Galilée ou l'Amour de Dieu

Selon cette vision, l’homme est coupable du péché originel et doit accepter le malheur pour accéder à la vie éternelle. Or les humanistes découvrent, dans les textes des auteurs grecs et latins, une autre conception du monde. L’homme, créature de Dieu, est au centre de l’univers. Il peut maîtriser son destin sur terre, refuser la fatalité, transformer le monde. Cette révolution culturelle, ainsi que la découverte des « nouveaux mondes » d’Amérique et d’Asie, entraînent des ruptures dans tous les

la raison au service de l’intelligence de la foi. Son projet ou son idée de départ était de montrer que la culture profane ne s’opposait pas à la religion. Les textes d’Aristote lui ont servi de référence pour la démonstration de l’existence de Dieu et pour mieux comprendre les Textes Saints (ou les Écritures Saintes). C’est ainsi que la théologie s’est constituée en science véritable, c’est-à-dire science des choses divines fondée sur des raisonnements et démonstrations conformes aux principes

* Philosophie : Questions existentielles, problèmes fondamentaux, discours rationnel et critique * * Concepts philosophiques de l’être humain : * Être acquis/inné * Perfectibilité * Historique * Culturel * Créature de Dieu * Besoin/instincts/désirs * Sentiments/émotions * Raison/passion/logique * Libre arbitre/volonté/liberté * Inconscient/conscient de soi-même * * Comprendre, Under stand: prendre, le soutenir, l’avoir sur nous *

n’eussent jamais empêchés, selon le mot d’un de ses pairs, de ne respirer que du côté du ciel. Il serai fort injuste d’expliquer la passion nationale chez le clerc moderne seulement par l’intérêt; elle s’explique aussi, et plus simplement par l’amour, par le mouvement qui porte naturellement tout homme à aimer le groupe dont il relève parmi les quelques groupes qui se partagent la terre. Or, là encore, on peut soutenir que la nouvelle foi du clerc a pour cause les transformations du XIXe siècle

    1.3.3 Les anges chantent-ils?      1.3.4 Quelle est la langue des anges ?      1.3.5 L'ange de l'assemblée  2. ORIGINE ET NATURE DES ANGES  2.1 Ils sont différents des hommes      2.1.1 Ils n'ont jamais péché      2.1.2 Ils ne connaissent pas Dieu comme leur Père      2.1.3 Ils sont incorporels      2.1.4 Ils ne sont pas une race  2.2 Ils n'ont pas les attributs divins      2.2.1 L'éternité      2.2.2 L'omniscience      2.2.3 L'omnipotence      2.2.4 L'omniprésence  2.3 Conclusion  3. LA

plus belle et plus riche robe, qui ne peut être que rouge. En même temps, les prostituées devaient porter un vêtement rouge pour être repérées dans la rue, et les maisons closes s'identifier par une lanterne rouge. Le rouge incarne deux images de l'amour : le divin et le péché. Ce qui alimente toujours cette ambivalence autour de cette couleur. P a g e 7 | 12 Cette époque a également vu l’utilisation du rouge dans l’art pour créer

réédité et le doute de Descartes suscite un sceptisme rationaliste. L’allégresse brille chez les Persans de Montesquieu, dans les petits vers de Voltaire , dans l’ironie malicieuse de Lesage, dans la première comédie de Marivaux «arlequin poli par l’amour » (1720). Les idées : Le XVIIIème siècle a eu donc la passion des idées selon le mouvement amorcé par les Modernes dans leur querelle avec les Anciens.les discussions d’idées, les thèses, les systèmes envahissent tous les genres littéraires

siècle reflète cet idéal. Les romans arthuriens de Chrétien de Troyes associent aux aventures des chevaliers l'amour d'une dame : ils se battent en son nom et pour conquérir son cœur. Ais le fin'amor, chanté par les troubadours et trouvères, tend a représenter sur le plan littéraire un amour impossible ; le jeu mondain devient tragique et le poète invoque une femme aimée mais inaccessible. L'amour de Lancelot pour la reine Guenièvre, l'épouse du roi Arthur dans Le Chevalier à la Charrette (1186) de Chrétien

En suite des questions sur l’amour et la passion. Le transport de l’humain au-delà de lui-même ; cf. aussi la conscience, notamment dans la perspective phénoménologique de Husserl. L’individu imparfait, incomplet, limité, aspire à la complétude, à la complétion, à l’illimité. Dans les transports de la foi, sensation à la fois grisante et apaisante de communier avec, voire de se dissoudre dans, un tout cosmique dont nous sommes chacun partie intégrante. Croyance en Dieu ; mais l’insistance sur la

«mère-cep». La civilisation sumérienne ne manque d’ailleurs pas de dieux, puisque Pa-gestin-dug «bon cep» a pour épouse Nin-kasi, la «dame du fruit enivrant». Plus tard, en Egypte, Osiris est considéré comme le dieu du vin ; Dionysos chez les Grecs, puis Bacchus chez les Romains, est un dieu des réjouissances, des bacchanales, des festivités. Le culte de Bacchus s’étend lors de la période romaine à toutes les classes sociales et aucun empereur ne parviendra à l’interdire. Présent partout dans l’Ancien