Géopolitique

tout n'est pas cartographié et tout n'est pas cartographiable. Il faut donc croiser les sources si l'on veut avoir une lecture géoéconomique complète. Une carte est une représentation d’un espace géographique. Elle peut prendre une dimension géopolitique, géoéconomique, géoculturelle ou encore géoenvironnementale. Chacune de ces grilles de lecture offre une vision incomplète de la réalité. Pour appréhender toute la complexité du monde, il est donc nécessaire que le géographe mette en confrontation

comprendre pourquoi cet espace se retrouve aujourd’hui objet de convoitise pour de nombreux pays, en particulier les Etats-Unis, la Russie, le Canada et le Danemark, riverains qui en revendiquent les eaux territoriales. On voit apparaître donc un enjeu géopolitique au travers de la souveraineté des espaces maritimes. C’est pourquoi les Etats-Unis voudraient le voir qualifier de détroit international, au titre de l’article 37 de la convention du droit à la mer. Ainsi, des litiges et des tensions se font de

avait pu éclater dans le monde et de donner des réponses à tant de questions.
Nous avons donc tiré 4 grandes doctrines (théories) de relations internationales qui ont déjà été employés durant c’est derniers siècles : le réalisme, le libéralisme, la géopolitique et la doctrine marxiste. Puis nous nous sommes intéressées à certaines doctrines en particulier telles que la doctrine Truman et la théorie des dominos qui ont joué un rôle important dans les relations internationales. 1. La doctrine du Réalisme :

documents Wikipédia : sur le pétrole et l’industrie pétrolière, la politique étrangère des USA, décolonisation du Moyen-Orient, sa nationalisation, L’OPEP, les chocs pétrolier, les guerres du Golfe… etc. — extraits de document : 1/le pétrole facteur géopolitique (M.Chauprade, professeur de sc. politique université de Neufchâtel). 2/pétrole et les relations internationales [Hervé l’huillier, ordre et désordre mondial]. 3/enjeux énergétiques et politique extérieure des USA [P.Colombanie]. 4/Les USA et le

Amin Maalouf, auteur franco-libanais, a écrit "Le dérèglement du monde". Dans cet essai, il donne une interprétation des dérèglements majeurs auxquels l'humanité fait face tant sur le plan économique et financier, climatique et environnemental, géopolitique et moral, ou bien encore intellectuel et éthique. Il explique que ces dérèglements sont dus à une crise de légitimité du pouvoir. D'ailleurs, selon lui la crise financière est le signe du dérèglement profond du système de valeur. Amine Maalouf

Période : 1/12/2012 31/12/2012 Planning Session Planstag_tout.rep - 16/11/2012 MDAI 2012-2013 Date cours lun. 03 déc. 12 Début 08:30 09:00 13:30 13:30 13:30 Fin 09:00 12:00 16:30 16:30 16:30 Libellé matière cours Réunions Géopolitique des grandes aires de croissance Allemand LV2 Espagnol LV2 Italien LV2 Descriptif cours Salle B324 B324 B308 B324 B304 Nom et prénom Formateur BENNE Philippe BREUIL Jean Michel HEYDENREICH RICCARDI Maureen MORADO ROMERO Maria Soledad CORONATI

menacent les fragiles équilibres sociaux, économiques, politiques et géopolitiques qui s’y sont progressivement construits. Ce théâtre stratégique ne peut être sécurisé qu’à travers une synergie de coopération régionale et internationale mettant en œuvre une panoplie de moyens coordonnées autant ‘’ Soft’’ que ‘’ Hard’’. Afin de montrer le bien fondé de ces propos, seront traitées successivement l’analyse géopolitique du sahel, puis la stratégie à adopter pour contribuer à la sécurité

principalement géo-économiques et sur les relations internationales des deux pays, alors que la carte donne un aspect géopolitique plus général de la zone Asiatique Sud-Est. Quels sont les principaux aspects de la concurrence entre la Chine et le Japon sur la zone Asiatique ? Dans une première partie, nous nous intéresseront a la concurrence des deux pays sur le plan géopolitique, géo-économique, puis enfin les autres aspects qui les mettent en concurrence en tant que puissance. Tout d’abord

besoins des investisseurs dans les zones éloignées de la capitale de Madagascar. * Le « soft power » L e « soft power », développé par le professeur américain Joseph Nye, est une notion qu’on utilise surtout en Relations Internationales ou en Géopolitique, mais qui peut très bien être transposée dans les facteurs socioculturels en matière d’investissement. Il s’agit d’un pouvoir persuasif tendant à influencer les comportements des autres, ainsi que ses envies. C’est donc une politique d’influence

ses enjeux pour l’avenir du monde. Favorisée par la disposition des Etats à tout externaliser et leur quête de liberté d’action politique dans un environnement stratégique instable, la privatisation de la guerre présente, certes, des avantages géopolitiques, techniques et opérationnels mais, elle risque par ses contours juridiques flous de porter atteinte autant à la résilience des armées qu’à la souveraineté des Etats. A la lumière des causes ayant favorisé la tendance à la privatisation de la