Gangs De Rue

disapprovingly (but enticingly) of the demi-monde of genteel prostitution in a series of exposés beginning with La Dame aux camélias (1848). Less moralizing and unashamedly escapist were novels which introduced readers to the criminal underworld and robber gangs. But socially conscious authors showed, in politer surroundings, the same greed and violence in the nefarious activities of financial swindlers, unscrupulous lawyers and shady speculators, with the good using the weapons of the wicked to defeat evil

vérifier que le droit qui est appliqué à ces personnes ne soit pas un droit contraire aux principes que nous appliquons pour nous-mêmes : ce ne doit être ni la torture ni la peine de mort ni des peines infamantes. […] L'autre inquiétude, celle de la rue plutôt, c'est que les pirates s'échappent de prison 3 jours après avoir été emprisonnés parce qu'ils ont des moyens financiers que les gardiens de ces prisons n'ont pas. Mais cela est lié à la situation en Somalie parce que ce n'est pas seulement un