Général de Montriveau

analytiques : analyse la société (~auteur) b. Études philosophiques : (~coulisses) c. Études de mœurs : vie privée, province, Paris,… (~spectacle) 6. Œuvre : Duchesse de Langeais : (1834) Résumé : Dans la première partie du récit, on apprend que le général de Montriveau est épris de la duchesse Antoinette de Langeais.  Aidé par les puissants Treize, sorte de franc-maçonnerie aux pouvoirs occultes comme Balzac aime à mettre en scène, il la poursuit jusqu’à un monastère espagnol où elle s’est réfugiée sous le

tiré de l'oeuvre de Balzac intitulé "La Duchesse de Langeais ". Ce Roman est le deuxième volet du triptyque appelé 'l'Histoire des treizes". Ce passage est une longue réplique d'une conversation du général Montriveau et de son ami le Marquis de Ronquerolles. Lors de cette conversation l'ami du général, explique à celui-ci, le comportement et la mentalité des femmes du Faubourg-Saint-Germain. *PROBLEMATIQUE* *PLAN* ( 1 ) _ Au début de la longue réplique de Ronquerolles, l'utilisation de

Goriot et l’exécuteur testamentaire de Gobseck pour son arrière petite nièce Esther Gobseck dans Splendeurs et misères des courtisanes. Autres personnages composant la fresque de la Comédie humaine[modifier] Antoinette de Langeais et le général de Montriveau par Louis Édouard Fournier. Ceux là animent la haute société dans le Père Goriot, à titre de première apparition, mais ils ont déjà paru ou vont paraître à posteriori, selon le procédé de « l’éclairage rétrospectif » de Balzac, dans un grand

conquête » ; le général « voulut s’élancer ». Balzac souligne cette rivalité par la métaphore saisissante de la « partie d’échecs ». Il semble ici que ce soit la femme qui sorte victorieuse de l’affrontement. Par ailleurs, chaque partenaire entend être « libre », « tranquille » (la duchesse parle de « libre disposition » de soi-même). Enfin, les rapports sont froids : le ton, tout en restant apparemment très courtois et poli, est en fait souvent ironique ou moqueur (Montriveau « ri[t] »), voire

Clara de Beauséant duchesse amant avec Montriveau la maréchale duchesse de carigliano bal : rastignac y est reçu dans le grand monde tous les jeunes gens lui envient delphine il est lancé Mme l' Ambermesnil comtesse disparue sans payer 6 mois de pension Vauquer aurait pu amener d’autres clientes elle aimait pas Goriot Gondureau (agent faux rentier à la demande du ministre de la police général) chef de la police , demande de mettre

que ce n’est pas le cas. Ainsi, nous pouvons nous interroger sur quelle vision de la relation amoureuse ces trois textes propose-t-il ? * Dans le texte A, il y a deux personnages qui sont la Duchesse Antoinette de Langeais et Armand de Montriveau, général de l’armée de Bonaparte. Ces personnages ont une vision de la relation amoureuse différente où il y a beaucoup de complications. En effet, Antoinette veut seulement « posséder sans être possédée «  et tout au long du texte, elle se montre distante

Palais-Royal, n'édite Les Marguerites, de Lucien de Rubempré qu'en 1825, dans Splendeurs et misères des courtisanes. Est l'éditeur de Canalis dans Modeste Mignon. – Baron du CHATELET : né Sixte Châtelet, a participé à l'expédition d'Afrique du général Montriveau, devient député. Voir La Duchesse de Langeais, Splendeurs et misères des courtisanes. – Marquise d'ESPARD : grande dame du faubourg Saint-Germain, présente dans de nombreux romans (Splendeurs et misères des courtisanes, Une fille d'Eve, Béatrix) ;

plus anciennes et plus estimées pensions bourgeoises du pays latin»Ce prospectus lui amena la comtesse de l’Ambresnil, femme de 36 ans, là en attendant la fin de la liquidation et le règlement d’une pension qui lui était due en qualité de veuve d’un général mort sur les champs de bataille. C’est une des raisons pour lesquelles la propriétaire y mit du sien et fit tout bien. Cependant, la comtesse est partie en oubliant de payer 6 mois de pension.Vers la fin de la 3ème année, le père Goriot réduisit ENCORE

fait par le roi.   Celui qui est arrivé - elle ne sais pas qu'il est,  dont il n'est pas nommé.   ELLE SE TOURNA ET VIT UN HOMME- monsieur de Nemours est exactement comme un Montriveau - un homme à la mode, connu, exceptionnel; Le grotesque- Monsieur de Nemours - il est un objet de la curiosité. La manière générale Il passe et il a des obstacle come les chaises- LAFAYETTE s'amuse. La chevalerie est bien plus grotesque.   ÉTAIT DIFFICILE DE N ETRE PAS SURPRISE - la focalisation interne

au 20ème siècle mais nous relevons quelques oeuvres pouvant plus ou moins s'en rapprocher plusieurs décennies auparavant . C'est le cas par exemple de La duchesse de langeais de Balzac où nous assistons à une aventure sentimentale entre le Général de Montriveau et la Duchesse de Langeais, et du roman La porte étroite d'André Gide. Dans l'oeuvre de Madame de La Fayette nous pouvons nous aussi relever une intrigue amoureuse entre Mademoiselle de Chartres et le Duc de Nemours. Toute la suite du roman