Galerie des Batailles

et mort en 1969 à l'age de 77ans. C'est un peintre allemand, engagé volontaire au début de la première guerre mondiale . Cet homme a vécu l'horreur de la "Grande Guerre" et donc il témoigne de son expérience de soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté est mise en scène. Diapo : Otto DIX réalise La Guerre entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période où les gens commencent à oublier les souffrances apportées par la guerre. C'est dans ce

flanc droit de l'armée allemande. Dans un sursaut patriotique, les autres armées françaises, exténuées par plus de deux semaines de retraite et de combats ininterrompus, contre-attaquent également. Après six jours de combats les Français gagnent la bataille dite de la Marne et poursuivent les Allemands en retraite jusque sur l'Aisne où ceux-ci parviennent à se rétablir. Les deux adversaires cherchent alors à emporter la décision plus au nord, cette tentative de débordement réciproque appelée "course

Otto Dix rappelle la violence de la guerre, que les gens commençaient à oublier. 3- Analyse Description : Chaque panneaux évoque un moment précis de la bataille : à gauche , une colonne de soldats allemands sort de la brume. Equipés de leurs fusils et de leurs paquetages, ils se dirigent vers le front. Au milieu, le champ de bataille. L’auteur met en scène un spectacle hallucinant dans une tranchée effondrée : un paysage dévasté, des cadavres déchiquetés, disloqués, percés de balles… le sang

mettant en scène l’intolérable violence et l’absurdité de la guerre dans ce chapitre. Dans un premier mouvement le personnage entre directement dans la fureur et le bruit de la guerre. Puis dans un deuxième mouvement le personnage s’échappe du champ de bataille et traverse un paysage totalement ravagé par la guerre. Le troisième mouvement correspond à sa fuite et au retour de l’optimisme du héros. Premier mouvement ( premier paragraphe ) : « Une boucherie héroïque » Le pronom indéfini rien donne le ton

(1829), (musée du Louvre à Paris), La Liberté guidant le peuple, (1830), (260 × 325 cm) (musée du Louvre à Paris), Mirabeau et Dreux-Brézé, le 23 juin 1789, (1830), (musée Eugène-Delacroix à Paris), La Bataille de Poitiers, (1830), (musée du Louvre à Paris), La Bataille de Nancy, (1831), 237 × 350 cm, (musée des Beaux-Arts de Nancy), Boissy d’Anglas saluant la tête du député Féraud, (1831), (musée des Beaux-Arts de Bordeaux), Paganini jouant du violon (1831), (Collection

d'Otto Dix Présentation de l’œuvre Titre : Pragerstrasse (la rue de Prague) Auteur : Otto Dix (1891-1969) Date de réalisation : 1920 Lieu de conservation : Stuttgart, Galerie der Stadt Courant artistique : DADA Otto DIX En 1920, à l'age de 29 ans, Otto DIX participe à la premiere guerre mondial, oû il s'est porté volontaire dans un groupe de mitrailleurs. Traumatisé ,ce peintre peint dans la plupart

D’OTTO DIX Présentation Ce tableau s’intitule La guerre *Otto Dix (1892-1968) est un peintre allemand. En 1910, il intègre l’école des Arts décoratifs de Dresde. En 1915, il reçoit une formation de mitrailleur et participe a de nombreuses batailles ou il est blessé plusieurs fois. Apres la première guerre mondiale il devient professeur d’art Considéré comme un artiste « dégénéré » par le régime nazi, il sera l’un des premiers professeurs renvoyés et persécutés. Certaines de ses œuvres seront

de la tempera également souvent utilisée pour les tableaux religieux. Elle est actuellement visible à la galerie Gemäldegalderie Neue Meister de Dresde. II-Description de l’œuvre Cette œuvre est figurative car on reconnait des éléments du réel : il s’agit de scènes de guerre, Cette œuvre fait le portrait de divers soldats. Ils sont principalement vus en action, pendant la bataille, il s’agit donc de portraits en mouvement l’œuvre est découpée par chaque panneau, chacun représente une

appartiennent au groupe Galeries Lafayette qui détient 100% des parts de l’enseigne du Bazar de l’Hôtel de Ville. Il faut savoir que le B.H.V représentait 10,2% des recettes du groupe Galeries Lafayette en 2005. Mais en 2006, avec 4 millions de perte et 580 millions de chiffres d’affaires, l’enseigne se trouve encore dans le rouge, ce qui a entraîné les fermetures des magasins de Caen et de Strasbourg. Répartition du chiffre d’affaires consolidé par branches en 2005 du groupe Les Galeries Lafayette. Répartition

étroite – elle avait, en fait, la forme d'un entonnoir. Sa disposition n'a pas beaucoup changé, c'est-à-dire que des loges et des galeries formaient un ovale autour de la scène. Toutefois, le parterre était réservé aux hommes moins fortunés, qui s’y tenaient debout (ces places étaient bon marché, et le public, assez bruyant et difficile à satisfaire), alors que les galeries et loges accueillaient le public élégant (des femmes, principalement). La scène, quant à elle, était petite et éclairée d'abord