Gavroche Les Misérable

Adapter Les Misérables MÉMOIRE DE sous la direction de Prof. Dr. Maarten van Buuren HARD RIC HENDRIKS Master Vertalen sous la direction de Universiteit Utrecht Prof. Dr. Maarten van Buuren Juillet 2006 15 ECTS Mémoire de Richard Hendriks MASTER VERTALEN UNIVERSITEIT UTRECHT JUILLET 2006 1 Adapter Les Misérables Table des Matières Introduction 1. 1.1 1.2 1.2.1 1.2.2 1.3 1.4 1.5 1.6 2. 2.1 2.2 2.3 3. 3.1 3.2 3.3 3.4 3.5 3.6 3.7 3.8 3.9 3.10 3.11 3.12 Les Misérables : plus qu’un roman La structure

romancier a volontairement résisté à l’invitation d’écrire l’histoire du condamné, ce qui empêche le lecteur de débattre sur les faits du personnage en regard de sa peine. Le condamné a commis un crime, il ne le nie pas : « Et moi qui me plaignais, moi, misérable qui ai commis un véritable crime, qui ai versé du sang ! » (chapitre XI p.79) Mais les circonstances du crime ne sont pas racontées ni dans le procès ni dans le chapitre XLVII intitulé « Mon histoire » où l’ellipse narrative est mise en scène par

rencontre Juliette Drouet en 1833. * Notre Dame de Paris : C’est une référence à son roman historique paru en 1831. * L’Académie Française : Il y entre en 1841 après quatre refus. * La place de la Bastille : dans le roman Les Misérables paru en 1862, Gavroche se sert de la fontaine de l’éléphant comme cachette. * Le coffre contenant les rentes : Les éditeurs versent à Hugo des rentes grâce au succès de ses livres. La représentation d’un coffre de rentes et le faite qu’Hugo s'appuie du

projet d'une épopée qui embrasse la totalité de l'histoire et dont les poèmes illustrent la suite des âges. Hugo publie ensuite les Misérables en 1862 accueilli avec enthousiasme par le public, tant en Europutes les victimes d'un ordre social dont Hugo dénonce les rigueurs et les injustices à travers les personnages principaux, Fantine, Jean Valjean, Cosette, Marius, Gavroche.

œuvres avaient déjà été critiquées. Aucun autre peintre n’a représenté la liberté avec tant d’audace. Pour moi, défendre ses idées avec une telle ardeur c’est tout simplement exceptionnel. A droite on peut voir un personnage ressemblant à Gavroche des Misérables de Victor Hugo. Mais ce personnage ne fut inventé que des années plus tard, donc c’est sûrement Victor Hugo qui s’en est inspiré. On peut mettre ce tableau en relation avec un autre représentant la révolution de Juillet par Hippolyte Lecomte

de la scène : sa poitrine dénudée, ses pieds nus, sa grande taille… Le gamin de Paris ; symbole de la jeunesse révolté par l'injustice , avec son bras levé, son arme, il incite au combat.Victor Hugo s'en inspire pour le personnage de Gavroche dans les Misérables. L'homme au chapeau haut de forme ; à sa tenue vestimentaire, on devine que cet homme est un bourgeois. L'homme au béret ; c'est homme est un ouvrier, on le voit grâce à son tablier de travail. L'homme au foulard sur la tête;paysan

Picasso, car ces deux œuvres évoquent un soulèvement populaire. Le tableau de Eugène Delacroix a inspiré d'autres artistes, comme Victor Hugo, qui s'est inspiré de l'enfant qui se trouve à droite du tableau pour créer le personnage de Gavroche , dans « Les Misérables ». RESSENTI : Quel est votre regard sur l’œuvre ? ................................................................................................................................................................................

montre la révolte. Cette femme porte le bonnet phrygien symbole de la liberté. A côté de la femme, on voit un enfant des rues qui tient dans sa main un revolver et en bandouillère une cartouchière. Cette enfant a inspiré le personnage de Gavroche dans les misérables de Victor Hugo. A l’arrière-plan on aperçoit dans la poussière la cathédrale Notre Dame de Paris. C’est tableau construit en pyramide selon deux plans : figures horizontales à la base et verticales, gros plan faisant saillie sur le fond

dans les lettres1. La Révolution française : la littérature au pouvoir ? pouvoir de la littérature ? - « C’est la faute à Voltaire, c’est la faute à Rousseau » (Béranger 1817, repris par Hugo dans Les Misérables  : la chanson de Gavroche) - L’importance des libelles (Siéyès, etc.) et des journaux- Un personnel politique neuf, où dominent avocats et « gens de lettres » (journalistes : Camille Desmoulins, Marat) : importance de la maîtrise

voltigeurs de la garde. A droite, devant la Liberté, figure un garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes, il évoque, avec son béret de velours noir d’étudiant, le personnage de Gavroche que l’on découvrira dans Les Misérables trente ans plus tard. La giberne, trop grande, en bandoulière, les pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Il exhorte au combat les insurgés.