Genocide Juif Crime Contre L

le sujet de collaboration n’est plus tabou. B) Mémoire de la Shoah devient centrale La Shoah est le génocide juif. C’est un terme utiliser à partir des années 1980 et qui signifie « catastrophe » en hébreu. Cette mémoire devient centrale en 1970. Cette année voit un développement de l’affirmation de cette mémoire juive en réaction aux négationistes (ceux qui contestent le génocide, les camps…). Le film « Holocaust » sorti en 1979 joue un rôle, il fait connaître l’histoire à ceux qui l’ignorent

accompagnés d'un tract qui descriminait les étrangers, les juifs, les communistes accusés de piller, tuer, saboter. Qui est Missak Manouchian ? Il est né en 1906 à Adyaman, en Arménie. En 1915, quand il a 9 ans, sa famille est massacrée lors du génocide arménien. Il rejoint la France en 1925. Il adhère au Parti communiste en 1934, et, est rattaché au groupe MOI arménien. Pendant la guerre, il s’engage dans la Résistance. Il devient en 1943 le chef militaire des FTP-MOI de la région parisienne. Il

invente toutes sortes de rencontres fortuites et son imagination et sa liberté finissent par enchanter la jeune femme.  Cinq ans plus tard, Guido et Dora ont eu un fils : Giosuè. Mais les lois fascistes sont entrées en vigueur en Italie. Or, Guido est juif. Un jour, Dora rentre à la maison et ne trouve ni fils, ni mari. Ils ont été déportés. Par amour pour eux, Dora monte de son plein gré dans le train qui les emmène. A l'intérieur du camp de concentration, Guido fait tout en son pouvoir pour éviter

« Après tout, qui parle encore aujourd'hui de l'annihilation des Arméniens ? » Cette question, c'est Hitler qui la pose le 22 août 1939, quelques jours avant de déclencher la guerre contre la Pologne. Elle n'est pas seulement marquée du cynisme le plus brutal. Elle est profondément angoissante. Le massacre de centaines de milliers d'hommes, de femmes, d'enfants pourrait être oublié, et ces innocents-là pourraient mourir une seconde fois tout aussi injustement que la première. D'autres massacres recevraient

portant plus de 25millions d’individus surtout des Allemands et des Japonais. Elle a été également un choc moral : le traumatisme du génocide (6millions de juif + 0,5million de Tsiganes) et la bombe atomique a fortement heurtée l’opinion internationale. Les criminels de guerre doivent être jugés en Urembery et a Tokyo au nom de la notion de droits internationaux de crime contre l’humanité

mémoires ont évolué. Comment se sont construites les différentes mémoires françaises de la guerre (mémoires de Vichy et de la Résistance, de la déportation et du génocide) ? Tout d’abord, nous nous intéresserons à la mémoire de Vichy et de la Résistance. Ensuite, nous nous attarderons sur la mémoire de la déportation et du génocide. Enfin, nous évoquerons les rapports entre mémoire et histoire. I. Entre Résistance et Vichy, la mémoire du conflit. La mémoire de la résistance et de

- -       Europe : 30 millions de morts, dont 20 millions en URSS - -       nouveauté : la moitié sont des civils : les victimes civiles sont surtout nbses en URSS, All et Pologne (camps, bombardements, …) - -       génocide juif : + de 5 millions de victimes (« solution finale ») :     b) b)       Pertes indirectes :   - -                Csq sur la démog : déficit des naissances, l’espérance de vie a baissé de 8 ans en FR   - -               

confisquées et jamais utilisées. Cela remet en cause la thèse du glaive et du bouclier (collaboration par stratégie de Pétain) ainsi qu’un renouvèlement historiographique. B) Le réveil de la mémoire juive 1) La reconnaissance de la Shoah Dès 1970 le peuple juif revendique une reconnaissance (souhaite se faire entendre) au nom des 80 000 morts juifs de France durant la Seconde Guerre mondial. Dès 1961 est organisé en Israël le procès d’Adolf Eichmann, organisateur de la solution finale, ce procès est organisé

passé douloureux : défaite dès 1940, collaboration, occupation, régime de Vichy (les années noirs). - Mais à côté : France libre de De Gaulle, résistance, maquis. → Lors de son discours, De Gaulle veut montrer une France unanime dans son combat contre l'Allemagne et résistante, en occultant les attitudes d'une partie de la population Française, comme la collaboration ou les expériences douloureuses des déportés. De Gaulle veut ainsi rassembler autour de la Résistance, de la République dans une

promise à un parvenu, un bureaucrate du régime. Comme dans les contes de fée, Guido l’enlève le jour de ses fiançailles. Cinq ans plus tard, Guido et Dora ont eu un fils : Giosuè. Mais les lois raciales sont entrées en vigueur en Italie. Guido est juif. Un jour, Dora rentre à la maison et ne trouve ni fils, ni mari. Ils ont été déportés. Par amour pour eux, Dora monte de son plein gré dans le train qui les emmène. A l’intérieur du camp de concentration, Guido n’a plus qu’une obsession : sauver son