Germinal Reflet époque

manuscrits, de documents d’archives, de dessins ou de caricatures. Ainsi, la fiction s’enracine dans l’Histoire. Chaque écrivain est confronté, dans ses œuvres, aux évènements politiques et sociaux, aux mœurs et aux mouvements d’idées qui ont marqué son époque. Ce qui permet, à chaque fois, de mieux appréhender sa personnalité, mais aussi de mieux comprendre comment sa littérature s’est nourrie des différents milieux qu’il a côtoyés, de la vie politique et des problèmes sociaux de son temps. DISCIPLINES

décisions du pouvoir central et veiller à l’ordre des départements (préfectures). La seconde mesure concerne la création de la Banque de France, chargée de veiller à l’unité de la politique monétaire du pays. En 1803 une nouvelle monnaie, le franc germinal, qui restera stable jusqu’en 1914. Le code civil favorise une société qui repose sur l’autorité paternelle, plaçant les femmes sous la tutelle des hommes, renforçant le pouvoir des patrons sur les ouvriers. Lors de la bataille de Trafalgar, Napoléon

couches populaires (L'Assommoir, 1877), le prolétariat (Germinal, 1885), les milieux de la prostitution parisienne (Nana, 1880) ; il scrute aussi tous les états du corps, la transformation des hommes malaxés par la foule, les failles du psychisme, etc. Taxés d'immoralité par bon nombre de leurs contemporains, les réalistes défendent avec force leurs romans : « Un roman est un miroir qui se promène sur une grand-route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers

bibeloteur », collectionnant « tapisseries, vieilles étoffes, tentures anciennes, draperies éclatantes ». De son petit pavillon de banlieue, il va faire un véritable château, en faisant construire deux grosses tours baptisées respectivement « Nana » et « Germinal ». Sur la cheminée colossale, style Renaissance à cariatides, « où un arbre rôtirait un mouton entier » (Paul Alexis), l’écrivain a fait peindre sa devise : Nulla dies sine linea (« Pas un jour sans une ligne »). La décoration, qualifiée par Edmond

renforcement gouvernemental 4.3.2 Victoires et répressions 4.3.2.1 Fin de la Vendée 4.4 Stabilisation gouvernementale et crise populaire 4.4.1 Gouvernement révolutionnaire 4.4.2 Déchristianisation 4.4.3 La lutte des factions[220] 4.4.4 Drame de germinal 4.4.4.1 Aboutissement et conséquences 4.5 Robespierre et la Grande Terreur 4.6 Directoire (26 octobre 1795 - 9 novembre 1799) 5 Notes et références 6 Voir aussi 6.1 Bibliographie 6.1.1 Sur la période 6.1.2 Instruments de travail 6.1.3

siècle se sont engagés contre l'injustice sociale, comme Victor Hugo qui a créé les personnages emblématiques de Jean Valjean ou de Gavroche ou encore Zola qui raconte la lutte héroïque des mineurs du Nord contre le Capital qui les exploite, dans Germinal, à travers le militant et combatif Étienne Lantier. Pourtant, même si tous ces personnages, pour des raisons différentes, séduisent tout naturellement le public, il reste que d'autres, sans atout aucun, et même repoussants, savent attirer le lecteur

du xixe siècle se sont engagés contre l'injustice sociale, comme Victor Hugo qui a créé les personnages emblématiques de Jean Valjean ou de Gavroche ou encore Zola qui raconte la lutte héroïque des mineurs du Nord contre le Capital qui les exploite, dans Germinal, à travers le militant et combatif Étienne Lantier. Pourtant, même si tous ces personnages, pour des raisons différentes, séduisent tout naturellement le public, il reste que d'autres, sans atout aucun, et même repoussants, savent attirer le lecteur

du xixe siècle se sont engagés contre l'injustice sociale, comme Victor Hugo qui a créé les personnages emblématiques de Jean Valjean ou de Gavroche ou encore Zola qui raconte la lutte héroïque des mineurs du Nord contre le Capital qui les exploite, dans Germinal, à travers le militant et combatif Étienne Lantier. Pourtant, même si tous ces personnages, pour des raisons différentes, séduisent tout naturellement le public, il reste que d'autres, sans atout aucun, et même repoussants, savent attirer le lecteur

CHAPITRE V La France de la « Belle Epoque » : un pays en retard ? Au lendemain de la première guerre mondiale, les français qui viennent de vivre des années terribles. Certains vont parler de « Belle Epoque » pour caractériser la période d’avant 1914. Cette « Belle Epoque » apparait comme une période prospérité, de stabilité, voire même de douceur de vivre. On a l’impression que les français sont unis dans la célébration du progrès. On a un symbole qui date du début du XXème avec l’exposition

fidèle, il entra comme garde du corps de Louis XVIII à la Restauration en 1814. Au retour de Napoléon et pendant les Cent jours, il dut s'exiler en Suisse. Il quittera l'armée à la Seconde Restauration suivant la défaite de Napoléon à Waterloo. A cette époque, il écrivait déjà quelques tragédies en vers et quelques élégies. En cure à Aix-les-Bains, il fit la connaissance de Julie Charles, dont il tomba amoureux. Julie, qui disposait de nombreuses relations à Paris, l'aida à s'y faire connaître. Lamartine