Germaine de Staël

le nom de la fleur." Cf. Mémoires d'Outre-tombe, Flammarion, 1948, I, 103. 23. Le Parti des Ducs regroupait à cette époque la partie noble de l'Académie française, autour du salon du comte d'Haussonville (1843-1924), arrière-petit-fils de Mme de Staël. 24. Proust écrit: "Lévy-Mirepois" pour désigner cette grande famille dont les représentants dans le roman sont purement fictifs. 25. Proust écrit "Péloponèse". Constantin de Grèce (1868-1923) soutint pendant la Grande Guerre les puissances de

Vagner (« le vaisseau fantôme, par exemple). En France : Chopin. Ils ouvrent la voix à une nouvelle génération d’artistes romantiques y compris en musique. L’influence de l’Allemagne et de l’Angleterre sur la France. 2 exemples : -Madame de Staël (fille du ministre des finances de Louis 16), elle s’est retrouvée à l’étranger donc pendant la Révolution. Ouverture de Salon par cette dame en Allemagne. Elle rapporte en France cette culture dans son livre « De l’Allemagne », elle incite à une ouverture

couleurs depuis son veuvage : du noir, du violet et du blanc. Il fallait qu’il fût trouvé de très bonne compagnie pour ne pas être souvent trouvé de la mauvaise. Mais quand on en est réellement, vous savez bien qu’on se passe tout, au faubourg Saint-Germain ! Un des avantages de la causerie en voiture, c’est qu’elle peut cesser quand on n’a plus rien à se dire, et cela sans embarras pour personne. Dans un salon, on n’a point cette liberté. La politesse vous fait un devoir de parler quand même, et on

currents Pure and applied science Literature and ideas Digesting the Revolution Throne and altar History Catholicism and the Right Positivism Socialism and the Left Ideas and literature Aesthetic doctrines The growth of schools Chateaubriand Madame de Staël Romanticism Schools of poetry The Parnassian school Baudelaire Symbolism: the first phase xii CONTENTS Décadisme The Symbolist movement The evolution of Symbolism Post-Symbolism The Symbolist revolution Schools of fiction Balzac Realism Naturalism

il redisait déjà les vers était un de ces jeunes officiers de ses gardes qu’il avait souvent paru remarquer, et à qui il avait une ou deux fois adressé la parole quand je galopais aux roues de sa voiture, dans les courses à Versailles ou à Saint-Germain. – 17 – Ces vers cependant furent pendant longtemps l’objet des critiques, des dénigrements et des railleries du vieux parti littéraire classique, qui se sentait détrôné par cette nouveauté. Le Constitutionnel et la Minerve, journaux très illibéraux

les tribunes et la rue. Mais elles sont très mal vues par l’opinion, car elles ne correspondent pas au schéma de la femme traditionnellement douce et réservée. – Quelques femmes de l’aristocratie ou de la bourgeoisie tiennent des salons (Mme de Staël, Mme Roland) où l’on discute des réformes, des projets politiques... Les plus éduquées rédigent écrits et pétitions. – Les femmes assistent aux réunions des clubs qui acceptent la mixité, aux sessions de l’Assemblée, fondent même leurs propres clubs

commence à remettre en cause des certitudes et à critiquer et cela à travers des groupes de pensée qui se réunissent dans des salons.                                Ex: En Suisse, se réunit le" groupe de Coppet" (Banquier Suisse Necker, sa fille Germaine de Staël tient ce salon, maitresse de Benjamin Constant). On construit des études qui sont des éléments intéressants pour tenter de comprendre la société. C'est aussi l'époque des voyages, cela permet de comparer les sociétés, on constate que ces institutions

du roi Charles Ier d'Angleterre et d'Écosse et de la reine Henriette de France, qui, du fait de la guerre civile, avait dû, déguisée en paysanne, fuir le pays pour rejoindre les réfugiés anglais à la cour de Louis XIV, dont elle était la cousine germaine) à qui la pièce, d’ailleurs, était dédiée. Hermione et Pyrrhus avaient été fiancés dans les mêmes conditions que I'avaient été Louis XIV et Marie-Thérèse. Les rapports entre Oreste et Pyrrhus rappellent davantage les récits qu'on a pu lire d'ambassades

du roi Charles Ier d'Angleterre et d'Écosse et de la reine Henriette de France, qui, du fait de la guerre civile, avait dû, déguisée en paysanne, fuir le pays pour rejoindre les réfugiés anglais à la cour de Louis XIV, dont elle était la cousine germaine) à qui la pièce, d’ailleurs, était dédiée. Hermione et Pyrrhus avaient été fiancés dans les mêmes conditions que I'avaient été Louis XIV et Marie-Thérèse. Les rapports entre Oreste et Pyrrhus rappellent davantage les récits qu'on a pu lire d'ambassades

de la farine dans la remise, enfin l’odeur des vaches et du lait dans la maison de mes grands-parents. En approchant de la cour, c’est lui que j’apercevais immanquablement, car sa fière et droite silhouette se remarquait de loin. Il s’appelait Germain. C’était un homme d’acier, jusque dans le bleu de ses yeux. D’une enfance douloureuse, il s’était forgé un caractère terrible et une carapace dont il se débarrassait seulement, parfois, pour ses petits-enfants. Il était capable de colères froides