Germinal La Violence

nouvelle génération des écrivains, c’est le fondateur du naturalisme dont l’œuvre principale est les Rougon-Maquart débutée en 1869 et regroupant vingt volumes qui relatent l’histoire d’une famille vivant sous le second Empire. L’Assomoir(1876), Germinal(1885), et Nana(1879), resteront ses œuvres les plus connues, ainsi que Thérèse Raquin publiée en 1867. La bête humaine, œuvre écrite par Emile Zola en 1890 : Il s’agit d’une histoire située dans le monde du chemin de fer et comportant deux

Chacun a une vision différente de la réalité, tous n’observent pas les mêmes particularités. Zola, fidèle au mouvement littéraire qu’il a crée : le naturalisme, lui donne une porté explicative grâce a des preuves scientifiques. Comme ses romans Germinal ou encore La Bête Humaine le montre, Zola mène de nombreuses investigations sur le milieu qui l’intéresse grâce à ses carnets d’enquête, avant de retranscrire avec le plus grand soin, sans omettre un détail, les conditions de vie du peuple tout en

Panthéon en 1908. Résumé Gervaise, la fille d'Antoine Macquart, a, à vingt-deux ans, fui Plassans avec son amant, Auguste Lantier, un ouvrier chapelier, et leurs deux enfants, Claude, le futur peintre de “L’oeuvre”, et Étienne le futur héros de “Germinal”. À Paris, ils habitent un hôtel meublé misérable dans le quartier populaire de la Goutte- d’Or. Lantier abandonne vite la jeune femme, emportant tout ce qui reste de leurs maigres économies. Jolie, courageuse, dure à la peine, elle travaille comme

Maupassant dénonce des faits divers ce qui provoque chez le lecteur des réflexions sur l’époque. Dans ses romans, Emile Zola dénonce la brutalité de la société du XIX° siècle, dans Thérèse Raquin il décrit le vice des classes moyennes et dans Germinal il dénonce la violence du patronat envers le monde ouvrier. Plus généralement, dans la série des Rougon-Macquart, Zola dépeint la société du Second Empire de la façon la plus précise possible, laissant ainsi aux lecteurs des siècles suivants une description

et de la foule en marche qui l'envahit, glisse d'une vision réaliste à une vision épique. 2. Une vision épique Le déferlement de la colonne des insurgés prend des allures de cataclysme naturel qui fait penser à une crue torrentielle d'une grande violence, comme le montre bien la métaphore filée du torrent : « la route, devenue torrent, roulait des flots vivants », à laquelle vient s'associer la métaphore filée de la tempête, de l'orage : « […] toujours se montraient de nouvelles masses noires, dont

Retour sur Germinal (caractéristiques réalistes) - 1884 Capitalisme sauvage –argent -Industrialisation - Écart entre les classes sociales Personnages -Acteurs de la Révolution industrielle -Bourgeois -Prolétaires Descriptions -Mœurs (sexualité) -Inceste -Égalité -L’argent > L’amour Réalisme 1830-1870 1-Réalisme (1830-1870) 2-Naturalisme (1870-1900) Anthologie P.25 #1- Repérer dans l’extrait au moins 10 termes directement reliés au domaine scientifique Savant

avec La Route vont même jusqu'à décrire le monde après l'Apocalypse. Ainsi, ce roman qui raconte l'odyssée d'un père et de son fils au milieu d'une Amérique ravagée par le feu, parcourue de bandes d'hommes violents et affamés, permet de montrer la violence des homme lorsqu'ils n'ont pas le cadre de la société. L'univers romanesque peut donc manifester l'inquiétude du romancier par rapport à l'humain et à son avenir. Enfin, le roman qu'il soit réaliste ou non, aborde souvent les grands problèmes auxquels

lui confère à la fois la notoriété et l’aisance. Sa maison de Médan devient, le jeudi où il reçoit, le lieu de rendez-vous de jeunes écrivains tels que Huysmans ou Maupassant. Ses grands romans, Nana en 1880, Au bonheur des dames en 1883, Germinal en 1885, l’Œuvre en 1886, qui le brouille définitivement avec Cézanne, permettent au naturalisme de triompher dans toute l’Europe, où il est traduit, et lui font gagner 80 ou 100 000 francs par an. Indigné par la dégradation du capitaine Dreyfus

énumérations et accumulations. EXEMPLE : « Et les hommes déboulèrent ensuite, deux mille furieux, des galibots, des haveurs, des raccommodeurs, une masse compacte qui roulait d'un seul bloc serrée, confondue. » É. ZOLA, Germinal, 1885. ■ L’euphémisme Cette figure permet d'atténuer la violence, le caractère cru, la force de certains mots ou de certaines notions. Proche parfois de la périphrase, parce qu'il « contourne » les termes pour les atténuer; l'euphémisme fait disparaître les connotations gênantes

Et, devant ces «tranches de vie» saignantes et putrides, face à ces paysages où la lumière entrevue est aussitôt voilée par la crasse des villes et la fumée des usines, face à ces êtres aliénés, hommes perdus de misère et de boisson, étouffant de violence, femmes devenues bêtes de somme ou bêtes de plaisir, enfants abrutis, battus, dans les yeux desquels ne passe qu'un éclair louche, signe de leur appartenance aux damnés de la Terre, les disciples se détournent: Huysmans cherche Dieu, Maupassant explore