Germini

de juger deux genres de littérature si différents : le roman, cadre souple, s’élargissant pour toutes les vérités et toutes les audaces, et la pièce de théâtre qui vit surtout de conventions et de restrictions. Certes non, on ne pourrait mettre Germinie Lacerteux sur les planches où gambade Mlle Schneider. Cette « cuisinière sordide », selon votre expression, effaroucherait le public qui se pâme devant les minauderies poissardes de la Grande-Duchesse. Oh ! le public de nos jours est un public intelligent

Devoir : Le roman et ses personnages, vision de l’homme et du monde Corpus : Document 1 : Flaubert, Madame Bovary, 1857 Document 2 : frères Goncourt, Germinie Lacerteux, 1865 Document 3 : Zola, Germinal, 1885 Annexe : Zola, lettre à Henry Céard, 1885 Question (4 points) : En quoi les textes 1,2 et 3 sont-ils réalistes ? Dans quelle mesure le réel y prend-il néanmoins une dimension symbolique ? Travail d’écriture (16 points) : Vous traiterez l’un des trois sujets suivants au choix

explicitement le personnage principal ( Mme Leroux ), avec des adjectifs descriptifs : ''une petite vieille femme '' , '' elle avait aux pieds de grosses galoches de bois '' . Dans le second texte intitulé '' Germinie Lacerteux'' , les Frères Goncourt racontent longuement la démarche de Germinie pour avoir résolté une somme conséquante d'argent, & décrivent celui ci aussi. Enfin dans l'ouvrage Germinal, Emile Zola quant à lui décrit une soirée sanglant avec l'apparence des manifestants en recourant

 Montrez que ces textes sont représentatifs de leur époque : Les textes, La princesse de Clève, Jacques le Fataliste, Claude Geux et Germinie Lacerteux ont été écrits respectivement par Madame de La Fayette en 1678, Denis Diderot entre 1778 et 1880, Victor Hugo en 1834 et les frères Edmond et Jules Goncourt en 1865. Nous montrerons que ces extraits sont représentatifs de leur époque, tout d'abord par le style, puis par les personnages présents et enfin par la critique de la société faite

Vérité et mensonge du roman Corpus : Document 1 : Flaubert, Madame Bovary, 1857 Document 2 : frères Goncourt, Germinie Lacerteux, 1865 Document 3 : Zola, Germinal, 1885 Annexe : Zola, Lettre à Henry Céard, 1885 Question d’analyse (4 points) : En quoi les extraits de romans proposés sont-ils réalistes ? Dans quelle mesure le réel y prend-il néanmoins une dimension symbolique ? Travail d’écriture (16 points) : Vous traiterez l’un des trois sujets suivants au choix : Commentaire Vous

en quoi la description de ces lieux est réaliste et dans un second temps en quoi nous pouvons dire que ces lieux sont inspirés du mouvement naturaliste. On, remarque que les lieux décrits sont des endroits banales de la vie quotidienne. Dans Germinie Lacerteux les auteurs s'amusent à insister sur la pauvreté et la banalité des scènes, ils donnent un ton quasi ironique au bal populaire avec l'oxymore " Luxe pauvre" l2. Dans l'assomoir, la scène se déroule dans un lieux mal propre du monde ouvrier

différents textes que nous allons étudier sont des extraits de préfaces d'auteurs du réalisme au XIXème siècle. Nous allons y retrouver un extrait d'Honoré de Balzac, Avant-propos à La Comédie humaine, 1842; de Jules et Edmond Goncourt, Préface à Germinie Lacerteux, 1865; d'Émile Zola, Préface aux Rougon-Macquart, 1871 et de Guy de Maupassant, Préface à Pierre et Jean, 1887. Honoré de Balzac (1799-1850) considéré comme le créateur du roman réaliste moderne, est l'auteur de la Comédie humaine, rassemblant

presse de l’époque. Rédigez cinq lignes pour mettre en relation le roman Germinie Lacerteux et la nouvelle Boule de Suif. Les deux histoires sont écrites à partir d’événements réels, Germinie est Rose Malingre la gouvernante des Goncourt, Boule de suif est inspirée d’une prostituée rouennaise. Les deux personnages sont des femmes issues des « basses classes », Boule de Suif est une prostituée avérée, Germinie après son échec sentimental avec Jupillon, se livrera à de nombreux hommes même

de servitude. ement à Mme Jupillon : -Ça y est... C'est les deux mille trois cents francs... pour qu'il se rachète1... -Ah! ma bonne Germinie! fit la grosse femme en suffoquant sous une première émotion ; et elle se jeta au cou de Germinie qui se laissa embrasser. Oh! vous allez prendre quelque chose avec nous, une tasse de café... -Non, merci, dit Germinie, je suis rompue... Dame! j'ai eu à courir, allez, pour les trouver... Je vais me coucher... Une autre fois... Et elle sortit. Elle avait

son deux courants littéraires de la fin du XIX e siècle qui se proposent de décrire fidèlement la réalité. Cette tendance se retrouve dans ces trois textes. Le premier s’intitule Madame Bovary de Gustave FLAUBERT paru en 1857, le deuxième s’appelle Germinie Lacerteux des frères GONCOURT sorti en 1865 et le dernier est Germinal d’Emile ZOLA présenté en 1885. Comment l’écriture réaliste s’exprime-t-elle à travers ces textes et quels en sont les symboles ? Pour répondre à cette question, nous nous intéresserons