Génocide arménien

de la France à celui-ci) dont le 10 mai pourrait être la date de commémoration. Un humoriste noir français a voulu manifester l’importance du devoir de mémoire à propos de l’esclavage, en le comparant à la commémoration très institutionnalisée du génocide juif. La question qui semble se poser est celle du contenu de cette mémoire. Peut-elle être universelle ? S’agit-il de « ma » mémoire, de la mémoire d’une nation ou d’une ethnie ? La mémoire est extensible bien sûr et il semble que le devoir de

photographe Allemand.Il a pris position en faveur des droits des juifs et des Arméniens, c’est d’ailleurs un des principaux témoins du génocide Arménien en prenant des clichés et des notes dans les camps arméniens malgré les interdictions des autorités turques. Son esprit humaniste s’est formé dès son plus jeune age, il avoue avoir été marqué par la lecture qui lui faisait son père du récit du génocide Arméniens en 1895.Il a fait des études de droits et les sciences politiques à Zurich, Paris

mitrailleuses…) D) Cette couverture pousse à la haine : détester l’ennemi. Il s’agit de la propagande. E) Des violences sur les populations : violences matérielles, violences physique, les première tentatives pour détruire une pop ( génocide arménien)

les lignes de communications étaient coupées. A partir du milieu de la guerre, l’Etat met en place le rationnement (on achète la nourriture avec des coupons de quantité qui sont distribués). Des civils ont été également tués comme pendant le génocide des Arméniens par l’Empire Ottoman (1,5 millions de morts). Les esprits ont aussi été mobilisés pendant la guerre. Les intellectuels ont montré dans les pays respectifs que l’ennemi était monstrueux et sanguinaire, et qu’il fallait à tout prix le vaincre

mais surtout l'objet d'handicaps à vie pour certains soldats ainsi que des traumatismes. La violence de masse est aussi une conséquence des troubles que peuvent avoir les soldats. Des actes irréparables produits par les Allemands, notamment le génocide Arménien qui a fait de nombreuses victimes est un acte de violence qui restera très choquante pour la plupart des soldats. Les hommes partis au front, qui ne sont pas morts à la guerre auront donc des séquelles à vie et des difficultés pour se reintégrer

est une sculpture et c'est fait en bronze. Le Monument en hommage à Komitas, aux Arméniens victimes du génocide de 1915 et aux combattants arméniens morts pour la France est une sculpture située , entre le Pont des Invalides Cours Albert-Ieret le , à Paris. Il s'agit d'une statue haute de six mètres réalisée par David Erevantsi[1], représentant Komitas, prêtre et musicologue arménien, rescapé du génocide arménien et réfugié en France. Présentation: La mise en place de l'œuvre a été approuvée

photos de crimes ou d’attentas. (Présentation de la fiche 2) La photo du centre est celle de Manouchian qui était le chef du groupe à cette époque. Missak Manouchian est était né en Arménie 36 ans plus tôt et il avait perdu son père dans le génocide Arménien (1915). Il adhère au syndicat communiste des FTP-MOI car il accepte de commettre beaucoup plus d’attentat contre les Allemands que le précédent chef du réseau. C. La portée de l’affiche Les résistants apparaissent tous comme

 La diaspora arménienne M2 - Expertise en population et développement UE Migration Julien SCHMUCK Le terme de diaspora n’a longtemps été utilisé que pour évoquer la dispersion des Juifs hors de Palestine à partir de l’Antiquité. Ce n’est que dans le courant du XXème siècle qu’elle est apparue comme une notion applicable à d’autres peuples. Si on retrouve la notion dès 1905 chez Elisée Reclus qui, dans L’homme et la Terre, étudie les Juifs, les Grecs et les Arméniens vivant hors du cadre

accompagnées de massacres et provoquant le déplacement, par l'armée russe, d'environ un demi million de réfugiés vers Constantinople. Cette violence perpétrée contre les Turcs a eu des conséquences directes sur la Grande Guerre et annonce le génocide arménien de 1915 : "This traumatic shock aroused the fervor of assimilationnist Turkish nationalism à la française to preserve the Ottoman Empire, only to whip up more violence from above and below, first against Armenians with the climax of genocidal

leur dessein d'éliminer la totalité des Arméniens de l'Asie mineure, une région qu'ils considèrent comme le foyer national exclusif du peuple turc. Ils procèdent avec méthode et brutalité. L'un de leurs chefs, le ministre de l'Intérieur Talaat Pacha, ordonne l'assassinat des élites arméniennes de la capitale puis des Arméniens de l'armée, bien que ces derniers aient fait la preuve de leur loyauté (on a ainsi compté moins de désertions chez les soldats arméniens que chez leurs homologues turcs). C'est