Gentry

Représentants des comtés : free holders, et représentants des bourgs – free men, mais ont été dessinés au MA et peu représentative de la nouvelle Angleterre : Manchester – bourgs pourris où les votes s’achètent. Petite et moyenne noblesse domine – gentry. Deux partis traditionnels : les whigs, hostiles aux prérogatives royales, et les tories favorables aux prérogatives royales et conservateurs, au pouvoir avec les deux Pitt. Ont triomphés de toutes les tentatives révolutionnaires – Irlande. C'est

également rois d’Irlande. Tentatives de colonisation nommées plantations Population à 90% rurale, structurée par la possession de la terr. Détermine une classe moyenne nommée gentry (petite noblesse, entre 2 et 3% de la pop, très ouverte)La nobility (noblesse titrée, aristocratie)Beaucoup de gentry vont se rallier à la cause républicaine lors de la seconde révolution Le monarque anglais règne et gouverne à la fois sans prétendre au pouvoir absolu. Les pouvoirs du monarque anglais sont

L'idéal est d'avoir un manoir et des tenants et d'être apparenté à d'autres familles de la gentry, voir de la noblesse. C'est pour cette raison que certains seigneurs (attachés à leur statut seigneurial et à ses signes extérieurs) refusent de se plier à la logique économique. Différence entre l'attitude de la noblesse et celle de la gentry dans le domaine économico-agraire. Ce sont surtout des familles de la gentry qui adoptent des politiques économiques agressives, alors que celles de la noblesse sacrifient

sociales et familiales. A l’issue de la Seconde Guerre Mondiale, les caractères évoluent : leur individualisme forcené les fait plonger dans un gouffre dont ils ne se relèvent que très rarement : ainsi, Ruby (interprétée par Jennifer Jones), dans Ruby Gentry (1952), Pearl Chavez (interprétée par Jennifer Jones) et Lewt Mc Canles (interprété par Gregory Peck), dans Duel au Soleil (1946), ne peuvent résister à la fureur de leur désir et s’anéantissent. Mais, Dempsey Rae (interprété par Kirk Douglas), le

apparaissent des groupes sociaux qui n’appartiennent ni à la bourgeoisie ni au prolétariat. En Angleterre, la middle class, au singulier, désigne la nouvelle bourgeoisie industrielle et économique, en lutte avec la noblesse (nobility) et la haute société (gentry). En France, le pluriel « classes moyennes », proche de ce que Karl Marx qualifie de petite bourgeoisie, va désigner dans le discours politique ces nouvelles couches qui, dotées d’un minimum de capital, échappent à la vie au jour le jour qui est le

et y est reçu en loge. Alors que ses ennemis lui attribuent un père boulanger, le Régent de France le fait chevalier et le Prétendant Stuart lui décerne un certificat de noblesse. Il peut alors épouser une aristocrate et faire bonne figure dans la gentry britannique comme dans la hiérarchie maçonnique française, hautement intriquées. Que reste-t-il de lui, trois siècles après ? Sur le plan profane, une oeuvre littéraire où se décèle l'influence de Fénelon, dont il fut le secrétaire et l'héritier

en autres, l'exécution, en 1535, de l'ancien chancelier, l'humaniste Thomas More, qui refuse de prêter le serment). Les biens ecclésiastiques sont confisqués après la suppression des monastères et sont vendus à la petite noblesse anglaise (la gentry) et aux bourgeois.

maîtrise du discours indirect libre, son humour décalé et son ironie ont fait d'elle l'un des écrivains anglais les plus largement lus et aimé. Toute sa vie, Jane Austen demeure au sein d'une cellule familiale étroitement unie, appartenant à la petite gentry anglaise. Elle doit son éducation en grande partie à son père et à ses frères aînés, ainsi qu'à ses propres lectures. Le soutien sans faille de sa famille est essentiel pour son évolution en tant qu'écrivain professionnel. L'apprentissage artistique

discours indirect libre, son humour décalé et son ironie ont fait d'elle l'un des écrivains anglais les plus largement lus et aimés[1]. Toute sa vie, Jane Austen demeure au sein d'une cellule familiale étroitement unie, appartenant à la petite gentry anglaise[2]. Elle doit son éducation en grande partie à son père et à ses frères aînés, ainsi qu'à ses propres lectures. Le soutien sans faille de sa famille est essentiel pour son évolution en tant qu'écrivain professionnel[3],[4]. L'apprentissage

maîtrise du discours indirect libre, son humour décalé et son ironie ont fait d'elle l'un des écrivains anglais les plus largement lus et aimés1. Toute sa vie, Jane Austen demeure au sein d'une cellule familiale étroitement unie, appartenant à la petite gentry anglaise2. Elle doit son éducation en grande partie à son père et à ses frères aînés, ainsi qu'à ses propres lectures. Le soutien sans faille de sa famille est essentiel pour son évolution en tant qu'écrivain professionnel3,4. L'apprentissage artistique