Geneviève Delaisi de Parseval

jurisprudences sont défectueuses. Bibliographie : - Les droits de l’embryon (fœtus) humain et la notion de personne humaine potentielle, Anne Fagot-Largeault et Geneviève Delaisi de - Parseval, Revue de métaphysique et de Morale, 1987, n°3. - L’embryon est-il un être vivant ?, Francis Kaplan, Éditions du Félin, 2008 - L'embryon in utero, Valérie DEPADT-SEBAG, Revue générale de droit médical n° 27, 2008. - Bioéthique et droit

personnes s'inquiètent pour le développement psychologique de l'enfant, qui pourrait être perturbé par la « complexité » de sa filiation, qui distinguerait la mère génétique, la mère porteuse, et éventuellement la mère légale. À ce sujet, Geneviève Delaisi de Parseval, psychanalyste spécialiste de bioéthique, estime que cette complexité est en réalité une « chance » pour l'enfant[réf. souhaitée]. En France, en mars 2009, l'Académie nationale de médecine avait averti d'un « risque de dérive » s'il y avait

entendu que la seule chose que nous, à notre échelle, nous puissions faire, c'est de freiner des quatre fers. Ce qui n'est, là encore, ni courant ni facile A propos de la demande parentale dans l'assistance médicale à la procréation Geneviève Delaisi de Parseval L'expression "désir d'enfant" est historiquement datée dans les représentations françaises. Ce "mot-valise" a vu le jour au début de la contraception ; il repose sur le fantasme de toute-puissance et de maîtrise, comme si les sujets

avec l’objectif de guérir son aîné ? Autant de questions qui n’ont pas eu de réponses dans le débat bâclé de 2003 au cours duquel les tensions éthiques en germe dans cette pratique ont été superficiellement abordées. La psychanalyste Geneviève Delaisi de Parseval, très favorable par ailleurs au DPI, marque à ce propos sa réserve avec une formule lapidaire dont la signification est lourde de sens : « En termes analytiques, on peut présumer qu’il s’agira d’un enfant à risque psychique [3]. » Une

couple parental ». Il a rappelé que la convention internationale des droits de l’enfant prévoit que l’enfant a, dans la mesure du possible, « le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux ». Pour des raisons différentes, Mme Geneviève Delaisi de Parseval (26) a également estimé que « la demande parentale devrait émaner d’un couple stable –le délai requis de deux ans (…) semble d’ailleurs un peu insuffisant –, de préférence marié : en un sens je préférerais que la loi, comme elle le fait

le week-end, chez Yann. En cas de décès l’enfant serait adopté par le conjoint (du père ou de la mère) En cas de conflit, la priorité serait donnée à la médiation familiale plutôt qu’à la justice avec la nomination d’un référent en la personne de Geneviève qui nous suit dans notre démarche depuis le début. Et d’autres choses plus confidentielles... Aujourd’hui, Yves a sept mois et tout va bien pour lui, sa famille, ses parents, ses parrain et marraine mais aussi ses grands parents maternels et paternels

déterminer le début de la protection civile? A l'heure actuelle, il existe trois grands principes sur lesquels s'appuie la loi pour cadrer les lois sur ce sujet. Ces règles ne sont pas officielles mais révélées par : Anne Fagot Largeault et Geneviève Delaisi de Parseval dans « revue de métaphysique et de morale n°3 1987 » : - La pente glissante: « Si l'on commence on ne saura pas s'arrêter et tout ce qui est techniquement réalisable est irrésistiblement fait » - Ne pas outrepasser les limites du raisonnable

chambre à la cour d’appel de Paris M Jacques COMMAILLE, directeur de recherches au CNRS Mme Sylvaine COURCELLE, vice-présidente du TGI de Paris Mme Geneviève DELAISI de PARSEVAL, psychanalyste M FERRARI, consultant à la direction des affaires juridiques, Ministère de l’education Nationale M Thierry FOSSIER, vice président du TGI de Grenoble Mme Geneviève FRAISSE, déléguée interministérielle aux droits des femmes M René FRYDMAN, gynécologue-obstetricien, chef du service de gynécologieobstetrique, Hôpital