Gargantua Chapitre 21 Résumé

convient à la situation de communication (lexique, syntaxe, formes d’interpellation, marques de la politesse), – écouter et reformuler le discours d’autrui (les reformulations sont un moyen privilégié d’évaluer la réussite de l’échange), – faire des résumés, des synthèses ou des développements en s’entraînant, selon le cas, à la brièveté ou à l’amplification. FRANÇAIS Classe de 3e I 165 Les outils de la langue pour la lecture, l’écriture et la pratique de l’oral A. Objectifs L’étude de la

souvent attribuer des numé- ros d'ordre à des pièees facilement le non numérotées. sens de chaque chiffre tables des matières. <•;/ On comprendra se reportant aux COULEUR LA LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS MÉTAPHORES LES Dli VICTOR HUGO CHAPITRE LES Victor Hugo I METAPHORES CLASSIQUES dit dans les Contemplations : Je massacrai l'albâtre, et la neige, et l'ivoire, Je retirai le jais de prunelle noire, la Et j'osai dire au bras : Sois blanc, tout simplement. I, 30(1, vi)

principales et principes de l'éducation libertaire 1. Les précurseurs : Rabelais, Montaigne, Rousseau a) Rabelais Hugues Lenoir voit en Rabelais (1494-1553) un précurseur d'une éducation libre, dont la devise serait résumée par cette phrase tirée de Gargantua : « Fais ce que voudras ». Cette devise constituerait « une invite à l'auto-organisation [des] apprentissages [...] une possibilité de tout apprendre sans tabou et sans interdit ». (Lenoir, 2011) b) Montaigne Un autre précurseur de la pédagogie

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 • Analyser un tableau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .21 2. Voyages et découvertes, XVIe-XVIIIe siècle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 CARTES SITUATION SITUATION SITUATION en + SITUATION COURS 1 COURS 2 ENTRAÎNEMENT MÉTHODE • Le monde à la fin du Moyen Âge / Le monde

| | | |Début au chapitre V (pp. 1 à 242 de l’édition papier) | |

   Auteur :   Sébastien Niel    Thèse dirigée par :  Pierre Bayard                          Soutenue le mardi 28 juin 2011    Jury :  Denis Bertrant (Université Paris 8)  Alain Pagès (Université Paris 3)  Alain Trouvé (Université de Reims)  Résumé de la thèse  Zola est un grand écrivain de la folie. Ses œuvres décrivent les processus psychiques et inconscients de l’esprit humain. Il a dépeint les forces archaïques qui traversent le corps et ravagent le psychisme de ses personnages. On pourrait

telle somme intellectuelle? Diderot et ses collaborateurs se sont consacrés aux sciences et techniques modernes et ils ont ignoré complètement les «problèmes insolubles, tant de magie, alchymie, de caballe, de geomantie, de astrologie, que philosophie[21]», qui étaient l'enjeu du débat entre Thaumaste l'Admirable et Panurge. Ils savaient aussi pertinemment que «le ton de la satyre [sic] est le plus mauvais de tous pour un dictionnaire[22]», et il est normal que Diderot en ait défini le style. Pour

BARON. Allons, Camille , embrasse ton cousin. CAMILLE . LE BARON. Un compliment vaut un baiser. Embrasse-la , Per dican . ( I le fait passer près de Camille, qui recule. ) PERDICAN. Si ma cousine recule quand je lui tends la main, jeACTE I, SCENE VII. 21 vous dirai , à mon tour : Excusez-moi ; l'amour peut voler un baiser , mais non pas l'amitié . CAMILLE. L'amitié ni l'amour ne doivent recevoir que ce qu'ils peuvent rendre . LE BARON , à Bridaine . Voilà un commencement de mauvais augure ; hé? BRIDAINE

(1230-1275) Ce est le roman de la Rose / où l'art d'aimer est toute enclose Le Roman de la Rose s'intitule "roman" mais constitue plutôt un double miroir aux amoureux, une somme allégorique et encyclopédique de 22000 octosyllabes à rimes plates qui résume tous les thèmes de la courtoisie et de la philosophie des XIIe et XIIIe siècles | Le premier Roman de la Rose, écrit vers 1230 par un poète courtois, Guillaume de Lorris, raconte les étapes initiales d'un parcours amoureux au milieu d'un "jardin

expériences médicales, où chacun a la certitude de faire revivre l’Antiquité comme un modèle à égaler. Tous les humanistes ont, en effet, conscience de rompre avec les temps obscurs et barbares qui les ont précédés : « Par la bonté divine, s’exclame le Gargantua de Rabelais, la lumière et dignité a été de mon âge rendue ès lettres... » Le poète italien Pétrarque (1304-1374) fut peut-être le premier à séparer l’époque ancienne (antiqua) – antérieure à l’adoption du christianisme par les empereurs romains