Germinal Cadre Spatio Temporel

Germinal Zola I- Un personnage anonyme représenté par le pronom « il » ou le groupe nominal , « un homme » Personnage qui appartient a la classe ouvrière , on le voit à sa tenue vestimentaire : il porte une veste au « coton aminci » 7/8 et «  un pantalon de velours » 8 , il tient «  un petit paquet noué dans un mouchoir à carreau »8. Et «  qu'une seule idée occupait sa tête vide d'ouvrier »10/11 Il est vulnérable et il est dans un situation de détresse car il parcourt seul une longue

12/6/2014 Incipit de Bel-Ami | commentaire composé français Maroc et Algérie 2012 (commentaire "Mélusine" de Jean Lorrain) A – Le cadre spatio-temporel Dès la première phrase, l’action se situe dans un lieu précis : le « restaurant », désigné plus loin par le terme « gargote ». Elle se déplace ensuite vers le « trottoir » et grâce à l’indication « la rue Notre- Antigone d'Anouilh : analyse du prologue Dame-de-Lorette », le lecteur sait dès le quatrième paragraphe que l’action

l’illusion du réel en plaçant ses personnages dans un cadre réel Le roman n’est pas l’Histoire : Mme de Lafayette prend des libéralités avec les dates, comme par exemple celle de la mort du duc de Nevers (père de Mme de Clèves) = Le deuxième fils du Duc de Nevers dans le roman. Celui-ci mort en vérité le 6 septembre 1564, mais Madame de La Fayette le fait mourir en 1560 sous François II. C’est donc plutôt en inscrivant ses personnages dans un cadre historique que le romancier parvient à imiter le réel

voyage à l’étranger ». Dès les premières lignes, des informations sont données quant à la suite du récit et ce en relation avec les personnages : le milieu de la peinture, de la révolution chinoise, un personnage qui ira à l’aventure. Le cadre spatio-temporel : Des lieux ouverts : Paris, mais la nuit qui donne l’impression d’enfermement, la région de Bâle peuplée de nombreux villageois. Un lieu clos : Tchen évoque d’ailleurs le « monde des hommes » par rapport au lieu clos de la chambre. La nuit

personnage, narrateur et auteur, il s’agit d’une autobiographie. La narration est à la 3ème personne : narrateur extérieur Il semble étranger à l’histoire racontée. Les récits encadrés, ou enchâssés : « récit dans le récit » Le narrateur d’un récit « cadre » (premier) peut mettre en scène un personnage qui raconte à son tour une histoire. Ce récit second est dit « encadré/enchâssé ». Le rythme du récit Un récit est la combinaison d’une histoire et de l’ensemble des moyens mis en œuvre pour la raconter

Ne peut-il pas nous divertir et par la même occasion nous instruire ? Ou en encore nous transmettre des valeurs ? D’abord, le personnage permet de refléter la société dans laquelle il vit car pour commencer l’écrivain le plonge dans un cadre spatio-temporel spécifique qui renvoie a une société donnée comme par exemple dans l’œuvre de Zola « L’assommoir » ou nous sommes plongés dans le milieu ouvrier et notamment une illustration du métier de blanchisseuse qu’exerce le personnage principal Gervaise

Ne peut-il pas nous divertir et par la même occasion nous instruire ? Ou en encore nous transmettre des valeurs ? D’abord, le personnage permet de refléter la société dans laquelle il vit car pour commencer l’écrivain le plonge dans un cadre spatio-temporel spécifique qui renvoie a une société donnée comme par exemple dans l’œuvre de Zola « L’assommoir » ou nous sommes plongés dans le milieu ouvrier et notamment une illustration du métier de blanchisseuse qu’exerce le personnage principal Gervaise

misérable) • Les roman « classique » d’analyse Classe sociale élevée, histoire récente, récit vraisemblable, cohérence psychologique des personnages, refuse extravagances du roman héroïque. Le roman au XVIIIème siècle Représente le monde dans un cadre précis et époque identifiable. • Le roman de mœurs s’attache à décrire la société et ses travers (ex : Manon Lescaut de l’abbé Prévost) • Le roman autobiographique = conquête de vraisemblance, narrateur-personnage • Le roman épistolaire est fondé

→ Le début du roman se passe en hiver, les villes sont réelles, elles existent. b) Le personnage. Son costume → « pantalon de velours », « mouchoir à carreaux ». Son statut social → c'est un ouvrier sans travail, il a tout perdu. → Dans Germinal, le héros fait parti de la classe ouvrière. → La solitude du personnage est présente tout le long du roman ++ à la fin comme au début. c) La mine. « brasier », « feu », « palissades », mur de grosse planches » … → Côté documentaire. → On

rapporter les événements, il les organise en fonction d’une logique propre, le plus souvent l’ordre chronologique de leur déroulement. Alors, différents modes de narration permettent au lecteur de prendre connaissance de l’histoire racontée. Dans Germinal d’Emile Zola, le récit est à la 3è personne du singulier « Devant lui, il voyait » ; « il n’ait la sensation » ; « il marchait d’un pas allongé ». De même, « La condition humaine » de Malraux présente une narration à la 3è psg comme nous le montre