Féminisme égalitaire

suffragiste s'étend au sein de pans plus larges de la société française. Ainsi, en1906 le Conseil national des femmes françaises se rallie officiellement à cette doctrine. Il crée une section «suffrage» dont il donne la charge à Hubertine Auclert. Le féminisme catholique prend peu à peu partie, lui aussi, pour le vote des femmes. L'idée se popularise au-delà des milieux féministes et elle s'inscrit dans un vaste mouvement de démocratisation. Ces évolutions se traduisent au Parlement, principalement par

fille de l'auteur d'un Dictionnaire des femmes célèbres. Ancienne sociétaire de la Comédie Française elle s'était orientée après son mariage avec un député vers le métier de journaliste. Les états généraux du féminisme se tinrent en 1929. Y participa une tendance généralement absente : le féminisme catholique, qui espérait que le droit de vote ferait échec aux laïcs. A l'ordre du jour des états généraux : la réunion de toutes les activités féminines en vue des réformes souhaitées, parmi lesquelles la

La Journée internationale de la femme trouve son origine dans les mouvements ouvriers du tournant du XXème siècle en Amérique du Nord et dans toute l’Europe. Depuis lors, cette Journée a pris une nouvelle dimension mondiale pour les femmes des pays développés comme pour celles des pays en développement. Le mouvement international croissant en faveur des femmes, qui a été renforcé par les quatre conférences mondiales des Nations Unies sur les femmes, a contribué à faire de cette commémoration un point

féminine et le patriotisme, en insistant sur le fait qu'une citoyenne doit considérer les intérêts du pays comme plus importants que son propre sort. Et pour la célèbre Song Qingling, la femme chinoise ne devait pas se battre pour ses droits par « féminisme », mais pour contribuer au mouvement de démocratisation et de modernisation dans son ensemble. Absence de l'histoire et insuffisances sociologiques La représentation que les réformateurs imposèrent de la femme chinoise traditionnelle fut donc politique

LA PAROLE DES FEMMES UNE PAROLE FORTE  Nous allons vous présenter cet exposé en vous parlant de différents arts à travers le 19ème et le 20ème siècle. Premièrement, nous vous parlerons du contexte artistique de l’époque pour les femmes puis nous vous présenterons deux œuvres. Au XIXe siècle, les femmes talentueuses avaient peu de possibilité de le montrer aux autres. En effet, la société de l’époque trouvait ça choquant qu’une femme montre ses œuvres au public. Il faudra attendre le milieu

exceptionnel : Intérêt pour la société : Olympe de Gouges est la pionnière du féminisme français, durant toute sa vie elle s'est battu pour les droits de la femme. Elle est convaincue que les femmes doivent jouer un rôle dans les débats politiques ! Grâce à la révolution française, Olympe de Gouges peut montrer à quel point elle est en avance sur son temps, elle publie même un écrit qui est l'un des fondements du féminisme originel : «  Droits de la femme et de la citoyenne ». Dans ce texte elle prône

 ETUDE DE CAS Introduction Pendant les deux guerres mondiales, les femmes ont vécu des situations difficiles. Malgré les souffrances psychologiques et physiques, ces dernières ont pu faire leurs taches ménagères, educatives et en même temps remplacer les hommes dans les usines et ateliers. Rapidement les mouvements féministes sont nés pour réclamer l’égalité entre homme et femmes. Pourtant les femmes venaient déjà de prendre une place plus importante

La femme au XVIIIème siècle Malgré leur volonté de lutter contre l'obscurantisme, les philosophes des lumières restent étroits d'esprit quant à la condition de la femme et son accès à l'éducation. Dite inégale physiquement, elle serait également inégale intellectuellement. Les avis restent cependant partagés. Certains pensent que les femmes ont droit à l’éducation et qu’il n’y a pas de différences entre les deux sexes. D’autres restent sur des idées conservatrices : la femme est inférieure à l’homme

 Sujet : « La femme est la vassale de l’homme. » Homme et femme, égalité impossible ? Pourquoi nomme-t-on les femmes le deuxième sexe ? Pourquoi les hommes sont-ils toujours privilégiés ? La misogynie reste inexplicable. Mme de Beauvoir cite dans la préface de son livre Le deuxième sexe : « La femme est la vassale de l’homme. » Selon certains points de vue, la femme serait donc assujettie à l’homme. Un retour dans le passé sera nécessaire pour analyser l’évolution de la situation de la femme

M 1997 Femmes Publiques: Editions Textuel. 109 PORTNOY, H 1969 La femme et le monde moderne. Editions Magnard. PROSPER, JG 1996 La creolie Indien- Océaniste: Edition le Printemps. Revues cités 2002 L’Avenir Politique du feminisme: Presses Universitaires de France,pp9-91 TOUSSAINT, A 1974 Que sais-je. Histoire de l’Ile Maurice:Paris Presses Universitaires de France. 110