Gaius

Nous partons du droit romain. La première classification c'est celle de Gaius et on aura après Justinien. Ils vont évoquer ces classifications dans des institutes appelle corpus. On a chez Gaius une séparation nette entre les obligations qui naissent du contrat, et d'un autre coté des obligations qui naissent des délits (vols, dommages causés). Dans cette catégorie des délits, il y a une indépendance de la volonté. Gaius na pas définit le contrat mais il en a nommé 4 types : ○ Le contrat re :

juristes=doctrine vont inventer des solutions, règles qui n’existaient pas. 19 C : LES JURISTES SINGULIERS - Gaius (2ème siècle de notre ère-178/9) est sans doute d’origine grecque. Il y aune théorie comme quoi c’était une femme, comme Gaius n’a jamais été au pouvoir, on ne sait rien de Gaius, Comme à l’époque en Grèce, le prénom féminin le plus répondu est Gaia, Gaius était donc Gaia et donc une femme. Gaius a publié un livre, le premier manuel de droit, manuel institutiones en latin, que l’on appelle couramment

l'on se sent bien Ubi concordia, ibi victoria ------------- Là où il y a concorde, il y a victoire Ubi lex non distinguit, non distinguere debemus ------------- Là où la loi ne distingue pas, il ne faut pas distinguer Ubi tu Gaius, ibi ego Gaia ------------- Là où tu seras Gaïus, je serai Gaïa (formule de fidélité dite par les époux romains lors du mariage) Ultima ratio regum ------------- Le dernier argument des rois (devise inscrite sur les canons par ordre du Cardinal de Richelieu) Ultra posse nemo

de la jurisprudence Sous le haut empire les jurisconsultes (les savants du droit) vont rédiger des œuvres doctrinales qui contiennent les éléments les plus sophistiqués du droit romain. La seul œuvre doctrinale qui nous soit parvenue est celle de Gaius en 140 de notre ère. Nous allons voir les jurisconsultes délivrer les premières définitions du droit, c’est ce qui différencie de la jurisprudence sous la république car maintenant elle ne s’occupe plus de la pratique. Ainsi les jurisconsultes vont

. Là c'est de la théorie pure, plus tard les praticiens ne l'ont pas trouvé très utile. - Les institutes : c’est un manuel destiné aux étudiants en droit (manuel élémentaire de droit), ils ont repris le plan des institutes écrits par un juriste: Gaïus (2° siècle après JC), ce qui a été également repris par Napoléon. Elles ont été publiées en 533. - Le code de Justinien, parut en 534 qui regroupe toutes les lois des divers empereurs qui se sont succédés, c'est donc un recueil de lois impériales

pâles («pâles roses»), maladives, qui sont des femmes atteintes de «chlorose», c’est-à-dire : décoloration de l'épiderme qui vire au blanc-verdâtre, ou des muqueuses, anémie, goûts bizarres, dus au manque de fer. Déjà, l’empereur romain Constance Ier, Gaius Flavius Valerius Constantius, avait été surnommé «Constance Chlore» (de «chlorus» : «pâle»). Et Balzac écrivit en 1825 un roman intitulé ‘’Wann-Chlore’’, nom de l’héroïne, une jeune Anglaise romantique, évanescente, jalouse, et surtout si pâle qu'on

des réformes de la constitution par Sylla! !27 av. JC : Fin de l’époque républicaine ! ! ! ! EMPIRE ! !! - 27 av. JC : Début du principat avec Auguste! !130 : Le juriste Salvius Iulianus codifie les édits des prêteurs! !161 : Institutes de Gaius! !285 : Fin du Principat et début du Dominat (plus de j-c ni de sénat)! ! ! ! ! DROIT! CLASSIQUE! - 286 : Incursion des Burgondes et des Alamans dans le Nord DROIT POST! CLASSIQUE - 313 : Constantin se converti au christianisme

moyen âge. Le chevet de l’église St Pons : Construit avec trois assises de pierres dont un élément porte une inscription funéraire du 1er siècle. Celle-ci indique qu’une certaine Cornélia a fait (sous entendu : un tombeau) pour elle et son mari, Gaïus Adreticius Victor, de la tribu Voltinia, pour ses enfants, petits-enfants et pour Victamaria Junia, sa bru très méritante. Il s’agirait du réemploi d’un mausolée Gallo-Romain. Traverse Glacière : Le décrochement de murs correspond à la juxtaposition

réel. Selon la nature de l'obligation, l'action in personam peut être « réipersécutoire », lorsqu'elle tend à l'indemnisation pure et simple du préjudice causé, ou bien « pénale », lorsqu'elle tend à la punition du débiteur, à la suite d'un délit (Gaius, Institutes, 3, 88-89). Dans le domaine contractuel, les actions réipersécutoires se subdivisent à leur tour en deux catégories : les « actions de droit strict », dites judicia stricta ou condictiones, qui sanctionnent les obligations unilatérales

futur époux, une femme qui n'a été mariée qu'une seule fois (la pronuba) place la main droite de la femme dans celle de l'homme (la dextrarum junctio). Devant une dizaine de témoins, il y a échange des consentements selon la formule Ubi Gaïus, ego Gaïa (Où tu seras Gaïus, je serai Gaïa). La cérémonie se poursuit dans la maison du père de l'épouse, par un banquet qui souvent dure jusqu'à la nuit.Puis, à la tombée de la nuit, la jeune fille était conduite au domicile de son époux par le cortège des garçons