Gauche antilibérale

10 mois de prison ferme, mais il n’en fera que deux. Il se présente ensuite aux élections présidentielles où il voudrait incarner « le renouveau de la gauche radicale ». Il se fait conseiller par des syndicalistes mais aussi par Denis PINGAUD, directeur de la stratégie chez Euro-RSCG. Il pense briguer l’investiture de la gauche antilibérale mais renonce le 24 novembre devant les tentations hégémoniques du PCF. Hégémonie : Suprématie politique, économique et sociale. Une pétition est lancée sur

l'Administration des chemins de fer de l'État (qui est incorporée, le 1er janvier 1938, à la SNCF), qui en fait son secrétaire particulier2. Il se fait des relations auprès des technocrates, pour la plupart polytechniciens, anticommunistes, généralement antilibéraux et partisans de la planification2, occupant des postes importants dans les grandes entreprises et les administrations, tels que Alfred Sauvy, Jules Moch, Gabriel Le Roy Ladurie (directeur de la banque Worms), Auguste Detœuf (directeur d'Alsthom)

du sous-continent. L’aggravation de ces inégalités et la démocratisation politique profitent au début du XXIe siècle aux mouvements de gauche, très divers, qui contestent l’hégémonie américaine et le libre-échange comme seul principe des relations commerciales. À partir de 2002, les élections portent au pouvoir dans les principaux pays des leaders marqués à gauche (Argentine, l’indien Evo Morales en Bolivie, Brésil de Lula élu en 2002, Chili, Uruguay, Venezuela, etc.), qui affirment avec force la

La montée inquiétante du populisme en Europe de l’Est, aux dépens des « valeurs communes ». Le populisme témoigne de la profonde crise politique qui frappe aujourd'hui l'Europe, face à l'absence de perspectives, lié au sentiment que droite et gauche se valent dans leurs incapacité à répondre aux attentes de la population. En Europe occidentale, le populisme est apparu avec le désarroi suscité par le brusque bouleversement de mai 1968. Il est aussi nait en réponse aux incertitudes générées

favorisent alors, d’une façon puissante, le développement de la liberté. En y regardant de plus près on voit que c’est la guerre qui produit ces effets, la guerre pour les instincts libéraux, qui, en tant que guerre, laisse subsister les instincts antilibéraux. Et la guerre élève à la liberté. Car, qu’est-ce que la liberté ? C’est avoir la volonté de répondre de soi. C’est maintenir les distances qui nous séparent. C’est être indifférent aux chagrins, aux duretés, aux privations, à la vie même. C’est

eurosceptiques et ont parfois freiné la construction européenne (retrait C.E.D. en 54, échec du référendum du traité constitutionnel en 2005) ou s’y opposent comme les souverainistes (attachés au cadre national de l’exercice démocratique) et la gauche antilibérale (PCF, LCR..). II- La France dans le monde aujourd’hui. Si le pays rayonne dans le monde par de nombreux atouts il n’échappe pas pour autant à la hantise du déclin. La France grande puissance ou puissance moyenne ? A-

dans l’isoloir. Les ligues ne constituent pas un phénomène nouveau, elles sont présentes depuis la fin du XIXème siècle, on constate la prolifération de mouvements d’action directe dans les années 20. On constate qu’à partir de 1932, le retour de la gauche au pouvoir et la crise économique stimulent l’activité des ligues, d’autant que la droite classique se garde bien de négliger l’appui qu’elles peuvent lui apporter pour se débarrasser de la majorité radicale et socialiste. .A l’origine, il s’agit

affaiblit le régime et encourage sa contestat°. 3) Le mouvement ouvrier face à la crise et à la montée du nazisme. République de Weimar est contestée, à droite, par partis nationalistes (monarchiste et nazi) à cause signature traité de Versailles et, à gauche, par le KPD critiquant répress° de 19 et abandon de stratégie révolutionnaire. a- KPD adopte modèle communiste soviétique, défini par Komintern ou 3° Internationale. Il se structure en s’appuyant sur classe ouvrière par intermédiaire de cellules

polysémique, c’est-à-dire qu’il évoque des choses différentes selon les moments, et selon les endroits aussi. Ainsi, par exemple, le mot « libéral » qualifie clairement une attitude « de gauche » aux USA… et une attitude « de droite » en France ! Et cela ne provient pas seulement du caractère confus de la distinction droite-gauche, ni de la différence entre les conceptions politiques de part et d’autre de l’Atlantique… mais surtout d’un sens différent donné au même mot lui-même de part et d’autre de l’Atlantique

comprenant la diplomatie, les démocraties doivent s’affirmer pour qu’il n’y ai plus de grève. Le pact Briand Kellogs évoque un traité de paix entre le ministere français et américains. On retrouve dans les années 20 une démocratie populaire antiliberale et donc l’instauration d’un système communiste en Russie suite au révolution de 1917. Ces années marquent également la fin des Tsars en Russie, Nicolas II est déstitué du pouvoir. Le premier dévrier 1917 on rlate une premier revolution le peuple