Gaius

romain: les iura populi romani Gaius est un juriste consulte, c'est-à-dire une sorte de professeur de droit, son métier est d'enseigner le droit et comme tout professeur de droit, celui qui enseigne cherche à présenter de manière un peu schématique les principes qui font sa matière. Et donc Gaius a rédigé un petit manuel de droit qui propose un présentation synthétique du droit romain = les institutes (opposés aux responsa qui sont de véritables notes de doctrine). Gaius présente les sources du droit

trésor de la cité et on demande aux femmes une certaine solidarité. On demande aux femmes de ne pas porter d’or, afin de montrer la solidarité. l1, l4, l8-9-21 et 24 (« loi »), L4-5 et puis l24 (dernière phrase) La loi Oppia : proposer par un tribun, (Gaius Oppius). Pour contrebalancer le pouvoir patricien, les tribuns on à droit de véto et d’initiative (proposer des lois aux comices tributes, qui rassemblent les citoyens par tribus) et c’est donc en 215 que cette loi est adoptée par le peuple et applicable

4 éléments : le code , le digeste , les institutes puis les novelles. Pour créer les institutes, Justinien va reprendre le plan des Institutes de Gaius publiées en 160 : personnes, biens, actions. En restaurant donc les institutes, ici étudiées, Justinien restaure l’enseignement du droit. Ce manuel est alors à destination des étudiants en droit et des enseignants.

un des cas prévus- ENSUITE, il écoute les parties présentes donner leurs arguments *c’est un échange entièrement orale + formaliste - ENSUITE, les paroles rituelles sont vérifier car si pas suivi à la lettre = non-lieux Exemple : Gaius dans ses institutes (manuel de droit) rapporte le cas d’un paysan dégouté de son procès : Il a invoquer la mauvaise formule au lieu de dire arbre coupé, il dit vigne coupé = non-lieux - ENSUITE, si le défendeur ne reconnait pas le bien

une forme casuistique, néanmoins très tôt les jurisconsult romain on commencer aussi à dvlper une penser systématique donc procéder à des classifications. La plus célèbre est l’œuvre d‘un juriste du 2ème siècle de notre ère et s’appelle Gaius, dans les années 160 gaius a écrit un manuel intitulé « les institutes » ce terme ne signifie que manuel à l’usage des étudiants. Ce manuel a une particularité, il classe l’ensemble du droit selon un plan en trois axes : personae, res, actiones. Les personnes,

l’éloquence de César et les nombreux témoins à charge qu’il cite, la cible a trop de poids politique : Dolabella est acquitté, probablement par solidarité de classe avec ses juges tous issus du Sénat26. César tente une seconde et brillante attaque contre Gaius Antonius Hybrida, qui faillit réussir. Antonius dut recourir à l'intervention des tribuns de la plèbe pour échapper à une condamnation27. L’ascension de César

faire connaitre les vus de l’auteur dans le texte aux destinataires de ce texte. C’est la préface des institutes, manuel de droit mot latin : institutiones du verbe instituere qui veut dire enseigner. Jurisprudensia Il y a eu avant celui la celui Gaius (jurisprudent, on lui doit la clarté juridique) ou encore d’Ulpien. Intérêt du texte : enseigner le droit, nous apprend que justinien avait la volonté de restaurer l’enseignement et pour cela doit enseigner le droit Donc : Pourquoi les institutes

conscient qu'il lui faut un héritier, mais n'ayant pas de fils, il adopte son neveu, Claudius Marcellus. b) Le premier héritier : Claudius Marcellus Le choix d'Auguste se porte sur son neveu, Marcus Claudius Marcellus, fils de sa sœur Octavia et de Gaius Claudius Marcellus, né en 42 av.J.C. Il s'occupe de sa carrière, en lui donnant « le pontificat et l'édilité curule » (l.2) → pontificat : charge religieuse ; en 23 av.J.C, l'édilité curule : siègent au Sénat, recrutés parmi les patriciens, chargés

avec le droit en vigueur et les classe par matières. Les fragments sont triés par thème et ordonnés par un plan général de 50 livres, fruit du dépouillement de plus de 1600 livres, émanant d'au moins 39 juristes différents, notamment Ulpien, Paul,Gaïus, Papinien et Modestin. Cet ouvrage est achevé et publié le 16 décembre 533, par la constitution Tanta portant confirmation du Digeste qui souligne la vocation unificatrice de ce travail de grande ampleur. I – La Constitution Tanta : éloge d'un

appellare nomine suo passus est. (3) Quem quidem nonnulli Graecorum similem quoque Caesari et forma et incessu tradiderunt. (4) M. Antonius adgnitum etiam ab eo senatui adfirmauit, quae scire C. Matium et C. Oppium reliquosque Caesaris amicos; quorum Gaius Oppius, quasi plane defensione ac patrocinio res egeret, librum edidit, non esse Caesaris filium, quem Cleopatra dicat. (5) Heluius Cinna tr. pl. plerisque confessus est habuisse se scriptam paratamque legem, quam Caesar ferre iussisset cum ipse