Garde suisse pontificale

témoignage des conflits arabes/carolingiens. Ensuite, Pépin le Bref succède à son père, il est proche de l’Église et du Pape Étienne II. C’est à cette époque qu’apparaissent les états pontificaux (=les États qui étaient sous l'autorité temporelle du pape. On parle aussi de patrimoine de Saint Pierre. Les États pontificaux n'existent plus de facto en 1870, et sont formellement abolis par les accords de Latran en 1929.) Charlemagne succède à Pépin le Bref et, à partir du 25 décembre 800, il devient empereur

refusent de rentrer. Aucun plébiscite n’est organisé pour s’assurer de l’accord de peuples concernés par les annexions. L’unification se fait bien par le haut. En 1867, la Confédération d'Allemagne du Nord regroupe vingt-et-un États. Chaque État garde son gouvernement local mais il existe au-dessus un gouvernement fédéral, comprenant deux chambres, dirigé par le président, Guillaume Ier et le chancelier fédéral, Bismarck. Une armée commune se compose des armées de chaque membre. Pour achever l’unité

du roi. 1627 (22 juin) : Condamnation à mort et exécution des deux duellistes, Des Chapelles et Montmorency-Boutteville. 1628 (28 Octobre) : Capitulation de la Rochelle. 1629 (Janvier) : Ordonnance royale préparée par le garde de sceaux, Michel de Marillac, dite Code Michau. (28 Juin) : Edit de grâce de Nîmes, dit Paix d’Alès, qui met un terme aux guerres de religion. (21 Novembre) : Richelieu nommé « principal Ministre d’Etat »

l’ouvrage. L’auteur étudie les différentes pathologies de l’état : critique les différentes formes de gouvernement : * La démocratie : la condamne sans appel : « c’est le règne de la flatterie, de la sottise, de l’illusion, du désordre ». il met en garde contre le peuple ( : le thèmos) : l’ensemble des citoyens. Le compare à un « gros animal qui est dangereux à cause de ses passions irréfléchies et à cause de ses revirements brutaux ». * L’oligarchie : c’est le pouvoir qui est détenu par les plus

1. L’Assemblée : * Athènes : Une seule assemblée l’Agora. * Rome : Plusieurs assemblées (3 + concilia plebis) : Comices curiates : Réunissent les citoyens soldats et ont gardé deux attributions : - Vote de la loi relative à l’imperium au consul (confère le pouvoir suprême aux magistrats), pour adoption (doit être ratifié) : acte solennel. - Testament (un citoyen peut disposer de tout son patrimoine)

isolé c’est être exposé. Celui qui est fort rassemble des alliés qui lui prêtent un serment de fidélité pour être protégé. On parle d’un don de soi qui se rattache à la sphère politique et militaire. Celui qui se donne va obéir bien-sûr mais chacun garde son rang, et celui qui reçoit l’hommage respecte celui qui se donne en bornant son autorité à la sphère militaire. Normalement, l’hommage, le don de soi sont des actes majeurs, intenses et exclusifs. Pour bien comprendre cette notion que nous avons

5.2. Florence : les Débuts de la Renaissance 5.2.1. Florence L'Italie du XIVè (Trecento) est morcelée en petits états. Malgré les conflits entre cités, c'est un pays riche (banques, commerce maritime, artisanat). Elle est à l'avant garde de l'Europe. Venise, Bologne, Pise, Gènes, Rome et surtout Florence sont les grands centres italiens. 5.2.1.1. Les bases de la richesse florentine Au centre de la Toscane, riche région agricole, Florence est prospère grâce aux draperies, soieries, commerçants

facilitent pas ce dialogue. La divulgation en externe de cette béatification n'arrange pas les affaires du Vatican. d) L'utilisation du préservatif La plus récente des polémiques qui touche le Vatican, est l'affaire du préservatif. Lors d'un voyage pontifical en Afrique, le pape a délivré un message assez particulier aux populations africaines, il évoque son hostilité au port du préservatif dans les relations conjugales et émettrait l'hypothèse qu'il aggraverait la situation des malades atteints du SIDA

capétiens au X° siècle (Hugues Capet)) * Le moyen-âge central du XI° au XIII° : de Capet à Saint Louis (Louis IX, le roi croisé 1226-1270). Renaissance urbaine, activité économique, culturelle, religieuse. Montée de la puissance royale. Théocratie pontificale, réforme grégorienne, naissance des ordres mendiants… * Le bas moyen-âge du XIV° au XV° : temps de crise et temps d’espoir. Peste noire (1347-1348, décime 1/3 de la population européenne), un climat qui se refroidit, crise économique majeure

esprit critique, citant des noms, ce qu’il ne pouvait pas faire tant qu’il était en fonction en Italie. Il critique sévèrement la cour pontificale « Si je monte au palais je n’y trouve qu’orgueil, / Que vice déguisé » ; l’hypocrisie des courtisans prêts à toutes les bassesses pour obtenir une faveur, en les comparant à des singes savants 150.Il met en garde un ami contre le danger qu’il y a à oser ainsi critiquer le pouvoir des puissants : 141 « Si de Dieu ou du roi tu parles quelquefois / Fais