Gabriel González Videla

hoy, está de moda. Durante esta época, la poesía adquiere cada vez más nuevas formas. Desde la muerte de Rubén Darío, ya se reflejaba el agotamiento de la vertiente considerada formalista y evasiva del Modernismo en los versos del mexicano Enrique González Martínez (1871-1952). Predomina un ansia de autenticidad que lleva a los poetas a escribir sobre la realidad cotidiana. Eso se refleja claramente en los versos de la chilena Lucia Godoy, conocida como Gabriela Mistral (1889-1957)[13]. Desde los

au douzième rang mondial, juste devant le France. La seconde moitié du XX ème siècle a été marquée par le général Juan Perón qui présida l’Argentine de 1946 à 1955 et de 1973 à 1974. Ensuite, l’Argentine fut plongée dans la dictature militaire sous Videla, qui entreprit une «Stratégie du choc» à la manière de Pinochet(Chili).Cette dictature fut l’épisode le plus atroce de l’histoire argentine, à l’origine de la disparition forcée de 30 000 personnes et de la transformation de la structure sociale argentine

Ríos, son successeur, doit affronter l’opposition et les pressions des États-Unis pour entrer en guerre contre les pays de l'Axe ; la déclaration de guerre est signée le 20 janvier 1943. En 1946, avec l’appui du Parti communiste, le radical Gabriel González Videla est élu Président. Cependant, le début de la Guerre froide oblige à interdire le parti communiste au moyen de la Loi de Défense de la Démocratie (Ley Maldita). En 1952, Carlos Ibáñez del Campo reprend le pouvoir – cette fois-ci au moyen d’une

Thèmes : América Argentina – Dictaduras (exiliarse) - Emigrar Titre : Un intento de rebelión Type et source : Narrativo A. Neuman – Una vez Argentina Manuel : Juntos - Première p. 174 Nombre de lignes : 30 Thèmes : América Argentina (bajo Videla) – Dictaduras (libros prohibidos) – Literatura (y libertad) La crisis - 2001 Titre : La revolución del cacerolazo Type et source : Narrativo El País Semanal 29/12/2002 Manuel : Puerta del Sol - Première p. 142 Nombre de lignes :

Écoles des Hautes Études en Sciences Sociales Regards croisés sur les rapports des classes populaires au politique en Argentine Retour sur la question du « clientélisme » Thèse pour de l’obtention du doctorat en sociologie Soutenue par Gabriel Vommaro le 21 juin 2010 Sous la direction de Patrick Champagne Membres du jury : Jean-Louis Briquet (rapporteur), directeur de recherche au CNRS. Annie Collovald (rapporteure), professeur à l’Université de Nantes. Denis Merklen, maître de conférence

soient amenés à s’y intéresser et à y trouver un message d’espoir leur redonnant la fierté d’être ce qu’ils sont. Le pouvoir de la chanson, forme d’art populaire, est comparable ici à celui de la poésie (cf. « La poesía es un arma cargada de futuro » Gabriel Celaya, manuel Algo más de Première). Prácticas on invitera les élèves à se reporter à la page 242 du manuel (Précis grammatical), avant de réaliser l’exercice. Correction Complète les phrases suivantes avec «cualquier» ou «cualquiera...»

soient amenés à s’y intéresser et à y trouver un message d’espoir leur redonnant la fierté d’être ce qu’ils sont. Le pouvoir de la chanson, forme d’art populaire, est comparable ici à celui de la poésie (cf. « La poesía es un arma cargada de futuro » Gabriel Celaya, manuel Algo más de Première). Prácticas on invitera les élèves à se reporter à la page 242 du manuel (Précis grammatical), avant de réaliser l’exercice. Correction Complète les phrases suivantes avec «cualquier» ou «cualquiera...»

soient amenés à s’y intéresser et à y trouver un message d’espoir leur redonnant la fierté d’être ce qu’ils sont. Le pouvoir de la chanson, forme d’art populaire, est comparable ici à celui de la poésie (cf. « La poesía es un arma cargada de futuro » Gabriel Celaya, manuel Algo más de Première). Prácticas On invitera les élèves à se reporter à la page 242 du manuel (Précis grammatical), avant de réaliser l’exercice. Correction Complète les phrases suivantes avec «cualquier» ou «cualquiera...». 1. Calle

comidas típicas de las diferentes culturas que allí habitan. Claro que no todos los vecinos comparten la idea. Algunos piensan que solo se está realizando una reforma estética sin abordar los problemas estructurales y legales que tiene el barrio. Jorge González: Al no tener título de propiedad, ¿yo para qué quiero que me la pinten? ¿Para qué quiero la casa? Yo quiero tener el título de propiedad, pagar gas, luz, agua, que este terreno, este pedazo de tierra sea mío. Entonces yo quiero participar también