Gervaise

ouvrière de Paris, retraçant le destin de Gervaise Macquart. Gervaise, une femme boiteuse, a un premier fils à 14 ans puis Etienne à 18 ans avec son amant Lantier, un ouvrier tanneur. Elle s'enfuit alors avec à Paris, plein de projets et de rêves. A 22 ans, après que le fainéant Lantier l'ait quittée pour partir avec Adele, Gervaise entre comme ouvrière blanchisseuse, rue Neuve de la Goutte-d'Or. Sept semaines après le départ de Lantier, qui la trompe, Gervaise épouse Coupeau, un zingueur beau parleur

la décadence de Gervaise Macquart, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse mais plutôt jolie, blanchisseuse dans le quartier de la Goutte-d'Or à Paris. Gervaise et son amant Auguste Lantier viennent à Paris avec Claude et Etienne, leurs deux fils. Chapelier de métier, Lantier est paresseux et infidèle. Il quitte Gervaise pour Adèle, la laissant seule avec ses fils. Au lavoir, Virginie, la sœur d’Adèle, provoque Gervaise. Une bagarre éclate entre les deux femmes. Gervaise l’emporte sur son

Peu de temps après l’abandon de Lantier, l’héroïne, Gervaise, rencontre Coupeau. Ils se marient et donnent naissance à une fille nommée Anna mais surnommée Nana. Ce dernier, est un ouvrier zingueur. Malgré cela, nous remarquerons qu’il n’est pas alcoolique mais cela ne va pas durer, néanmoins il s’y connaît

vérifié si le texte était juste, mais le début paraît l’être. Chapitre 9 : 19 pages à lire Lire : p. 338 (début du chapitre)  p. 349 « s’arracher le cœur soi-même » Résumé : p. 349 « Maintenant Gervaise se moquait de tout »  p. 360 « la blanchisseuse » C’est le début de la ruine : la boutique croule, Gervaise indifférente à tout, ne songe qu’à manger ses trois repas par jour et est indifférente à la perte de ses clients qui retournent chez Mme Fauconnier, son ancienne employeuse. Elle doit mettre peu

Émile Zola, L’Assommoir est un roman en 13 chapitres et constitue le 7e volume de la série des Rougon-Macquart. Le roman raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, blanchisseuse dans le quartier de la goutte d’Or, à Paris. Après avoir été abandonnée avec ses 2 fils, Claude et Étienne, par son amant , Auguste Lantier, Gervaise épouse l’ouvrier zingueur Coupeau et parvient à conquérir bonheur et prospérité, concrétisés par la naissance de leur fille, Nana. Mais le destin la guette : victime

de point de vue du personnage, de plus, elle crée un horizon au lecteur en laissant attendre un récit conforme aux canons naturaliste. Enfin, cet incipit naturaliste annonce d’emblée une belle place aux éléments symboliques. Lecture du texte Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à deux heures du matin.     Puis, toute frissonnante d'être restée en camisole à l'air vif de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au

y raconte la vie d’une blanchisseuse nommée Gervaise, ses réussites et ses échecs jusqu’à son agonie. C’est donc à la fin du roman que se situe ce passage tragique qui décrit la déchéance et la mort de l’héroïne. Mais comment l’auteur nous présente-t-il à travers cette fin inévitable une société sans compassion tout en gardant les caractéristiques de l’écriture naturaliste ? Ainsi, nous étudierons dans un premier temps la déchéance tragique de Gervaise, puis dans un deuxième temps l’indifférence

INTRODUCTION : (Situer le passage = correction à la question de préparation) Gervaise retrouve Coupeau, un ouvrier zingueur, à l'Assommoir, le bistrot du père Colombe. Coupeau est amoureux de Gervaise, et voudrait se mettre en ménage avec elle. Tous deux partagent le même désir d'une vie digne et tranquille, et le même refus de l’alcool. Chacun de leur côté, ils ont eu à souffrir de ses ravages. Le père de Gervaise battait sa mère quand il était saoul ; ivre, celui de Coupeau s'est tué en tombant

générale est d’abord celle d’une orgie sur laquelle le narrateur revient avec force à la fin. Ensuite, le regard parcourt le tableau dans le détail en suivant les liens entre les personnages et les voyages de la nourriture. Gervaise mange et regarde Goujet qui regarde Gervaise servir le père Bru. Les femmes mangent la carcasse, Virginie, la peau, Clémence, le croupion etc. La répartition de l’oie est redoublée par les liens entre les personnages dont elle est le prétexte. Comme devant un tableau,

Commentaire du texte de l’Assomoir : « La rue » On a un lexique heureux, malgré son allure mélancolique Comment peindre le bonheur de Gervaise ? On évite les introductions bateau. « Moi tout ce que je souhaite en tant qu’écrivain, c’est vivre une vie de bon bourgeois » ou encore « j’aimerais comme une femme broder point à point ». Il associe une observation quasi-scientifique des choses à une poésie littéraire. C’est un écrivain qui veut être scientifique. C’est le scientisme (le grand philosophe