Gavroche Les Misérable

humaine serait trop prompte. Et je veux assiste à votre lente expiation, ici, dans cette chambre, où vous m'avez pris tout mon bonheur. THÉRÈSE, sanglotant, se jetant aux pieds de madame Raquin.—Pardonnez-moi... Les larmes m'étouffent... Je suis une misérable... Si vous vouliez lever votre talon, je vous livrerais ma tête, là, sur le carreau, pour que vous l'écrasiez... Pitié, ayez pitié ! MADAME RAQUIN, s'appuyant à la table, haussant peu à peu la voix. — De la pitié I en avez- vous eu pour ce pauvre

humaine serait trop prompte. Et je veux assiste à votre lente expiation, ici, dans cette chambre, où vous m'avez pris tout mon bonheur. THÉRÈSE, sanglotant, se jetant aux pieds de madame Raquin.—Pardonnez-moi... Les larmes m'étouffent... Je suis une misérable... Si vous vouliez lever votre talon, je vous livrerais ma tête, là, sur le carreau, pour que vous l'écrasiez... Pitié, ayez pitié ! MADAME RAQUIN, s'appuyant à la table, haussant peu à peu la voix. — De la pitié I en avez- vous eu pour ce pauvre

croyance en un bonheur possible sur terre |Pas un nuage aux cieux, sur les mers | |établi rigide. |Le développement de la presse et de l'instruction |pas de voiles. | |C'est Gavroche, le héros des misérables |publique favorise la diffusion du romantisme et des |Victor Hugo, Extase | |qui incarne cette insolence. "Une |romans. |"Les champs n'étaient point noirs

épique du roman : il devient la conscience du peuple, qui doit accentuer, dramatiser les événements pour leur donner un sens symbolique. → Les misérables de V.Hugo : il élève jusqu'au mythe le personnage du forçat (Jean Valjean) et deux enfants => Causette : enfant persécuter et Gavroche : symbole du courage et de la liberté. Hugo rend hommage à Gavroche dans un oxymore célèbre :  « Cette petite grande âme venait de s'envoler » 2- La modernité du personnage réaliste Balzac (1799-1850)

conduira à Paris en 1870 (en pleine débâcle de l’armée française face aux Prussiens)  où il découvrira la Commune "Le Paris dur et nouveau qu’il côtoie vivra peu (révolte réprimée par les Versaillais). Dans ce Paris misérable (qu'Hugo décrivit déjà plus tôt en 1862, dans Les Misérables) Rimbaud décrira, lui, une scène qu'il aura vue, une scène de la misère des rues de Paris. Les Effarés , écrit en 1870 , au cours de son année de année de rhétorique (classe de première,)est tiré du Cahier de Douai

politique (Les Châtiments, 1853). Dramaturge (Hernani, 1830), il contribue à renouveler le théâtre en fixant les principes du drame romantique dans la Préface de Cromwell en 1827. Romancier inclassable, il écrit neuf romans parmi lesquels on commpte Les Misérables (1862) et Quatre-vingt-treize (1874). Son engagement politique n'est pas négligeable. Démocrate puis député pendant la II République, il désapprouve la prise de pouvoir personnel de Louis-Napoléon Bonaparte. Il passe ainsi l'essentiel de sa vie

° La rencontre du « Gavroche de Kotorosk » (lignes 1 à 47) 1. Yochka est présenté, au début de cet extrait dans son cadre quotidien : une pièce aménagée, dans un milieu urbain désorganisé, dans laquelle s’entassent des enfants perdus que Yochka, à 15 ans, protège et nourrit. (« une pièce de quatre mètres sur cinq aménagée entre les deux piliers d’une bretelle. », l. 1 à 2). Il se montre responsable (« Il leur tendit la main puis, en hôte attentif… », l. 5) et négocie son intervention (« Il discuta

subjectivité, ou d'une simple opinion sur le sujet qu’il développe. La passion et l'émotion qu'ils puisent le mènent à s'engager dans son oeuvre. Victor Hugo évoque son indignation face aux injustices de son époque avec son roman les misérables avec Cosette, gavroche ou encore le fameux Jean Valjean représentant les victimes de la société dans son titre. Victor Hugo déclare " l'art pour l'art, c'est beau ; mais l'art pour le progrès est plus beau encore. " Ces paroles démontrent la mentalité de

bras levé, armé de pistolets de cavalerie il exhorte au combat. Il porte en bandoulière le sac d’un soldat, certainement mort. Son béret de velours noir évoque les étudiants de Paris. Victor Hugo s’inspira pour créer un personnage, Gavroche dan son livre les Misérables. Juste aux pieds de l’homme au béret nous pouvons apercevoir un enfant agrippé aux pavés, les yeux dilatés, cet adolescent est prêt à attaquer avec son fleuret. Au second plan un personnage féminin entraîne une foule de gens armés

gouverneur (…) Je vis tirer deux ou trois coups de canon, non par les invalides mais par des gardes françaises, déjà montées sur les tours. » Victor Hugo, au milieu du XVIIIème siècle écrit deux recueils satiriques, Les Châtiments en 1853, et Les Misérables en 182. Auteur engagé, dans Les Châtiments, il dénonce le crime, le châtiment et l’expiation, lorsque à la suite du coup d’Etait du 2 décembre 1851, le prince Louis Napoléon arrive au pouvoir par la violence en transgressant les lois de la République