Generation Gap

baby-boom de l’après-guerre. Ils refusaient les valeurs traditionnelles, le mode de vie de la génération de leurs parents et la société de consommation. Ce mouvement a eu une influence culturelle majeure. Histoire : Les précurseurs directs sont les beatniks, dans les années 1950; c’était des figures emblématiques, des références pour le mouvement hippie. Mais il y avait les écrivains de la Beat Generation qui étaient aussi considérés comme des précurseurs du mouvement car ils parlaient aussi d’une

l'approche en termes d'équité intergénérationnelle se complète nécessairement d'une approche en termes d'équité intergénérationnelle. Le souci du sort, ou pour le moins la considération des intérêts des générations futures, n'a de sens que s'il s'accompagne d'une prise en compte de la génération présente dans la variété de ses situations. Et, à cet égard, les niveaux respectifs de bien-être suivant les territoires constituent une variable de première importance. D'un point de vue opérationnel, l'objectif

capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Le développement durable cherche à concilier trois dimensions  Economique : assurer la croissance économique  Ecologique ou environnementale : l’idée est de préserver l’environnement  Sociale : l’idée de réduire les inégalités entre pays développés, pays en voie de développement (PVD) et les pays moins avancés (PMA) Les trois principes du développement durable A) Le principe de solidarité La solidarité avec les générations futures :

en forêt pour ramasser des feuilles, branches, bogues et fougères afin de construire des cabanes, de faire un herbier ou de me déguiser en indienne ou cowboy à l’aide de végétaux ramassés par terre selon les saisons. Je voudrais permettre aux générations futures de faire de même dans un environnement préservé et respecté. Pouvoir offrir une forêt entretenue et attrayante pour tous, tel est mon objectif. Faire aimer et respecter la faune et la flore, la nature. Apprendre la vie de la nature à travers

pour apporter des réponses concrètes à ces questions qu’est né le concept de développement durable. Un concept que l’on résume aujourd’hui d’une simple phrase : "un développement qui répond au besoin du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs". Pour y parvenir, les entreprises, les pouvoirs publics et la société civile devront travailler main dans la main afin de réconcilier trois mondes qui se sont longtemps ignorés : l’économie, l’écologie et le social

qui marqueront durablement une génération de soldats mobilisés et élevés dans une véritable culture de guerre sur fond de patriotisme. Dans son roman « Paris est une fête », le grand écrivain américain Ernest Hemingway (reprenant une citation de Gertrude Stein) exprime cette idée lorsqu'il s'adresse aux soldats de 1914-1918 : « That is what you are. That's what you all are… All of you young people who served in the war. You are a lost generation. » Cette « génération perdue » a été générée par une

ressource apparait donc menacée. Sa consommation doit être diminuée, notamment dans les milieux les plus secs, et sa qualité doit être ainsi préservée à l’aide du développement durable afin de permettre aux générations présentes de répondre à leur besoin en eau sans compromettre les générations futures à répondre aux leurs. En quoi l’eau est-elle une ressource essentielle pour la planète aux enjeux variés ? De même que l’on peut se demander comment peut-on allier l’eau et le développement durable 

Prendre en compte l’intérêt des générations futures s’impose peu à peu dans les discours, sinon dans l’action : le changement climatique fait l’objet de multiples sommets et textes internationaux depuis le sommet de Rio, il y a plus de vingt ans ; le recyclage est à la mode et l’écologie un mouvement politique. Cette bonne volonté affichée ne passe toutefois pas l’épreuve des faits : la plupart des gens vivent dans l’instant, sans s’inquiéter de laisser aux générations à venir des dettes multiformes

L’usage d’intrants dans l’agriculture est néfaste à l’environnement. C’est pourquoi, en 1992, a été proposé le concept de développement durable : il s’agit du développement « qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs » selon le rapport Brundtland. Il repose sur 3 piliers : social, économique et écologique. Dans ce dernier, nous allons voir comment concilier production végétale et gestion durable de l’environnement à travers 2 exemples :

organes des espèces animales et végétales se transforment et se dérivent les une des autres. C’est une transformation qui se fait de manière progressive ; en allant du plus simple au plus complexe. Elle se fait à partir de l’apparition de la vie par génération spontanée sous la forme d’êtres unicellulaires (les infusoires). Pour certains, il se rapproche de l’évolutionnisme car, la transformation se fait de manière évolutive ; par contre Lamarck n’a jamais utilisé ce thème. 3.- EN QUOI LE TRANSFORMISME