à l’ouest de Paris) et Olga Bancic, la seule femme, est décapitée à Stuttgart. Les jours suivants leur exécution, 150 000 exemplaires de « l’Affiche rouge » sont placardés dans Paris et en France. L’affichage

d’anticonformisme : un refus de la soumission. Ce qu’on peut comprendre : Tendre une fleur de cette manière évoque le recueillement, la paix et peut-être même la foi. Juste en face de Jane Kasmir se dresse une rangée de soldats casqués portant des fusils avec baïonnettes, pointés vers l’avant. Ils semblent être tous identiques et représentent davantage une masse dénuée de sentiments que des individus distincts. L’attitude de ces « machines de guerre » contraste bien évidemment avec celle de la jeune