Garde rouge

sur sa poitrine où une tête de loup essayait de repousser son agresseur. A son côté s'était matérialisé un petit tanto, petit poignard japonais, de fer incrusté de diamants noirs, et dont deux bandes de tissu noir et blanc s'enroulait autour de la garde, retenu par une ceinture noire avec une boucle représentant un dragon lové dans son nid. Ses cheveux, devenus lisses, s'étaient allongés, à la hauteur de ses épaules, formant en même temps des tresses où apparurent des perles de couleurs verte, jaunes

reconnaissance nationale. Aussi est-il l’emblème de nos équipes sportives nationales.  Le faisceau des licteurs Le faisceau remonte à la République romaine, où il indiquait l’imperium, la puissance. Sous la première République, surmonté du bonnet rouge, il signifie que le pouvoir appartient au peuple, et il symbolise l’union des 83 départements. En 1848, puis après 1870, il figure sur le sceau de la République, tenu par la Liberté.  L’arbre de la liberté L’un des symboles les plus riches et les

tantôt froides (noir, gris…), tantôt chaudes (beaucoup de tons rouges et ocres) mais toutes sont associées à la mort et à la destruction. Les couleurs les plus employées sont le gris, qui représente la pluie, le marron, qui représente la boue et le rouge qui symbolisent le sang dont parlent tous les témoignages de poilus. La touche de l’artiste est très lisse, on ne peut distinguer les coups de pinceaux. Cet effet est dû à la technique utilisée qui est la tempera. La technique de la tempera est l’une

Les couleurs : elles sont très sombres, parfois froides (noir, gris...), parfois chaudes (beaucoup de tons rouges et ocres) mais toutes sont associées à la mort et à la destruction. Les couleurs les plus employées sont le gris, le marron et le rouge. Elles symbolisent la pluie, la boue et le sang dont parlent tous les témoignages de poilus. La touche : elle est très lisse, on ne peut distinguer les coups de pinceaux. Cet effet est dû à la technique utilisée (tempera et glacis). Point de

transparente, fluide, négligeable… C’est peut-être l’an prochain qu’elle tombera à ses pieds et qu’elle lui dira des paroles de femme : « Phil ! ne sois pas méchant… Je t’aime, Phil, fais de moi ce que tu voudras… Parlemoi, Phil… » Mais cette année elle garde encore la dignité revêche des enfants, elle résiste, et Phil n’aime pas cette résistance. Il regardait la plate et gracieuse fille, qui descendait à cette heure vers la mer. Il n’avait pas plus l’envie de la caresser que de la battre, mais il la voulait

couleurs. Il y en a 12. Ce sont des pièces avec 3 couleurs. Il y en a 8. Ce sont des pièces avec 1 couleur. Il y en a 6. Ces pièces définissent la couleur de la face et ne bougent pas : Les centres BLANC et JAUNE sont opposés, Les centres ORANGE et ROUGE sont opposés, Les centres VERT et BLEU sont opposés. Right Left La face droite du cube La face gauche du cube Up Down La face en haut du cube La face en bas du cube Front Back La face en avant du cube La face en arrière du cube 3 Rubik’s

du tableau : Le 1er plan illustre le slogan révolutionnaire "la liberté ou la mort" : on voit un amas de cadavres (soldats de la garde nationale) et un mourant aux couleurs de Paris, qui expire son dernier espoir vers la liberté. La liberté est ce personnage féminin qui figure au second plan,au milieu du tableau, tenant d'un bras levé le drapeau bleu-blanc-rouge, et de l'autre un fusil (la liberté se conquiert les armes à la main). Elle a la poitrine dénudée et le profil grec, faisant ainsi

qui n'y croyait pas Un rebelle est un rebelle Deux sanglots font un seul glas Et quand vient l'aube cruelle Passent de vie à trépas Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Répétant le nom de celle Qu'aucun des deux ne trompa Et leur sang rouge ruisselle Même couleur même éclat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Il coule il coule il se mêle À la terre qu'il aima Pour qu'à la saison nouvelle Mûrisse un raisin muscat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas L'un

Tout scepticisme disparut aussitôt de la voix de Hankins. — Que dit l’imageur? Thompson rengaina son Giock et sortit son imageur. Alors qu’il le pointait sur le couloir, il se sentit tout à coup très nu, sans son flingue. Et quand une tache rouge apparut sur le minuscule écran, il faillit bien le Ikher, tant il était impatient de récupérer son arme. — Tu es toujours avec moi, petit? appela Hankins. Malgré lui, Thompson sursauta. — J’ai un corps chaud, mais sa température est infé- rieure

les artistes qui l’utilisent encore. Les couleurs dominantes Pour ce tableau, Otto Dix utilise toute une gamme de gris, de brun, et de rouge. Le gris marque les soldats : leurs casques, leurs vêtements, et leurs armes. Le brun est utilisé pour représenter la terre des tranchées, la boue c’est-à-dire l’environnement quotidien des soldats de la guerre 14-18. Le rouge est utilisé pour le ciel tourmenté (panneau de gauche), le tas de viscères (panneau centrale) et pour le feu du champ de bataille (panneau