Félicité Héroïne

l'absence de toute médiatisation. Aucune idée toute faite et préalable ne s'interpose entre les personnages. Le parricide tue ses parents : n'est-ce pas logique ? Le gueux meurt : « quelle surprise ! ». Dirai-je de la douloureuse, innocente et poignante héroïne d' « Histoire vraie » qu'elle a médiatisé ? Je le dirai seulement si aimer, c'est cela. Non, vraiment, ces personnages sont ce qu'ils sont, désirent ce qu'ils désirent, font ce qu'ils font, sans que leur pensée interpose entre leur vouloir et leur

autres personnages, ni du lecteur. Il suscite la peur de Salimata et l’incompréhension puis la pitié du délégué qui le laisse monter en pensant qu’il est fou. Ainsi, Fama ne retrouve même pas le respect de son rang. Ironiquement, le personnage se félicite de son action. Cette altercation est en parallèle à celle d’avec le douanier pour passer la frontière et gagner Togobala (p. 101). Par ailleurs la fureur de Fama ne tient pas, elle s’oppose à la fureur du héros épique qui ne disparaît pas avant

ou le Grand Cyrus (p. 189-190), mais il se vit principalement sur le mode de l’échange sentimental et cérébral : « Je veux aussi qu’il me dise tous ses secrets, qu’il partage toutes mes douleurs, que ma conversation et ma vue fassent toute sa félicité. » 2. L’art du portrait Le portrait de Cléomire est organisé de manière circulaire : il s’ouvre et se ferme sur l’évocation de l’esprit de ce personnage, caractérisé par son excellence. Entre ces deux évocations de son esprit, le portrait vante

we believe we own and direct. Nor is it clear that there is a moral centre of gravity in Racine’s bleak universe. No characters represent an authorial voice and none are wholly good. Their passions are often destructive and love, especially in his heroines, does not inspire heroism but is subversive and a source of crime, misery and forgetfulness of duty. Even Phèdre, who nobly tries to conquer feelings constantly provoked by Venus and her human passion, is ‘neither wholly innocent nor wholly guilty’

principal pour l’atteindre, l’amour : « J’aime Manon ; je tends au travers de mille douleurs à vivre heureux et tranquille auprès d’elle » (l. 13-14). Elle évolue dans le dernier paragraphe du texte vers l’hédonisme : « il est certain que notre félicité consiste dans le plaisir » (l. 30-31). On peut donc bien parler de morale dans la mesure où Des Grieux expose une règle de conduite générale (aimer passionnément) orientée vers un objectif supérieur (le bonheur). En revanche, là où la morale

celle des sentiments personnels, qu’il s’agisse d’épancher un cœur souffrant de la maladie d’amour ou de la perte d’un être cher – parmi d’innombrables exemples, on peut citer les Sonnets de Louise Labé, ou, au théâtre, des tirades des héros et héroïnes de Corneille et Racine, ou quantité de vers des poètes romantiques (Lamartine, Vigny, Hugo, Musset, etc.), ou encore Apollinaire et Eluard –, ou de confier à ses vers ou proses toutes les blessures ou souffrances ou frustrations d’une existence (pour

principal pour l’atteindre, l’amour : « J’aime Manon ; je tends au travers de mille douleurs à vivre heureux et tranquille auprès d’elle » (l. 13-14). Elle évolue dans le dernier paragraphe du texte vers l’hédonisme : « il est certain que notre félicité consiste dans le plaisir » (l. 30-31). On peut donc bien parler de morale dans la mesure où Des Grieux expose une règle de conduite générale (aimer passionnément) orientée vers un objectif supérieur (le bonheur). En revanche, là où la morale

jumelle 10 une passagère 4 une baronne 11 une candidate 5 une châtelaine 12 une métisse 6 une ambitieuse 13 une traductrice 7 une monitrice 14 une tourterelle 15 une faisane 17 une tutrice 18 une abbesse 19 une collaboratrice 20 une hôtesse 21 une héroïne 22 une servante 16 une courtisane 23 une jongleuse 24 une banquière 25 une oie 26 une caissière 27 une conseillère 28 une championne 158 Copiez les phrases en remplaçant chaque nom masculin en gras par son équivalent féminin et faites les

après Guillaume le Conquérant les Anglais ont eu des parlements; ils s'en vantent, comme si ces assemblées appelées alors parlements, composées de tyrans ecclésiastiques et de pillards nommés barons, avaient été les gardiens de la liberté et de la félicité publique. Les barbares, qui des bords de la mer Baltique fondaient dans le reste de l'Europe, apportèrent avec eux l'usage de ces Etats ou parlements dont on a fait tant de bruit et qu'on connaît si peu. Les rois alors n'étaient point despotiques

passage ? Réponses  a) À la fin de l’acte II, Arnolphe avait ordonné à Agnès de rompre tout commerce avec Horace et, s’il revenait, de lui jeter un « grès » (v. 635), autrement dit une grosse pierre. Au début de l’acte III, le barbon exulte et félicite Agnès de son « honnêteté » (v. 658) : il l’a vue jeter une pierre pour détourner Horace. Il décide de hâter les noces, fait appeler le notaire pour établir le contrat et donne à lire à Agnès d’austères Maximes du mariage ou les devoirs de la femme