Félicité Héroïne

Disney . . I. Belle, docile, riche : modèle physique, moral et social de l’héroïne dans les Walt Disney .. A. La beauté : une condition féminine sine qua none . . B. Femme : tu seras docile ! Analyse de la personnalité de l’héroïne dans Disney .. C. Héroïne riche : là n’est pas l’important ! . . II. Maison, Maman, Soumission : les statuts de la femme dans le Walt Disney . . A. Quand femme rime avec ménage : statut d’une fée …du logis . . B. Toute femme est une mère en puissance : statut maternelle de

funèbre passant dans une campagne printanière ; puis ce fut l’inhumation, la douleur du père et son départ. Ce soir-là, tandis que Rodolphe et Léon dormaient, Charles veilla en pensant à sa femme disparue. Tous les créanciers s'acharnèrent sur lui. Félicité, la bonne, le quitta en emportant la garde-robe d'Emma. Léon se maria. Charles trouva au grenier la lettre de Rodolphe. Il choisit un mausolée pompeux pour la tombe. Il se brouilla définitivement avec sa mère. Sa fille seule lui restait. Il découvrit

que les autres personnages. Quant aux autres personnages la seule chose qu'ils leur importe est de décider la fille à coucher avec l'officier et pour cela ils seront près à lui proposer une alternative à son idéal du Moi : Tout d'abord être une héroïne comme Cléopatre qui avait couché avec César pour épargner des souffrance à l'Egypte (p.53). Mais comme cela n'a pas l'air de très bien marcher ils travaillent un peu sa compassion, car les bonnes sœurs étaient parties pour soigner des malades (p.54)

vendus en deux mois. *Le titre Selon Du Camp, c'est au bord du Nil que Flaubert s'écrie: « Eurêka ! Je l'appellerai Emma Bovary. » . Le titre complet du roman est particulièrement éclairant. Flaubert se réfère au code balzacien, en désignant une héroïne éponyme, comme dans le cas d' Eugènie Grandet. Le sous- titre , Mœurs de province, oriente la lecture, en situant le roman dans un sous- genre prestigieux, et crée une attente. Nous devons comprendre que, inscrite dans la province, Madame Bovary s'en

apparente qui s’estime heureux de son mariage ne voyant pas le mal être de sa femme. Pour combler l’absence d’amour, elle s’investit dans des activités diverses comme le piano et la peinture. Et ces deux arts émerveillent encore plus son mari qui se félicite d’avoir une femme comme elle. Cette histoire peut arriver à tout le monde. En effet on peut se marier avec quelqu’un. On déborde d’enthousiasme avant de remarquer que cette personne n’est pas celle de vos rêves mais celle d’une réalité ennuyeuse

vertu qui ne tient pas compte du désir personnel (Tiberge) et la passion du désir qui implique le plaisir (des Grieux). Pendant le dialogue à Saint Lazare, des Grieux dit à Tiberge que «de la manière dont nous sommes faits, il est certain que notre félicité consiste dans le plaisir» 6 . De plus, il faut souligner que le personnage de Manon soit définie par le plaisir dans tout le roman : Manon est «penchant au plaisir» 7 ; «Manon était passionnée pour le plaisir» 8 ; Manon «aimait trop l’abondance

la jetée et contemple un instant la rade. S’approchant comme lui sur le port, Pierre reconnaît son frère. Il évoque les désirs de voyage qu’éveille en lui, la proximité des bateaux. Mais très vite, sentant bien que Jean ne le comprend pas, il le félicite de cet héritage inattendu et tourne les talons. Pierre se réfugie dans la pharmacie du vieux Polonais Marowsko, qui lui offre une liqueur de sa composition. Il lui conte l’histoire de l’héritage. Marowsko, mécontent, répète plusieurs fois : « ça

n'accompagne » (acte I scène IX p 19). La figure de la victime s'incarne dans le personnage du duc Alphonse, homme vertueux et innocent, sujet des mauvais desseins de son frère. On trouve également dans le mélodrame, le héros, qui se présente comme une héroïne dans l'Ange tutélaire ou le démon femelle de PIXERECOURT. En effet c'est le personnage de Flora, secondé par des braves hommes, qui tout au long de la pièce défend les intérêts du Duc Alphonse. D'abord elle rend visite, au Duc, au péril de sa vie

personnages en nombre limité, ne subissent pas d’évolution psychologique. Premier conte littéraire: Marie-Catherine d’Aulnoy, “L’Île de la Félicité” dans Histoire d’Hypolite, comte de Duglas (1690). Non plus le plus populaire aux 17e et 18e siècles, mais plus populaire que Perrault. Les personnages sont répartis en fonctions: Le héros/l’héroïne L’antihéros/anti-héroïne Le donateur/la donatrice L’auxiliaire/l’aide. => L’intrigue du conte de fées va d’un oubli/méfait initial vers une réparation et/ou

sont pas enchaînés par les mœurs sociales et religieuses, où les vies ne se passent pas de façon cadrée et monotone depuis la naissance jusqu'à la mort. C'est de cela que parlent les romans de Gustave Flaubert et de François Mauriac où les deux héroïnes, Emma Bovary et Thérèse Desqueyroux, refusent de mener les vies qu'on leur a imposé de vivre. En effet, les révoltes de ces femmes contre un ordre social établi sont alors une manière d'exprimer leur insatisfaction de leurs vies : les existences