Gauche démocrate et républicaine

qui empêche le pouvoir législatif de restreindre la liberté religieuse b. Un Etat laïc sans laïcisme d’état Q3 : En 1802, Thomas Jefferson résume la philosophie de la laïcité à l’américaine avec le mur de séparation (différent entre notre Etat républicain qui est opposé à l’Etat américain). Le paradoxe est que cette séparation a permis une influence de l’Eglise sur la vie civile puisque le pluralisme religieux a été encourager par le pouvoir pour éviter qu’une religion ne s’impose aux autres.

voyage à Dallas et son assassinat).Dans un troisième temps l'arrestation du tireur. II-Le contexte John Fitzgerald Kennedy, né en 1917, fut élu en 1960 en réussissant tout d'abord à s'imposer face aux ténors du Parti Démocrate, puis en battant de justesse le candidat républicain, Richard Nixon. Malgré cette victoire à l'arraché Kennedy devint rapidement un président très populaire quoique controversé. Sa popularité était due à sa jeunesse, sa maîtrise des médias, son dynamisme et les espoirs

élections régionales impliquent un choix qui va déterminer la façon dont la région va être dirigée : Une très forte abstention (53%), regrettée par la plupart des partis politiques, a marqué le premier tour. Les différents partis : La gauche La gauche est largement majoritaire par rapport à l'UMP et ses alliés. Le parti socialiste (et ses alliés) est en repli par rapport à son score de 2004 (33,57% en 2004 contre 29,48% en 2010), mais se rassure par rapport aux très mauvaises élections européennes

vu de ses tendances politique ou encore Dupont de L'Eure trop vieux) et les ministres non-membre du gouvernement (Bethmont au commerce ou encore Carnot à l'Instruction publique. Ce gouvernement est donc un mélange entre libéraux non-socialiste et démocrates ouverts à l'idée du socialisme. 2- Le gouvernement provisoire à Paris: L'Hôtel de ville où se trouve les 11, est remplie d'une foule enthousiaste mais le climat qui y règne est tendu. Un grand nombre de délégation se succède pour signaler

République a enfanté la bipolarisation. A travers la Constitution de 1958, puis le mode de suffrage universel direct du Président de la République, conduisent à un système politique où les partis sont mis en avant et l’émergence de deux pôles, un à gauche et un à droite, ou un réformiste et un conservateur, impliquant par la suite des alliances indispensables avec les autres partis, accentuant un peu plus le pouvoir des uns et des autres, créant une véritable majorité. C’est aussi les réformes établies

curé, un instituteur peut être renvoyé. Cette « offensive cléricale » suscite la colère des républicains laïcs. Le régime suivant : le second empire, tempère les choses. Malgré tout, le régime de Napoléon 3 apparaît comme favorable à l’Eglise. Napoléon III prend tout de même des mesures modernes. La loi Guizot est élargie car il est demandé par le loi Duruy d’ouvrir une école pour filles. Pour les républicains français, l’impression de cléricalisation est renforcée par l’attitude du pape Pie IX à qui

droit d'enseigner notamment Guizot. En 1822, il impose une autorisation préalable aux journaux pour paraître. Surtout les oppositions et en particulier le mouvement de la charbonnerie : société secrète qui rassemble 30 000 opposants au régime (Républicains et Bonapartistes) qui organisaient des complots contre la Restauration. Villèle va interdir la Charbonerie. En 1823, avocat libéral, Manuel prononce un éloge de la convention à la chambre des députés, ce qui est mal vu par les monarchistes et l

de la Résistance ; le Parti communiste qui bénéficie du prestige de l’URSS et devient rapidement hégémonique à gauche. La Constitution italienne actuelle voté le 27 décembre 1947 est l’enfant direct de ces partis et des valeurs qui les sous-tendent. Elle repose sur l’affirmation des libertés essentielles, dont celle de l’enseignement, et la place centrale de la famille. Les partis de gauche obtiennent l’affirmation de droits sociaux et la nette prééminence du Parlement sur le pouvoir exécutif.

sans classes sociales. Le marxisme défini par le Capital et le Manifeste du parti communiste exerce une influence considérable sur le mouvement ouvrier à la fin du 19ème siècle. C’est ainsi que le Congrès de Gotha en 1875 fonde le parti social démocrate ( SPD) allemand qui se veut révolutionnaire mais prêt à se contenter de réformes. Les ouvriers représentent alors 1/3 de la population active de l’empire et Bismarck inquiet du succès des idées socialistes interdit le SPD dans les années 1880 à 1890

de 1969 où il obtient 5% des voix. Il se transforme donc en 1971 au congrès d’Epinay, sous la houlette de F. Mitterrand, et la vieille SFIO devient le Parti socialiste. Il signe, en 1972, un « programme commun » avec le parti communiste et l’aile gauche du parti radical, programme qu’il se propose d’appliquer s’il arrive au pouvoir. L’alliance faite avec le PC et les radicaux permet aux socialistes de prendre le pouvoir aux présidentielles de 1981 : le gouvernement de Mitterrand appliquera une politique