Génocide arménien

Le génocide des Arméniens, exemple de la violence de masse (2h) Objectifs : décrire et expliquer le génocide des Arméniens comme une manifestation de la violence de masse pendant la première guerre mondiale. Comprendre le rôle de la guerre dans ce phénomène( la guerre se transforme en un théâtre de nouvelles formes de violence de masse en Europe) Compétences : C5 : lire et employer différents langages/situer des évènements dans le temps/mobiliser ses connaissances pour donner du sens à l’actualité

le rationnement, les civils subissent également des violence plus marquées, en particulier dans les territoires occupés, ou a l'arriere front, ou les bombardements se multiplient. La violence faite aux civils trouve sont paroxisme avec le génocide des arméniens, minorité chrétienne de l'empire Ottoman, victime de déportation et de massacres. Bilan humain: 10 millions de morts, 20 millions de blessés ( France : 1,5 million de morts), 3 millions de veuves et orphelins, véritable traumatisme qui

mondiale, des civils globalement épargnés mais des exemples de violence L’arrière globalement à l’abri mais des exactions dans les territoires occupés Un premier génocide : les Arméniens en 1915 2. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la généralisation des violences contre les civils La mise en oeuvre de la solution finale : un génocide à l’échelle européenne Les civils victimes ciblées des bombardements de guerre Les civils otages de la terreur (massacres de Nankin, Oradour...) III – le

ne produit pas de véritables résultats stratégiques. Exemple 2 : Le génocide arménien où? en Turquie, un allié des empires centraux (L'Allemagne & L'Autriche-Hongrie) quand? en 1915 qui ? le gouvernement turc et ses outils (armée, gendarmerie) Pourquoi ? le gouvernement turc veut éliminer la minorité arménienne, soit 2 millions d'individus, de son territoire. La raison de ces massacres est qu'il soupçonne les Arméniens de vouloir se rallier aux Russes. Quelles manifestations de la violence

mondiale, des civils globalement épargnés mais des exemples de violence L’arrière globalement à l’abri mais des exactions dans les territoires occupés Un premier génocide : les Arméniens en 1915 Pendant la Seconde Guerre mondiale, la généralisation des violences contre les civils La mise en oeuvre de la solution finale : un génocide à l’échelle européenne Les civils victimes ciblées des bombardements de guerre Les civils otages de la terreur (massacres de Nankin, Oradour...) III – le

humaine résultant de l'atrocité des guerres: environ 13 millions de personnes meurent lors de la Première Guerre Mondiale, 60 millions lors de la Seconde. La violence des combats sur les soldats et sur les civils engendre leurs brutalisations. Les génocides, les assassinats, les bombardements ainsi que les camps de concentrations et d'exterminations change définitivement la vision de la guerre. En quoi les deux guerres mondiales amènent-elles de nouvelles définition des violences ? Dans un premier

lois qui font référence à l’histoire, elles constituent toute une série de lois qui ont la prétention de dicter la mémoire. La loi du 29 janvier 2001 est, par exemple, une loi mémorielle. Elle stipule que « La France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915 ». Thierry Garé s’insurge contre cette loi promulguée par le Président de la République et adoptée par le Parlement le 18 janvier 2001. Il explique qu’elle n’a aucune portée normative et que son contenu est vraiment « a juridique ».

des civils globalement épargnés mais des exemples de violence • L’arrière globalement à l’abri mais des exactions dans les territoires occupés • Un premier génocide : les Arméniens en 1915 2. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la généralisation des violences contre les civils • La mise en oeuvre de la solution finale : un génocide à l’échelle européenne • Les civils victimes ciblées des bombardements de guerre • Les civils otages de la terreur (massacres de Nankin, Oradour...) III

au moment où la protestation contre cette loi était à son comble, paraissait, dans le Libération du 13 décembre 2005, cet appel signé par dix-neuf personnalités, qui associait dans un même rejet la loi Gayssot, celle reconnaissant le génocide dont les Arméniens ont été victimes, et la loi Taubira qualifi ant l’esclavage et la traite négrière de crimes contre l’humanité. Il se terminait sur une phrase péremptoire : « Des articles de lois successives – notamment lois du 13 juillet 1990, du 29

points de vue : une guerre industrielle qui a vu l’apparition et l’usage de nouvelles armes (chars, avions…). Le nationalisme a été exalté pour poursuivre jusqu’au bout les sacrifices exigés par la guerre. C’est aussi le premier génocide du vingtième siècle contre les Arméniens (1915). Les conséquences du conflit sur le long terme sont majeures : les soldats ont subi de lourds traumatismes au cours des combats, les monuments aux morts sont érigés en souvenir des combattants militaires et civils, l’Europe