Gaîté-Lyrique

Niveau de langue : Familier, courant, soutenu. ➢ Champs lexical : Pauvreté, famille. ➢ Registre ou tonalité : - Comique. - Dramatique. - Humoristique. - Tragique. - Ironique. - Lyrique. - Pathétique. 6) Dans ce texte Maupassant utilise un regard : Ironique - Termes désignant les enfants : « produits », « dans le tas ». - Lorsque les parents sont incapables de reconnaître leurs enfants : «  les mères distinguaient

prédatrice des hommes (le cheval s’étant voulu venger du cerf 4,13), aveuglement politique du peuple, dans l’exemple de Plutarque (le pouvoir des fables, 8,4), férocité des princes ( le renard, les mouches et le hérisson 12,13). Cette alliance de gaité détachée, de froide lucidité contemplative, et du souci de mettre les lecteurs à la portée d’une telle connaissance poétique, a fait de l’apologue animalier, parent de la comédie, une des formes les plus caractéristiques de ce que nous appelons, d’un

portrait d’un chérubin (l. 4-8)3. La pitié d’une femme du monde (l. 8-11)II. Le dialogue des amants (l. 11-18)1. Mme de Rênal ou la douceur d’une femme aimante (l. 11-13)2. La domination des charmes de Mme de Rênal sur le dialogue. (l.14-18)III. La gaité romantique d’une femme séduite (l.19-25)1. La contemplation des amants (l. 19-22) 2. La gaieté juvénile de Mme de Rênal comme expression de son esprit romanesque (l. 22-25) I. L’intrigante apparition de Julien Sorel (l. 1-11)1. L'apparition de Julien

séduit par l’élan romantique du poème d’Hugo, ou par le caractère insolite de certaines métaphores. Dans l’anthologie que vous allez lire, vous remarquerez que, dans la plupart de ces extraits de recueil, le soleil est symbole de vie et de gaité, de renouveau, voire d’inspiration. Tantôt personnifié avec lyrisme, en des termes laudatifs, ou vénéré et apostrophé comme un dieu, créateur d’ombre et de lumière, embellissant tout ce qui l’entoure. Il est présenté comme un bienfaiteur, l’emblème

Atelier français numéro 9 La ville créative : marketing urbain ou modèle économique ? Photos : © Ivan Mathie Compte-rendu par Fabienne Pavia Le dernier Atelier français de la saison s’est tenu à la Gaîté Lyrique, avec pour thème de réflexion « la ville créative ». Cet événement était organisé dans le cadre de la programmation « off » du festival des arts et de la création numériques Futur en Seine. Quand on aborde la notion de ville créative, plusieurs exemples viennent spontanément à l’esprit

l'eau ce qui montre la fuite du temps (topos) = poème de la nostalgie (Cf "Le pont Mirabeau") -> Cadre sombre = renforce la nostalgie -> Mal aimé, désillusion, tristesse car 2 échecs amoureux -> CL du malheur, du désespoir, mort -> "Je" = poésie lyrique ("La chanson du mal aimé"). "tu" en parlant de lui dans "zones" pour parler des souvenirs. = registre élégiaque = regret, douleur, nostalgie, malheur, la plainte III) La permanence de la tradition poétique -> Rimes -> Evocation de certains topos

un livre où le sublime éclate de chapitre en chapitre… ». le premier à déceler en Stendhal, l'un des grands écrivains du dix-neuvième siècle. On a souvent accolé l'épithète « sec » au style de Stendhal. A une époque où régnait le goût des envolées lyriques, Stendhal a eu en horreur l'éloquence et l'emphase. Il détesta Chateaubriand et Mme de Staël.Dès 1821, Stendhal, avait composé lui-même son épitaphe, en italien : "Henri Beyle, Milanais, vécut, aima, écrivit. Cette âme adorait Cimarosa, Mozart et

XIe siècle), puis la littérature courtoise, apparue au XIIe siècle, qui voit trouvères et troubadours chanter l'amour parfait dans leurs poèmes et Chrétien de Troyes écrire les Romans de la Table Ronde, alors que la fin de la période offre une poésie lyrique authentique avec Rutebeuf au XIIIe siècle et surtout François Villon au milieu du XVe siècle. À côté des genres nobles apparaissent des genres populaires souvent anonymes comme les fabliaux ou le satirique Roman de Renart ou au théâtre les farces

lexical de la gaité : « couleur rouge, coupe joyeuse »ligne 38. Nous avons un personnage joyeux qui fête le carnaval et semble vouloir profiter des plaisirs de la vie « plus que jamais du vin de Chypre » ligne 13. De l’autre Celio , amoureux mélancolique , contrarié et fidèle « tu ignoreras ce que c’est qu’aimer… », l’amour…trouble ma vie entière, depuis un mois j’erre autour de cette maison nuit et jour ». Le trouble de Coelio par rapport à son amour est mis en évidence par le ton lyrique de la dernière

pour se conclure par la mort des deux personnages principaux. Cette œuvre en vers et en prose est composée de cinq actes. Les personnages principaux sont : - Roméo, fils des Montaigu. C’est un personnage complexe qui passe de la mélancolie à la gaité, de la tendresse à la colère, de la douceur à la violence. Il est rêveur, passionné, exalté, impulsif et excessif. - Juliette, fille unique des Capulet. Agée d’à peine 14 ans, elle parait être au début de la pièce une jeune fille sage. Mais dès