Garde rouge

apparaît. Il tente en vain de soutenir un compagnon la tête ensanglantée. L’arrière-plan présente une fournaise infernale. Les couleurs sont contrastées et varient entre le gris foncé, clair et le rouge orangé. Le gris marque les soldats et leurs armements. Le blanc présente le néant et la mort. Le rouge la fournaise l’horreur de la guerre et le sang que la guerre fait couler. L'interpréter : La Guerre d’Otto DIX est une œuvre que l’on peut qualifier d’engagée, c’est une sorte d'acte politique

mecs. Le seul problème c'est qu'elle ne s'attarde pas sur eux. Parce qu'elle sait qu'au final cela ne donnera rien. De toute façon la plupart sont idiots ! - Ah... Ok. Dit celui-ci - Attendez et peut-être va-t-elle vous parlez pendant le cours. - Rouge contre jaune. Cria notre professeur. L'équipe jaune était une des meilleures. - Go ! Alex t'es capable. Cria Gaby avec un fou rire. - Ha, Ha, Ha. Lui répondit-il sarcastique. Alex est comme disons... Super-Pourri EN SOCCER. Merde... Merde... Cam

perception visuelle : (la taille hors du commun, la couleur éclatante, les jeux des enfants) - « énorme baquet » : taille par rapport au Je narré - « peint en vert » - « bassin rond » « bateaux » - « voiture tapissées de velours rouge traînées par des chèvres » L’endroit décrit est le jardin du Luxembourg, lieu de rencontre des familles, lieu de découverte des autres enfants, lieu des premiers étonnements devant le monde (voir p.24) C- le souvenir revient en même temps

du futurisme (vitesse, mouvement, violence, machine) pour cette œuvre (ex d'œuvre: «Form-Spirit Transformation» de Giacomo balla) Nabi= Le mouvement nabi (dont les membres sont les nabis) est un mouvement artistique post-impressionisme d'avant-garde, né à la fin du xixe siècle en réaction contre la peinture académique et qui perdurera jusqu'au début du xxe siècle. III. Description et Analyse de l'Oeuvre Le Sujet: Ce qui est représenté est un champ de bataille. On peut voir du feu,

m'importait. J'étais heureux de faire ce voyage avec Oregon. Moi qui, enfant, n'avait pas eu d'ours en peluche... Dès l'aube, on s'est fait prendre en stop par Spike. Il descendait jusqu'en Iowa, le garde-manger de l'Amérique. Cela tombait bien, Oregon était insatiable ! "Pourquoi gardes-tu ce nez rouge et ce masque blanc ? " m'a demandé Spike. "Tu n'es plus sur la piste du cirque." "Ils me collent à la peau. Ce n'est pas facile d'être nain..." "Et d'être noir dans le plus grand pays du monde ?" Nous

qui représente le Christ mort mais aussi les charniers de la Première Guerre Mondiale : les soldats sont unis dans la mort comme dans le combat et anonymes. Couleurs : Ce sont principalement des nuances : - De rouge : Elles sont utilisées pour le ciel, les entrailles et le feu. Le rouge symbolise le sang, la violence et la guerre. - De brun : C’est la couleur principale. C’est le brun de la boue. Il fait allusion au manque d’hygiène des poilus dans les tranchées Lumière : La principale touche

plan, on voit Staline, on comprend alors que le culte de la personnalité est à l’oeuvre dans ce tableau, un signe de la propagande. Le peintre a mis quelques signes de propagandes comme rubans et écussons rouges de Vorochlov, drapeau rouge, armée rouge, étoile rouge…la couleur est celle de la révolution Bolchévik. On comprend alors que GUERASSIMOV était lui aussi comme MOUKHINA leurs oeuvres appartenaient au réalisme-socialiste, car ils respectaient toute consignes imposés par staline sur l’art

apprennent vite le métier militaire. Je devins bientôt brigadier et on me promettait de me faire maréchal des logis, quand, pour mon malheur on me mit de garde à la manufacture4 de tabacs à Séville. Si vous êtes allé à Séville, vous aurez vu ce grand bâtiment-là, hors des remparts, près du Guadalquivir. Il me semble en voir encore la porte et le corps de garde auprès. Quand ils sont de service, les Espagnols jouent aux cartes, ou dorment ; moi, comme un franc Navarrais, je tâchais toujours de m'occuper.

d’éclairage vient de ce dernier. Le personnage Phaéton est au premier plan et tombe du char de son père dans un mouvement très exagéré, ainsi que les mouvements de tous les autres personnages, comme le veut le baroque. Il est semi vêtu d’une toge rouge qui suit son mouvement de chute. A gauche du premier plan ainsi qu’au deuxième plan se trouvent cinq figures féminines aux ailes de papillon, peu vêtues elles aussi, puisque seuls des jeux d’ombres et de lumières cachent la nudité de trois d’entre

suivants, c'est l'oriflamme rouge de Saint Denis, protecteur du royaume, qui est l'étendard du roi. Progressivement, le blanc est devenu la couleur royale, peut-être sous l’influence de Jeanne d’Arc et de la maison d’Orléans. Le blanc devint ainsi la couleur de commandement du roi au XVè et XVIè siècle. De 1638 à 1790 le drapeau royal était blanc, comme le pavillon de la marine. C'est la Révolution Française qui va instituer le drapeau tricolore. Le 13 juillet 1789, la Garde nationale, sur le point