Gaza

grands l'emporte et agrandi le territoire. Cette défaite déclenche crises et instabilités dans le monde arabe. Des armistices sont signées a Rhodes en 1949. Le territoire israélien est agrandi. Soit 78% de la Palestine eu lieu de 55%. La bande de Gaza est placé sous administration égyptienne. La Cisjordanie avec Jérusalem est annexé par la Transjordanie La Jordanie est un autre bénéficiaire de la guerre. Les arabes palestiniens sont les grands perdants, ils quittent les régions sous contrôle

guerre d’Algérie, il milite pour l’indépendance. Il adhère au Parti Socialiste en 1986, mais est toutefois sur une liste Europe Ecologie aux dernières régionales. Actuellement, il soutient Martine Aubry. Il se rend en 2008 et 2009 dans la bande de Gaza et témoigne de cette douloureuse expérience à son retour. Ses autres ouvrages sont Citoyen sans frontières (conversations), 2008 ; Ô ma mémoire, la poésie, ma nécessité de 2006 ainsi que Danse avec le siècle de 1997 (autobiographique). L’ouvrage :

mais aussi qui possèdent une ethnie différente. Le cas de l'Israël: Qui n'est pas un état-nation puisque ce pays possède 2 peuples aux cultures différentes et c'est aussi 2 territoires:l’Israël juive et la Palestine qui est divisée entre la bande de gaza et la Cisjordanie séparée par l’Israël juif. Pour que l'Israël soit un Etat-nation il faut que ces deux communautés cohabitent. Les empires Russe, Prusse, Austro-Hongrois et Ottoman ont explosé en 1914 ce qui a formé de plus petits états homogènes

armées des Etats arabes divisés. Son avancée provoque l'exode et l'exclusion de quelques 800 000 réfugiés palestiniens. Israël occupe la partie ouest de Jérusalem, désormais capitale. La Cisjordanie, dont Jérusalem-Est reste sous tutelle jordanienne, et Gaza passe sous tutelle égyptienne. Le 11 mai 1949, l'État d'Israël, reconnu internationalement, devient membre de l'ONU.  Le 26 juillet 1956, le président Égyptien Gamal Abdel Nasser nationalise le canal de Suez alors Franco-Britannique. Israël, la

jours », la communauté juive (Israël) renforça son territoire, et donc sa puissance face à la communauté Arabe, à présent en position de faiblesse. (Israël a conquis durant cette guerre un certain nombre de territoires, dont Jérusalem Est, la Bande de Gaza, ou encore la Cisjordanie.) Suite à cette sorte de prise de pouvoir par la communauté juive, plusieurs mouvements palestiniens contre cette montée du pouvoir juif (d’Israël) y succombèrent : en 1974 par exemple, l’Organisation de la Libération de

gagnera les parties en présence puisqu’aucun compromis n’aura été retenu à l’issue du sommet. Les principaux points de discorde entre les deux parties furent : * Le désaccord sur les concessions territoriales d’Israël : Ehud Barak proposa 100% de Gaza et 91% de la Cisjordanie, ce qui constituait en soi une avancée non négligeable sur les accords d’Oslo II de 1995. Malgré les termes discutables de la résolution 242 (1967) sur l’ampleur du retrait après la guerre des Six Jours, les négociateurs palestiniens

(OLP) vit le jour, Israël, se sentant menacé de destruction par les Etats arabes voisins, déclenche une nouvelle guerre en attaquant l'Egypte, la Syrie et la Jordanie. L'armée israélienne s'empare en six jours du Sinaï égyptien, de la Cisjordanie, de Gaza, du plateau syrien du Golan et de Jérusalem Est. Israël quadruple ainsi son territoire, refuse le retour des réfugiés palestiniens et implante les premières colonies juives. Six mois plus tard, en novembre 1967, l'ONU demande le retrait des forces

palestiniens. On estime actuellement que plus de 100 000 hectares de bonnes terres en Cisjordanie et 40 000 à Gaza pourraient être irriguées : elles ne le sont pas faute d'eau. Le pompage massif des eaux de Cisjordanie et de la bande de Gaza par les colons et par le gouvernement israélien a conduit à une baisse de la qualité des eaux. La situation est très préoccupante dans la bande de Gaza où depuis des années les autorités pratiquent un surpompage. On estime qu'on tire quelque 120 à 130 millions

le sort de la population de Gaza qu’il a pu visiter muni d’un passeport diplomatique, il témoigne sans langue de bois des crimes commis par l’État d’Israël contre les Palestiniens, notamment au cours de l’opération «plomb durci». En toute objectivité, il reconnait et condamne sans ambiguïté les tirs de roquettes du Hamas, mais dénie à l’État israélien le droit de massacrer la population palestinienne sous le prétexte de sécurité. L’exaspération des habitants de Gaza qui est la cause indubitable

grande conquête qui limite les frontières palestiniennes à Gaza et à la Cisjordanie. En réaction, Nasser (président d’Egypte éphémère) créa une armée Palestinienne, l’OLP (organisation de la libération de la Palestine) présidée par Yasser Arafat. Tout ceci provoque la 2ème guerre Israélo-arabe : la guerre des 6 jours. Une fois de plus, Israël remporte la victoire et voit son territoire se multiplier par quatre ; Israël possède dorénavant Gaza, le Sinaï, le Cisjordanie et le Golan. La défaite des palestiniens