Géopolitique

est-ce d'ailleurs cette évolution qui va pousser au XVIIème siècle certains "utopistes" à souhaiter la création des "Etats-Unis d'Europe". C'est à partir de la fin de la première guerre mondiale que l'Europe est explicitement l'objet de débats géopolitiques, quand on commence à parler du "déclin de l'Europe" comparé à la montée en puissance des Etats-Unis d'Amérique. Il s'agit là du regroupement d'Etats tels que le Royaume-Uni, l'Allemagne, la France, où la Révolution Industrielle est née et s'est

internationales. I – La transition vers un nouvel équilibre La chute de l’empire soviétique perturbe les équilibres géopolitiques existants. Les États-Unis se retrouvent seule grande puissance, mais pourtant d’autres pôles prennent de l’importance et redessinent la carte du monde. A – La fin de l’ordre bipolaire Montrez en quoi la chute de l’Union soviétique change l’équilibre géopolitique du monde. La première guerre d’Irak est un moment emblématique de ce tournant. B – Les États-Unis, de l’hyperpuissance

3° - Etat des crises dans un monde multipolaire. a – Les guerres nées de la disparition de la guerre froide. b – Paix incertaines. c - Nouvelle géopolitique, nouveaux acteurs. 3° - Etat des crises dans un monde multipolaire. a – Les guerres nées de la disparition de la guerre froide. b – Paix incertaines. c - Nouvelle géopolitique, nouveaux acteurs.

L’évidente acception géopolitique. L’idée de frontière procède d’une définition apparement évidente comme celle que propose Les mots de la géographie : « Limite du territoire d’un Etat et de sa compétence territoriale ». Si l’on s’en tient à cette définition, l’approche géopolitique semble inhérente à l’idée de frontière. De même, Michel Foucher, dans son ouvrage Fronts et frontières, esquisse une définition de la frontière qu’il qualifie de « discontinuité géopolitique à fonction de marquage

l’australise. L’etat en question peut y exploiter les ressources maritimes. Les etats défendent leur ZEE ce qui crée des litiges de delimitztion, voire de conflits. Toutes ces ressources sont des avantages qui peuvent parfois mener à des tensions géopolitiques sévères. III) Les mers et océans sont au cœur de rivalités de puissances. 1. Géostratégie maritime, géostratégie mondilae Les conflits sont multiples concernant la ZEE. Les tensions sont liés à la volonté de maitriser mes ressources en gaz et

ACTUALITÉS EUROPÉENNES GÉOPOLITIQUE DES FRONTIÈRES DE L’UNION EUROPÉENNE n°48 novembre 2011 Maroc : quelles perspectives ? par Pierre Verluise, Directeur de recherche à l’IRIS, Directeur du site géopolitique www.diploweb.com 1 Les élections législatives du 25 novembre 2011 au Maroc ramènent l’attention sur ce pays qui bénéficie d’un statut avancé auprès de l’Union européenne. Cependant, son climat des affaires souffre encore de bien des insuffisances. L’administration et le système judiciaire

implantation permet à l’hyperpuissance de garder la main mise sur la région stratégique des Balkans. Cette intervention pose aussi le problème des droits des peuples à disposer d’eux mêmes, de l’indépendance à donner aux différentes minorités. En géopolitique et dans le cas présent, il est important de se rappeler que les principes de nation et d’Etat ne sont pas toujours superposés dans l'espace. En effet les frontières de ces entités ne sont pas toujours en adéquation avec leur culture. De là se distingue

augmentation des trafics en tous genres qui prennent une dimension internationale. De là se crée des réseaux mafieux face à l’échec politique et des conditions de vie précaires. Le Sahara se trouve être au cœur des préoccupations majeures de la géopolitique internationale et des firmes transnationales. La Sahara entre petit à petit dans la mondialisation et est au cœur de l’actualité et ce, grâce aux révolutions tunisienne, égyptienne et libyenne. Le Sahara est défini comme un espace riche mais fractionné

contient d’intéressantes vues géographiques mais qui est surtout histoire et sociologie. » Ce refus de classer Reclus dans la géographie est un moyen pour Brunhes de discréditer toute tentative de prendre en compte la dimension socio-politique et géopolitique de l’organisation de l’espace. La géographie est une science, et en tant que telle, elle ne peut être que neutre. Mais finalement, n’est-ce pas se voiler la face que de vouloir affirmer la rationalité, la scientificité absolue de la géographie

conforter ses dirigeants sur les choix entrepris, que sur des buts abstraits qui finalement ne concernent que les dirigeants des états belligérants des différents conflits. Intéressons-nous maintenant dans un second temps à l’Occident, entité géopolitique connue sous plusieurs formes mais la plupart s’accordent à dire qu’il est constitué en grande partie de l’Amérique du Nord et de l’Europe de l’Ouest (c’est notamment ce qu’en pense Huntington). C’est en fait sa position sur l’échiquier mondial