Georges Clemenceau

L’affaire Dreyfus, de 1894 à 1906, est une nouvelle épreuve pour la République, après le scandale de Panama qui rejaillit gravement sur certains dirigeants politiques et déclenche une vague d’antiparlementarisme et d’antisémitisme. Le capitaine Alfred Dreyfus est dégradé et condamné à la déportation à vie en Guyane, accusé d’avoir transmis des documents secrets à l’Allemagne après la découverte, dans une corbeille, d’un bordereau d’envoi aux services allemands de notes relatives aux activités militaires

opportunistes sont divisés en 2 gpes : le centre droit et les républicains de gauche (comme Poincaré ou Waldeck-Rousseau, qui continuent lutte contre congrégation) - la gauche plus dure: * les socialistes * les radicaux (Gambetta, Clemenceau…) : inspirés de la philosophie libérale et de l’individualisme (attente d’une évolution morale et matérielle de la société) & issus surtout de milieux scientifiques ont des liens avec la maçonnerie (le Grand–Orient évolue vers le rationalisme

troisième république. Il est caractérisé par la lutte anticléricale : critique envers une forme d'autorité religieuse, le clergé. Puis le 3 octobre 1888, Jules Méline est élu au troisième tour, à égalité des voix et au bénéfice de l'âge, contre Clémenceau (originaire de Vendée, il défend la république contre le plébiscite (dériver du référendum) et le cérarisme (régime politique inspirer du gouvernement de type monarchique)) comme président de la chambre des députés pour remplacer Charles Floquet

Emile Zola à pu- blier son article intitulé « J’accuse » où il dénonce les militaires qui ont condamné Dreyfus et qui le maintiennent au bagne. Dans la presse, la haine atteint son paroxysme. Dreyfusards, parmi les- quels Jean Jaurès, Clemenceau, Zola, l’écrivain Octave Mirbeau, et an- tidreyfusards se déchirent par journaux interposés. Des émeutes anti- sémites éclatent dans plusieurs régions françaises, faisant même des morts notamment à Alger... Finalement, Dreyfus est rejugé

un gouvernement d'"Union sacrée". -1917, paroxysme des difficultés dues à la guerre: souffrances, pénuries, mutineries, gréves, révolution russe =Ces ouffrances de guerres enhardissent l'opposition de la SFIO: fin de l"Union sacrée" =appel à Clemenceau, memebre du parti radical, en 1917 qui rétablit l'ordre et assure la victoire. = reprise des affrontements politiques entre la droite et la gauche accusée de vouloir propager la révolution en France. -Victoire de la droite, le Bloc national en

toujours pas réglé. Il y a eu des progrès mais ce n'est pas encore suffisant. Les revenus son jugés insuffisants. Les salaires des femmes sont faibles. Les grèves se multiplient à la « Belle Epoque ». En 1908, il y a des grèves très dures en France. Clémenceau va réprimer ces grèves, le plus souvent par la force. 5- Les crises de la république. La troisième république se met en place après la perte de l'Alsace-Lorraine en 1870. Napoléon III a abdiqué. Elle est mise en place en 1875. Une démocratie est

retrouve des expressions comme "c'est moi qu'ils accusent", "on me combat", "me rendre responsable" marquant bien la contre-attaque des républicains a l'encontre du général.(exemple avec la création de la société des droits de l'homme et du citoyen par Clémenceau pour combattre le boulangisme). L.12-13:On peut parler de tentative de destabilisation Ou encore L.17:"lois d'exception" c'est a dire le retour au scrutin d'arrondissement nottament. Conclusion: En conclusion nous pouvons dire que ce

colonisation rend vivante la gloire des régimes monarchiques´ b. Gauche + Centre (divisés sur la question) : motivés par des intérêts économiques Revenus par le commerce de l´opium * Opposition par une partie de républicains (Passy, Clémenceau etc.) qui dénoncent la politique coloniale et réfutent les arguments de Ferry (race supérieure, mission civilisatrice…) * 2ème débat : vote favorable d´extrême justesse (ce vote repose sur des faits discutables>invalidation de 22 débutés)

l'État saisisse les mines, en s'appuyant sur les lois de 1810 et 18382. Le député radical Clemenceau propose un arbitrage, accepté par la direction des mines. Le président du Conseil Loubet est choisi comme arbitre par la Compagnie des mines et les mineurs, ces derniers choisissant Clemenceau, Camille Pelletan et Millerand pour les défendre. L'arbitrage de Loubet prend cependant le parti de la Compagnie2. Le 27 octobre 1892, Clemenceau, Pelletan et Millerand proposent à la Chambre des députés une loi d'amnistie pour

dehors du procès Zola que les clans s'affrontent. Et finalement, Zola est condamné au maximum : 3 000 francs d'amande et un an de prison. La deuxième tentative de révision échoue. La "raison d'Etat" triomphe. Picquart et Zola disparus ; Jaurès, Clémenceau et Reinach hors du Parlement (ils ne sont pas réélus aux élections de 1898), quelle chance les partisans de la révision ont-ils encore de triompher ? Zola écrit : "Je n'espère plus que dans l'inconnu, dans l'imprévu. Il nous faut le coup de foudre