Généalogie de Jésus

Introduction Cette peinture française du XVIIème siècle de l’artiste lorrain, George de la Tour (1593,1652) est exposée au musée des Beaux-Arts à Besançon. Peinte en 1643, elle célèbre le père Joseph et l’enfant Divin, Jésus. Le Saint Joseph charpentier représenté ici, est un des plus beaux exemples des scènes nocturnes. Par le fait, il va ouvrir la voie aux impressionnistes grâce à son énorme capacité d’observer la lumière. Pour qu’à leur tour, ils s’interrogent sur la façon d’éclairer et de

de dagues), les sicaires étant un autre surnom des Zélotes. Le plus vraisemblable est cependant que ce nom vienne de celui d’Issachar, « homme du salaire » (‫ ,שָׂ כ ֹר‬SKR, Sakar), qui suit Juda dans la liste des fils de Léa et de Jacob. Il vend Jésus pour trente pièces d’argent (parfois traduit par l’expression deniers de Judas) aux grands prêtres de Jérusalem (30 est la valeur numérique de ‫,יהודה‬Yéhudah, « Judas » en hébreu). ! Des théologiens considèrent aujourd’hui que ce n’est pas

monothéistes Pour les juifs, le fondateur de leur religion est Abraham, Isaac et Jacob, de plus Moïse a renouvelé l’alliance avec Yahvé qui a compléter le Torah. Tous en semble ils représentent les principal figure fondatrice. Pour les catholiques c’est Jésus-Christ est en majeur parti le fondateur avec ces douze apôtre et avec Paul de Tarse sont tous ensemble la fondation de cette religion. Pour les Islamique le fondateur est Muhammad idn ‘Abd Allah est dit le prophète de sa religion. Le non des dieux

ORIGINE ET DEFINITION DU MOT PORTRAIT Résumés de cinq textes et synthèse Résumé texte n°1, « L’origine du portrait », Pline L'ancien Ce texte est écrit par Pline l’Ancien et extrait du livre « Histoire naturelle » publié au 1er siècle après Jésus-Christ. Dans le premier paragraphe l’auteur se consacre essentiellement aux origines de la peinture. Selon lui ces dernières sont floues, elles prendraient racines soit en Egypte, soit en Grèce. Mais peu importe l’origine exacte de cet art, la chose

stimule la création architectural et artistique. Les eglise catedral son de véritable livre d'image pour l'éducation religieuse des fidèles illettrés. Septentrion N Occident Orient W E S Midi Généalogie des religions monothéistes. Moïse Xllleme siècle av JC Jésus Ie s christianisme Shisme 1051 Mahomet Islam 622 réforme protestante XVIe s Ch S Judaïsme O CA L C A Ch=chiisme S=sunnisme L=luthéranisme C=calvinisme A=anglicanisme

« Ta convoitise te poussera vers ton mari et lui dominera sur toi. » Est-ce que Adam et Ève ont vraiment vécu ? Imagine-toi qu’Adam n’a pas vécu, alors son fils Abel non plus. Mais dans l’évangile selon Saint Luc il figure quand-même la généalogie de Jésus. Donc alors il faut dire que tous ces personnes n’ont pas vécu. Mais tout le monde est descendant d’Adam et d’Ève ? Selon la Bible oui : « L’homme appela se femme Ève, parce qu’elle fut la mère de tous les vivants. C Le plan

-C. lorsque le pharaon Akhénaton a imposé la religion d’Aton (le Dieu unique représenté par un disque solaire). Cependant, à la suite de la mort du pharaon, les autres dieux retrouvèrent vite leur place. Chez les anciens Grecs, Hésiode décrit une généalogie où les dieux se reproduisent comme des humains. On dit que les dieux formeront une société divine à l’image de celle des hommes. Le concept du monothéisme a été amené par les prophètes juifs, mais ceux-ci n’ont pas toujours pensé de cette façon

de l’inégalité parmi les hommes (Partie I) • E. Kant Idée d’une histoire universelle… • F. Hegel Phénoménologie de l’Esprit (la solitude du maître) • F. Nietzsche Généalogie de la morale (1ère dissertation sur l’ascétisme) • M. Merleau-Ponty Phénoménologie de la perception (p.413)   • Adam (le premier homme) ; Jésus (sur la croix, abandonné ?) • L’autiste (B. Bettelheim, La forteresse vide) • Le célibataire • Un homme au moment de mourir (Ionesco, Le roi se meurt) • Le méchant

l’homme pourra se libérer de la conviction qu’il est coupable, car cette tendance trop humaine pour Nietzsche de considérer les actes en soi comme qualifiant un homme de bon ou de mauvais est une erreur fondamentale (La figure d’Adam par exemple dans Généalogie de la morale, section 21 ). Mais ce qui pousse Nietzsche par ailleurs à admettre l’innocence du devenir face au dogme religieux, c’est que le monde n’est pas issu d’un simple principe de prima causa et qu’il n’est pas unité : c’est ce dont il est

auteurs à des époques différentes. La Bible regroupe les textes fondateurs du judaïsme et du christianisme. Inspiré et considéré comme la Parole de Dieu, ce livre retrace l’itinéraire des Hébreux, un peuple choisi par Dieu, et raconte la venue de Jésus, avec pour conséquence, la fondation du christianisme. Malgré cela, la Bible a bel et bien une fonction religieuse. En effet, ses auteurs n’ont pas cherché à expliquer l’histoire de ce peuple de façon « scientifique » et « historique » mais plutôt