Gentrification

d'Afrique francophone principalement (beaucoup de Mourides). À partir des années 90 on entre dans une nouvelle phase de l'histoire de Harlem, en entrant dans une logique de gentrification. Chalotte Recoquillon a proposé une définition de la gentrification, dans une thèse sur ce processus à Harlem. Avant tout, cette gentrification procède selon elle d'une vision néolibérale de la ville : « Il s'agit d'un processus dynamique de reconquête territoriale, des quartiers préalablement dés-investis par les

l’aire métropolitaine. Ils ont alimenté une inflation généralisée des prix de l’immobilier et du coût de la vie en général à New York. Ces New Yorkais des classes aisées ont valorisé certains quartiers centraux (sud de Manhattan), favorisé la gentrification (nord de Manhattan vers Harlem) ou migré vers des gated communities situées en périphérie. La majorité des New Yorkais a plutôt subi que bénéficié des effets induits de ce phénomène. Les classes moyennes et les pauvres n’ont pas vu progresser

l’échelle mondiale. Elle polarise des flux de toutes natures : flux de marchandises et de capitaux, flux d’informations, flux migratoires. Elle contribue à la mondialisation et celle-ci contribue à la façonner (tertiarisation, verticalisation, gentrification, éviction et ségrégations)… C’est en démontrant que New-York répond à toutes ces caractéristiques que nous allons répondre à la question du sujet et même démontrer que New York est la seule ville globale du monde. New York est la première

derniers concentrent les problèmes sanitaires à cause du manque d’infrastructures permettant l’accès à l’eau et le traitement des déchets. Dans les pays développés, les quartiers des centres villes sont prisés par les populations aisées, on parle de gentrification. Cela augmente les prix de l’immobilier et empêche donc aux moins fortunés de s’y installer qui doivent aller vivre en périphérie. Les villes concentrent des problèmes liés à la gestion des déchets, de l'eau et de l'assainissement, etc. Avec l’étalement

à la métropolisation aux États-Unis : forte ségrégation socio-spatiale (la pression foncière relègue les populations les plus modestes au sud, à San Jose), congestion du trafic automobile (accentuée par la nécessité de s’installer plus loin), gentrification des aires urbaines de San Francisco et Oakland, etc. De même, le fonctionnement permanent de millions de serveurs informatiques a des conséquences environnementales non-négligeables. II. Une diversification des espaces

centré sur l’amélioration du mode de vie des habitants. Quand la population d’une ville doublait sa surface triplait pour pouvoir offrir un meilleur confort aux personnes et surtout aux riches qui quittent les centres villes qui subissent une gentrification comme Harlem pour s’installer dans des zones pavillonnaires. C’est à cette époque que nous avons fait des découvertes majeures tel que le charbon (qui est reparti en inégalité sur la planète car la chine en détient une très grande partie) et

réseaux de transport Mauvaise gestion des déchets ETUDE DE CAS 2 New York, une mégalopole du nord P145 - Documents 2 et 3 1-elle est inégale. 2- les loyers son élevés. 3- problème de ghetto phénomène de gentrification : rénovation des cartiers pauvres – les pauvres sont donc chassés. Documents 1 et 4 4- 5- 6-Au nord de MANHATTANE. Pauvre. B – Vers un environnement urbain durable ? Documents 5, 6 et 8 7- consomme plus d’énergie et contribuent

l’espace urbain est figé, certains quartiers peuvent être intégrés comme le bidonville de Santa Marta ou être réhabilités dans les centres villes du nord et devenir à nouveau attractifs attirant alors CSP plus aisées (phénomène de GENTRIFICATION) ce qui complexifie l’org de la ville. 4-Dans les deux cas, une forte augmentation des besoins : la naissance de ces mégapoles demande nécessairement plus de besoins : en termes de ressources : il faut nourrir ces citadins ce qui peut poser

principales de la ségregation urbaine : discrimination etno-raciale qui touche les inmigrés et ses enfants le marché du logement. Les prix structurent économiquement l'espace urbain. Ex : rénovation des centres aboutis a un phénomène de gentrification. (à Paris d'Ouest-> Est et provoque l'expulsion des popº pauvres vers la périphérie) (à Marseille A'80 entre le quariter de la porte d'Aix et le vieux port St Charles) les stratégies individulles de distinction sociale+ sécession urbaine

cout croissant du transport vers la ville centre. On assiste ainsi depuis les années 90 dans les grandes villes d’un phénomène de métropolisation qui se caractérise par une revalorisation des centres : les classes aisées y reviennent, c’est la gentrification en profitant des réaménagements réalisés pour rendre le centre attractif : les waterfront sont mis en valeur, les quartiers d’affaires profitent des nœuds multimodaux autour des gares réaménagée et de leurs connexion avec les aéroports, indispensables