Gentrification

prix, y trouvent place. Des architectes ont néanmoins été engagés pour dessiner ces habitations mitoyennes et en faire quelque chose de plus accueillant. Le quartier a subi, depuis l’époque sombre et industrielle du XIXème, un phénomène de gentrification. Cela signifie qu’il s’est peu à peu enrichi avec le temps, améliorant les conditions des classes sociales et des habitations. Celui-ci est du au mouvement de « Sablonisation » dans le quartier. C’est un mouvement qui pousse le quartier du Sablon

ouvriers à l’int. Des villes. * Métropolisation > renforce l’attrait du c-v, y concentre les richesses > contrastes sociaux spatiaux + complexes et marqués * Les + aisés > choisissent leur lieu d’habitation selon leurs avantages (gentrification) * Les + modestes > exclus de ces quartiers > anciens quartiers dégradés, g.e banlieue 1960, périurbain éloigné. * Centre-ville = pop. Aisé. * Banlieue proche = classe moy. * Plus éloignée = aisés/modestes/populaires

huppés. Les classes moyennes sont regroupées dans les périphéries, en zone pavillonnaire. Les classes les plus pauvres se retrouvent dans les centres urbains dégradés autour des centres d'affaires. On parle de ségrégation socio-spatiale et de gentrification de certains quartiers. Ces phénomènes sont présents autant au Nord qu'au Sud. B°/ Les enjeux actuels de l'expansion urbaine, liés aux mobilités et aux transports A l'échelle de la planète, les transports motorisés (voitures et bus) sont

marché.  Cette attitude tient également d’une forme de snobisme : il concerne en premier lieu une catégorie sociale assez privilégiée, plutôt urbaine, résidant souvent dans les centres-villes à caractère historique (à relier au phénomène de la gentrification) ; les « bobos » sont donc les premiers concernés ; il y a ici une volonté de se défaire du tout-venant, du vulgaire et d’afficher à travers les objets une forme de culture ; une nouvelle forme de mode se crée par conséquent et tend à uniformiser

dominante urbaine dont près de 22 % dans le périurbain. b) La fragmentation socio-spatiale des territoires urbains s’est accentuée avec la hausse du foncier, la discrimination ethno-raciale et le cumul des stratégies individuelles. Le processus de gentrification qui touche l’ensemble des arrondissements parisiens concerne aussi, dans une moindre mesure, les métropoles régionales dont les centres redeviennent attractifs pour les populations aisées. Les populations aux revenus faibles à moyens tendent à

vieux centres-villes ne permettaient pas l'accueil de beaucoup d'habitants, du fait de leur aspect archaïque. La rénovation des centres-villes était alors une nécessité. Elle s'est faite grâce à la réhabilitation de vieux quartiers (mécanisme de gentrification) ou la construction de nouveaux quartiers modernes, tels que les éco quartiers. La croissance urbaine a augmenté considérablement la taille de la plupart des villes. Ceci mène logiquement à une extension des réseaux de transport du fait

abordables. Ainsi, le village olympique sera converti en logements à loyers modérés pour les infirmières et les enseignants londoniens !!!! Mais derrière cette vitrine, des inquiétudes pèsent sur le sort de Stratford : les JO vont-ils entraîner une gentrification de ce quartier comme c’est le cas des quartiers plus à l’ouest et au sud ? Cette tendance paraît peu probable car l’image du quartier reste négative. Ainsi, les opérations immobilières actuelles visent d’ailleurs plutôt les familles avec enfants

d’habitants que la ville centre. Entre 1975 et 1982, en moyenne 6000 personnes par an ont quitté le centre ville pour la périphérie pour avoir de plus grands espaces de vie à coûts raisonnables. C’est l’étalement urbain COMMENTER IMAGE La gentrification est un processus par lequel la population d'un quartier ou d'une ville se modifie au profit de classes sociales favorisées dont l'installation se fait au détriment des classes plus modestes qui l'occupaient auparavant. Ce phénomène est observable

et dans sa zone industrielle (pôle urbain). En raison de l’étalement urbain, certaines zones du centre qui étaient délaissées sont redevenues attractives et ont été réhabilités. Cette réhabilitation des quartiers délabrés du centre s’appelle la gentrification (ex : les Halles). 3. Les enjeux de l’accroissement des mobilités urbaines. Le développement des grandes aires n’a été rendu possible que par l’accroissement des mobilités urbaines. L’aire urbaine autour de Pris s’étend sur environ 80, 100

littoral. Les activités tertiaires, et les industries à haute valeur ajoutée, localisées dans des technopoles se substituent aux industries anciennes. Dans les villes, les friches urbaines et industrielles sont reconquises, permettant souvent une gentrification de certains quartiers. À la périphérie des villes se développent de nouveaux centres (edges cities). Deuxième partie La façade atlantique des États-Unis est une interface majeure à l’échelle américaine et mondiale. Elle bénéficie de nombreuses