Gare d'Orléans

dormait. Les haut-parleurs diffusaient sans cesse des annonces nasillardes. Vous souvenez-vous du départ du Vel’d’Hiv’ ? Une pagaille épouvantable. Des milliers de personnes qui doivent de nouveau monter dans des autobus. Et sur les quais de la gare d’Austerlitz, les Feldwebel, les gendarmes allemands, avec leur plaque sur la poitrine et leurs chiens, alignés tous les 5 mètres le long de convois. Nous avons été entassés dans des wagons dès 10 heures du matin, mais le train n’a pas démarré avant

Thérèse est mariée à un homme « souffreteux » et passe des journées mornes et silencieuses au fond de la petite mercerie avec sa belle-mère. Tandis que Laurent, un ami d’enfance de Camille, est un artiste raté employé dans un bureau de la « gare du chemin de fer d’Orléans » qui vit seul dans une mansarde en attendant l’héritage de son père. Les tragédies offrent souvent des scènes de conflits où se mêlent la raison et la passion amoureuse : les deux amants croient pouvoir assouvir leur passion librement

proprement dite », note Haussmann 12 . D'autres architectes participent aux travaux : Victor Baltard aux Halles, Théodore Ballu pour l'église de la Sainte-Trinité, Gabriel Davioud pour les théâtres de la place du Châtelet, le vétéran Hittorff pour la gare du Nord. La coopération entre la normalisation publique et l'initiative privéeInfluencés par le saint-simonisme, Napoléon III et des ingénieurs comme Michel Chevalier ou des entrepreneurs comme les frères Pereire croient au volontarisme économique

général de recherche de la transparence et de l’éclairement débute. La révolution industrielle du XIX ème siècle sera également une révolution architecturale :le recours au fer, au béton et au verre permet de multiplier les ouvertures. Des gares (Gare d’Orléans/Orsay, 1900), des grands magasins (Le Bon Marché, 1876),des halles (Halles Centrales de Paris de Victor Baltard), des musées et des bâtiments réalisés à l’occasion des grandes expositions universelles (Chrystal Palace, 1851 – Grand Palais, Paris

lit minable de sa chambre il se décida, il remplit sa valise de quelques vêtements et se convainquit d’aller à la cérémonie, il en profiterait aussi pour visiter la capitale. Le lendemain il prit son train à la gare d’Orléans, direction Paris. Trois heures après il arriva à Paris, gare de Lyon. Il longea plusieurs boulevards et après cinq kilomètres arriva au cimetière. Il était largement en avance donc il se lança dans la visite du boulevard de Charonne. Il y avait de larges trottoirs avec de longues

étroit, yeux ronds, lèvres minces, crétin, Thérèse ne l’aimait pas, il déteste Laurent)· Suzanne (femme d’Olivier, pâle, yeux vagues, lèvres blanches, visage mou)· François (chat)· Laurent : (ami d’enfance de Camille/voisin, employé à la gare du chemin de fer d’Orléans comme Camille, grand, fort, cheveux noirs, joues pleines, lèvres rouges, face régulière, beauté sanguine, cou large, court, gras et puissant, grosses mains, doigts carrés, fils de paysan, dos bombé, mouvements lents et précis, a l’air

Charles VIII (1483-1498). Charles VIII étant mort sans postérité, accède alors au trône la branche Valois-Orléans, issue de Louis Ier, duc d'Orléans. Elle est représentée par le seul Louis XII (1498-1515). Après lui, faute d'héritier mâle direct, règnent les Valois-Angoulême, branche cadette de la maison des Valois-Orléans, issue du troisième fils de Louis Ier d'Orléans, Jean (1399-1467). Ses représentants sont François Ier (1515-1547). Parvenus au pouvoir en négociant avec les grands barons, les Valois

y a 2500 kilomètres d'égouts. Le second projet du Baron Haussmann était d'alimenter Paris en eau potable, pour cela il a fabriqué deux grands réservoirs d'eau de source. Le plus grand se situe dans le quartier Montsouris à proximité de la porte d'Orléans, dans le sud de Paris, sa première mise en eau remonte à 1874. Grâce à deux aqueducs l'eau de source était prélevée directement à 100 kilomètres au sud de Paris et fournissait chaque foyer en eau potable. Le Préfet Haussmann a donc su réaliser le

des cajoleries toutes maternelles. Laurent s’était assis, il souriait paisiblement, il répondait d’une voix claire, il promenait autour de lui des regards calmes et aisés. —Figurez-vous, dit Camille, que ce farceur-là est employé à la gare du chemin de fer d’Orléans depuis dix-huit mois, et que nous ne nous sommes rencontrés et reconnus que ce soir. C’est si vaste, si important, cette administration ! Le jeune homme fit cette remarque, en agrandissant les yeux, en pinçant les lèvres, tout fier d’être

découvrez la diversité et l’ampleur du palais marqué par le souvenir de huit siècles de présence royale et impériale. Accès en voiture Depuis Paris, prendre l’A6 (Porte d’Orléans ou Porte d’Italie), sortie Fontainebleau. Prendre la direction de Fontainebleau puis suivre les indications « château ». en train Prendre le train à Paris Gare de Lyon (grandes lignes) en direction de Montargis Sens, ou de Montereau, descendre à la station Fontainebleau-Avon, puis prendre le bus ligne 1 direction Les Lilas