Garde suisse pontificale

la théocratie pontificale. Le gallicanisme se renforce avec le séjour de la papauté. On se retrouve donc avec deux papes un à Avignon, l’autre à Rome. Le concile de Pise est mit en place pour résoudre le problème mais il a réussi qu'à à envenimer la situation puisqu'il y aura trois papes au lieu de deux sur le trône de St Pierre. Le pape Benoît XIII, pape d'Avignon, qui a derrière lui le soutien de l'Espagne, le Portugal, la France et l'Écosse. Le pape Grégoire XII, pape de Rome, garde pour lui le

jusque Fermo puis traversant le pays jusque la côte ouest pour descendre jusque Terracine. Après le royaume de Naples, les Etats Pontificaux étaient donc le second plus gros royaume de l’Italie. De plus ayant un vaste territoire les religieux avaient aussi une force militaire importante puisque le pape Alexandre VI fît face au français en 1495 à la tête des troupes pontificales. L’Eglise n’était pas uniquement un gouvernement avec une emprise spirituel c’était une royaume concret avec une armée et qui

après son retour à Paris. Les sonnets des Regrets disent la plainte d'un exilé à Rome - en même temps que la pérégrination (errance) de l'âme sur terre accompagne le thème du voyage ; mais l'élégie se double aussi d'une satire contre la cour pontificale. Les regrets se nourrissent évidemment de références littéraires : dès le sonnet liminaire (initial) ("À son livre"), Du bellay se place sous l'invocation d'Ovide, dont il traduit plusieurs vers mot pour mot ; mais tandis que les Tristes gémissaient

conquérir principalement les royauté Barbares ou il s'impose en chef de guerre. Il a participer à plusieurs conquête : - Conquête : en 774, il fait la conquête du royaume Lombard. S'il échoue en 778 face aux musulmans d'Espagne (à son retour, l'arrière-garde de son armées est dirigée par Roland, est défaite par les Basques à Roncevaux), il triomphe des Bavarois, des Saxons puis des Frisons. Germains païens, ceux-ci ravagent les frontières franques. En 785, leur chef Widukind est vaincu et se convertit

moitié du XIX ème siècle Le règlement de la question romaine: le parachèvement de l'unification (1870-1871) 20 septembre 1870: Profitant du retrait des troupes françaises, l'armée italienne s'empare de la ville, contrôlée jusque là par les états pontificaux. Le 2 octobre, les Romains votent leur rattachement au royaume d'Italie. 30 juin 1871: Rome devient la capitale de l'Italie, remplaçant Florence. Quelques jours plus tard, le 2 juillet, le roi Victor-Emmanuel II fait son entrer dans Rome. La crise

exemple la célèbre phrase « Le roi est empereur dans son royaume ». Blaenau utilisera le terme romain d’IMPERIUM de l’empereur romain, en l’attribuant au roi. Enfin, Beaumanoir lui dira que « le roi à la garde générale de tout le royaume », établissant subtilement une équivalence entre la garde de la RES PUBLICA du roi et de l’empereur. B. Fusion du droit romain avec le droit canoniqueAinsi, la fonction royale va s’entourer d’une vocation publique : le roi agit pour la RESPUBLICA

fidèles afin qu’ils se rendent au secours de l’Empire chrétien. La demande est entendue mais la réponse est disproportionnée. Grégoire VII se retrouve à la tête de l’expédition → but/récompense : le tombeau du Christ. Inversement de la politique pontificale en faveur des Normands dont Grégoire VII approuve l’intervention en Grèce. Reprise de négociations en 1089 entre le pape Urbain II et Alexis Ier Comnène qui veulent s’assurer un appui réciproque respectivement contre l’empereur Henri IV et les Normands

événements : le roi part en carrosse accompagné du duc Montbazon, du duc d’Epernon, du maréchal de Lavardin, de Roquelaure, de la Force, du marquis de Mirebeau et de son premier écuyer Liancourt, mais bizarrement le roi refuse d’être accompagné par sa garde personnelle et dit vouloir n’avoir personne autour de lui · Ils prient le carrosse tandis que certains sont à chevaux mais ils se retrouvent bloqués rue de la Ferronnerie, près des Halles et du cimetière des Saints- Innocents par d’un côté

universels. Aucun synode ne peut être tenu pour valable sans le consentement du pape [2]». Un concile générale ne peut donc se faire sans l'accord du pape. Or, à Constance, si un pape convoque bien le concile, il se poursuit alors même que le siège pontifical est vacant, sans pour autant perdre son caractère légitime aux yeux de tous. Certes, d'autres conciles se sont déroulés sans l'approbation d'un pape, mais ils n'avaient pas cette portée universelle. Il s'agissait souvent de conciles nationaux

d'une montée de la xénophobie. Âge d'or des condottieri : déb du Grand Schisme et de la bataille de Marino à la bataille d'Aquila en 1424 et à la mort de Sforza et de Braccio. En raison du renforcement de Milan, Venise et Florence, de l'État pontifical et de Naples. La période 1425-1454 est marquée par une lutte prolongée entre Milan et Venise ce qui permit de fournir un emploi au condottieri et le développement organique de forces armées permanentes et à une continuité du service qui ne pouvaient