Georges Jacques Danton

01 88 Services administratifs communications : 14 rue du fossé blanc, 92230 Gennevilliers Avon : www.avon.fr Siège social : ZI Paris Nord 2, 85 av des Nations BP, 63013 Villepinte 45 Rue Pierre Charron 75008 Biotherm (L’Oréal) : 106 rue Danton, 92300 Levallois 01 49 64 65 00 Bourjois : www.bourjois.com 12 Rue Victor Noir 92200 Neuilly hr_france@bourjois-corp.com pour demande de stage Cheop’s Conseil : www.cheops-cosmetics.com 191 av Daumesnil, 75012, 0143073131 Clarins : http://fr

puis disparu après le 10 aout 92. Club des Cordeliers : fondé en avril 1790 dans le couvent des Cordeliers, il fut animé au départ par Marat et Danton. Les membres en sont des Sans-Culottes, mais le club est plutôt dirigé par une bourgeoisie aisée. Le Club devient franchement républicain après le 17 juillet 91 sous l’influence d’orateurs comme Danton, Marat, Desmoulins, ou Santerre. Le club est un des hauts lieux de l’agitation révolutionnaire et ses dirigeants contrôlent de fait les sections de

européens coalisés). Il instaura un régime fondé à la fois sur la vertu et la terreur, selon ses propres termes. Après l’élimination des ultras (Hébertistes et Enragés, 24 mars 1794), jugés « démagogiques », puis des Indulgents groupés autour de Georges Danton, 5 avril 1794), Robespierre tenta d’imposer son idéal de république démocratique et vertueuse, constituées de petits propriétaires libres et égaux en droit, lui donnant un couronnement spirituel avec l’institution du Culte de l'Être suprême (qui

sections parisiennes, Robespierre obtient la suppresion des Girondins. La situation de la France va mal, à cause des guerres aux frontières et à la révolte vendéenne. Maximilien Robespierre est alors nommé au Comité de Salut Public, pour remplacé Danton le 27 juillet 1793.Il va, dès lors, y déployer un zèle et une activité immense : Robespierre s'avère un extraordinaire homme d'Etat. Il est aussi l'orateur le plus respecté de la Convention et des Jacobins où il est toujours aussi assidu. Sa popularité

Après ce cour anachronisme la pièce commence le 6 avril 1794 le lendemain du jour de la mort de Danton. Les personnages et costumes : Sur scène évolueront les 9 personnages constituant le comité de Salut public qui sont : Robespierre, Prieur, Carnot, Billaud, St Juste, Lindet, Collot, Couthon, Barére on trouvera aussi certains personnages secondaires tels que la femme de Robespierre le fantôme de Danton... Tout ces personnages sont censés diriger la France ayant tous une forte personnalité et

une conversation sérieuse ; on passe de scènes placides à des empoignades ou parfois encore le chant, la musique sinon la danse vient interrompre les dialogues dans une intention comique. Il y a d'excellents moments, comme le « slam » sur la mort de Danton, la leçon d'équitation sur des chaises et autour des tables ... Le texte est dense, mais l’excellent jeu des comédiens, qui repose sur une part d’improvisation qui n’en est pas moins charpenté, a réussi à le rendre plus digeste grâce quelques

Danton, Appel à l’assemblée législative (1792). Danton (1759-1794) Avocat au Conseil du Roi, Georges Danton fonde dès le début de la Révolution le club des Cordeliers et devient un orateur populaire qui électrise les foules. Cet improvisateur de génie déploie son éloquence dans les heures tragiques, pour sonner le rappel de la défense révolutionnaire à la veille de Valmy ou pour abattre les Girondins à la tête du Comité de Salut public. Quand il s’attaque à Robespierre, c’est lui qui se retrouve

an II (10 juin 1794) qui instaure la Grande Terreur, ôtant aux accusés toute possibilité de défense ou de recours. Né à Arcis-sur-Aube en 1759, mort à Paris en 1794, Danton est est un avocat au Conseil du Roi et un homme politique issu d’une famille de la petite bourgeoisie.En janvier 1793, en compagnie des Montagnards [2] Danton vote la mort du roi Louis XVI. Puis il participe à la création du tribunal révolutionnaire en mars 1793, qu’il préside à partir de juillet, . Né en 1743 à Boudry canton

Billaud-Varenne qui ont eu à répondre avec Vadier et André Amar du Comité de sûreté générale, de nombreux crimes et actes de barbarie, ce qui valut aux trois premiers une condamnation à la déportation en l’an III. Le 5 avril 1794, exécution de George Danton et Roger de Lisle. On y voit Robespierre condamnant l'athéisme et mettant en place le culte de l'Etre Suprême ! (passage comique de cette époque !). Fin de la Terreur ou grande Terreur ou le 27 juillet 1794, Robespierre est hué à la tribune de

héros de ce livre, chacun portant en soi le drame et sa propre fin. Deux parties du texte attirent particulièrement l'attention: La première narre une spectaculaire rencontre (imaginaire) entre trois grandes figures de la révolution française, Marat, Danton et Robespierre. La seconde décrit en détail une séance de l'assemblée de la Convention.